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The Seine's Lover |
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06/04/07 à 23:46 |
Bon c'est en anglais pour qui veut se faire chier à capter. Mais bon... Enfin voilà, j'l'ai fait y a qques mois, et je l'aimais bcp donc j'ai décidé de le mettre ici. Je l'ai mis dans Nature mais en fait si on regarde bien ca n'a pas grand chose avoir avec la Nature. C'est un poème allégorique donc...
The Seine’s lover
I awake by the water, the cold morning sun
Awakens Nature’s daughter, who rises anon
She blinks then stirs to the side, dresses in the light
The old prince Winter’s Sun’s bride, beautiful sight
The last of autumn’s leaves fall to be her crown
And so ready for the ball, she runs down the town
Under the bridge of the Pecq, and Vesinet’s streams
Never forgetting to peck the trees still in dreams
She dances whilst the birds chirp and young children sing
Light-footed, not to disturb, the oldmen fishing
Under the eye of her love, boats dare caress her
Jealous, he hides high above, making earth darker
Once she arrives in Paris, the day is half done
So not a dance will she miss, ‘till the ver’ last one
She then joins her love to bed, the broken purity
Of the flowers she has shed, flies to the sanctuary
Who has not uncovered their nuptial act?
The sun will set, blue and red, celestial prairie
And then as he doses off, she tiptoes away
Naked once again, a cough, caught th’fever of may
Then she comes to embrace her; a warm, heavy coat
A dark coat made out of fur, night and day quite remote
A coat the colour of coal, one couldn’t distinguish
The soil from the water’s soul. Aware are the fish.
Presents, presents, gifts of Night, Diamonds and jewels?
No, but false truth and cold light. Enough for fuels
The curtain of the willows, ivy locks the room,
Mother’s tears in the sallows, ladies of Doom
As the moon waxed and waned, th’water rose and fell
Her breeze in the river digged, going down to hell
Leaving shivers down her spine, waves of touch
Whispers “You’re forever mine”, or others of such
An artwork they’ll make too, a fog of silver,
Quilt of mist, of morning dew, ‘till dawn keeps them s’cure
And Nature, hides the evil of her young daughter
With the green flowers who kill the mist of silver
I watch this seduction by Night, a star falling
Does pleasure bring damnation? The Seine is now dying
May fever, man’s affliction. It is now too late.
Here, will there be peremption? A shoal of sick fate.
One day, the sun’ll meet the moon, and She will then speak
Can purification simply be hiding behind corruption?
The Seine's Lover |
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07/04/2007 à 00:05 |
Texte assez complique mais assez joli , j'ai pas tout compris non plus mais bon ^^
The Seine's Lover |
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07/04/2007 à 20:27 |
Han pas tout compris , mais je vois de quel thème sa parle !
Ptite coquine va !
The Seine's Lover |
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07/04/2007 à 23:40 |
J'crois que personne n'a compris le thème. Mais bon -_-" Tant pis.
The Seine's Lover |
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07/04/2007 à 23:42 |
remarquable !
dur de faire des rimes en anglais, crois en mon experience d'étudiant en anglais !
génial.
bravo
The Seine's Lover |
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13/04/2007 à 21:01 |
Marre, je veux qu'on réfléchisse une fois pour toutes à quel est le thème de ce truc. Personne n'a compris jusque là donc je vais poursuivre jusqu'à ce qu'on voit sans aide. T.T
The Seine's Lover |
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25/04/2007 à 02:11 |
C'est peut-être difficile de comprendre le thème alors que c'est en anglais. Et puis j'en vois plusieurs des thèmes en ce qui me concerne donc jene sais pas si tu ne souhaites vriament qu'une réponse à ta question.
The Seine's Lover |
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25/04/2007 à 02:14 |
Ta pas dut peiner a faire sa en anglais o_O
Cherche traducteur ^^
The Seine's Lover |
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25/04/2007 à 07:58 |
eh j'ai bien mis dix minutes a déchiffré mais ça vaut le coups
merci
The Seine's Lover |
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26/04/2008 à 18:23 |
C'est vrai que c'est beau, ça doit être un travail ardu en plus. Je suis certainement passé à côté de plusieurs passages et contrairement à d'autre je ne pense pas que ça parle d'amour au sens propre.
C'est beaucoup de personalisation, de métaphores à propos de la nature qui vit et qui meurt. C'est un poème assez noir vers la fin je dirai.
The Seine's Lover |
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26/04/2008 à 22:18 |
Moi
Je dis que ça parle d'homosexualité.
Mais bon vu que je hais l'anglais et que j'ai rien compris a ton poème, je sais même pas pourquoi je poste cette réflexion stérile sur le thème d'un poème que j'ai certainement pas compris du tout .
The Seine's Lover |
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26/04/2008 à 22:25 |
LoveSick a écrit :
Moi
Je dis que ça parle d'homosexualité.
Mais bon vu que je hais l'anglais et que j'ai rien compris a ton poème, je sais même pas pourquoi je poste cette réflexion stérile sur le thème d'un poème que j'ai certainement pas compris du tout .
T'es le premier à avoir trouvé. Félicitations, pour quelqu'un qui déteste l'anglais, chapeau.
Même mon ami à la Sorbonne qui étudie l'anglais intensément (littérature etc.) n'avait pas compris.
The Seine's Lover |
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26/04/2008 à 22:25 |
Does pleasure bring damnation?
J'aime beaucoup cette phrase.
Ça me rappelle bizarrement un truc du genre : Will all my sins be justified ?
The Seine's Lover |
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26/04/2008 à 22:26 |
Je dirais la pollution.
Il y a aussi une personnification de la Seine.
Après c'est sur que depuis un an...
Edit: C'est vachement pas évident
The Seine's Lover |
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26/04/2008 à 22:31 |
Oui. Après un an. Et personne n'ayant jamais trouvé.
Voilà. Vu que le thème est trouvé, je vais juste élucider tout ca. Voici l'explication.
Donc en fait le poème débute par la narration de l'histoire d'amour entre la Seine (fille de la Nature) et le Soleil. Elle coule jusqu'à Paris, où elle danse jusqu'au soir, rejointe par son amant qui l'accompagnera jusqu'à être épuisé. La Seine le conduit alors au lit où ils se mettent à faire l'amour créant par là même des prairies célestes. Suite à cela il s'endort et elle se dérobe nue dans la Nuit avec qui elle fait à nouveau l'amour, faisant sombrer sa mère (la Nature donc) dans le désespoir car celle-ci ressent le malheur que sa fille vit à cause de cette double vie (c'est lié à l'homosexualité et à sa non acceptation par la société bien-pensante).
Poème qui me tient très à coeur, je l'avais écrit spécialement en pensant à tous mes meilleurs amis, qui s'avéraient un à un homosexuels, et qui avaient beaucoup de mal à l'accepter. Quand l'un d'entre eux me l'a dit, j'étais anéantie, j'avais tellement peur, non pas de lui, mais pour lui. Mon autre meilleur ami s'étant fait harcelé par un mec avec des chaînes, et y a tant d'histoires de tapage etc...
EDIT : Vicky Addict : oui j'aime beaucoup aussi cette phrase
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