à 14 ans | Nirvanoche [16ans] | 15/04 | |
Bonjour... J'écris pour parler de quelque chose qui m'est arrivé pendant plus d'un an... C'était au moi de novembre-décembre 2004. Ma mère est tombée malade, et après des millions de tests, de sorties chez le médecin etc... on lui a trouvé une tumeur au cerveau. Malgré qu'on s'engueulait souvent (désaccords débiles d'ados) j'aimait beaucoup ma mère, inutile de dire que la nouvelle m'a bouleversée. Mais à ce moment là, les médecins croyaient encore que c'était "bénin", que une fois enlevée la tumeur n'allait pas revenir et que tout redeviendrait comme avant... Elle a été opérée à la fin de l'année, et effectivement, elle allait beaucoup mieux. J'était heureuse comme tout, elle est rentrée à la maison, elle a recommencé petit à petit à marcher, se promener, cuisiner... Elle retrouvait toutes ses habitudes et c'était magnifique. Au mois d'Avril 2005, pour mes 14 ans, il y avait beaucoup de monde à la maison, dont mes cousines du côté de ma mère, que mon père n'aime pas du tout. Après le goûter, il les a limite virées de la maison (détails trop douloureux à raconter car malgré nos différences j'aime beaucoup mes cousines). Ma mère, qui était très attachée au fait d'avoir une famille unie, ça lui a foutu un gros coup au moral. Je la voit encore, assise sur mon lit, pleurant presque, et moi qui essayait de la consoler... Ce coup au moral a eu un effet désastreux sur son état de santé. Elle s'est vite redégradée, les signes de la tumeur sont réapparus en force : les gestes maladroits, les trous de mémoire, les problèmes pour prononcer certains mots... En plus, les traitements de chimio n'arrangeaient rien : elle n'avait plus de cheveux, elle était déformée physiquement (son visage était gonflé, elle avait pris beaucoup de poids)... Elle avait presque carrément changé de tête, en six mois elle avait pris 20 ans... Mais surtout, son caractère s'est modifié. Elle devenait insupportable, m'empêchait de faire des tas de trucs, était vingts fois plus inquiète qu'avant... Pour exemple, quand je partais quelque part elle m'appelait toutes les heures !! En plus, à l'adolescence où on n'a qu'un désir, la liberté... A cette époque, j'étais vachement sensible à ce genre de choses, le regard des autres, le "et que vont dire les gens si...?". Autant dire que, en sale peste, y'a bien que ce mot là, j'ai complètement tourné le dos à ma mère. C'était de l'intolérance, ou bien un moyen de fuire la réalité comme quoi ma mère était gravement malade, un moyen de me sentir "comme tout le monde" ? J'en sais rien, en tout cas c'était un cercle vicieux... J'était méchante avec elle, du coup son état s'aggravait et du coup j'étais encore plus méchante... Par exemple, je lui lançait des remarques désagréables quand elle mettait la table en se trompant sur le nombre d'assiettes, ou quand elle perdait l'équilibre... C'est horrible, mais parfois j'ai souhaité qu'elle meure ! Du coup, en plus de la détester je me détestait moi aussi, je me rendait bien compte que j'étais cruelle mais j'arrivait pas à changer de comportement. Dans l'été, elle s'est fait réopérer et là, j'ai compris que elle ne guérirait jamais. Son état n'était pas mieux qu'avant l'opération, je crois qu'au fond de moi j'ai commencé à comprendre qu'il n'y avait plus rien à faire. Je suis rentrée en troisième, et en décembre, elle est re-rentrée à l'hôpital, et au mois de Janvier, au tout début de l'année, elle a été transférer au service "soins palliatifs", mais même là, je ne comprenais pas clairement l'inévitable, ne sachant pas ce que "palliatif" voulait dire. Les soins palliatifs, c'est là où on emmène les gens qu'on ne peux plus guérir et essayer de faire en sorte qu'ils se sentent le mieux possible pour mourir dans les meilleures conditions. Mais ça, je ne l'ai apris qu'après. Il lui avaient enlevé tous ses médicaments car ils ne servaient plus à rien, ils lui avaient supprimé le régime sans sel, car la seule joie qui lui restait était celle de bien manger. Et puis, un mercredi après-midi où on était allés la voir, ma soeur, mon père et moi, la psy et le docteur nous ont "convoqués". Le docteur, nous a dit presque mot pour mot "Ce qu'a votre maman, on ne peut pas le guerir, on ne peut pas l'enlever, ça revient toujours. Vous avez remarqué qu'elle dort de plus en plus... Un de ces jours, elle ne va pas se réveiller. Elle va tomber dans un coma et partir tout doucement...". Evidemment, je me suis effondré, mon père et ma soeur aussi. Et cette psy.. je sais bien qu'elle faisait que son travail, mais quand même, la seule qu'elle nous ait dit c'est "vous inquiétez pas, ce qu'à votre mère, c'est pas contagieux". Qu'est-ce qu'on s'en fout que ça soit contagieux ou pas !! Si j'avais pu mourir à sa place... Passé ensuite deux jours à l'hopital au lieu d'aller en cours, à lui prendre la main et à lui parler... De tout, tout ce qui aurait pu lui rapeller ce que c'est, la vie d'une personne saine, qui n'est pas clouée dans un lit d'hôpital.. Le soleil, le vent, les garçons, les cours, la télévision, je lui transmettait le bonjour de mes amies, je lui disait que je l'aimais et je lui promettait qu'elle serait toujours fière de moi... Elle était dans le coma et je ne savais même pas si elle m'entendait, mais parfois, elle faisait comme un sourire, alors je lui disais que c'était bien de la voir sourir et je continuait à lui parler. Le samedi soir, je voulait encore y aller, mais j'étais invitée au bowling et mon père me disait "vas-y, ça te changera les idées...". Alors j'y suis allée, et j'était là, à lancer une boule en riant et en buvant, alors que ma maman était à l'agonie... Et puis la dimanche matin, mon père vient me voir à mon réveil, et il me dit "Cette nuit, le téléphone a sonné...". Je savais parfaitement ce que ça signifiait. Je me suis levée, j'ai pris mon petit dèj et j'ai continué à vivre complètement normalement, comme si de rien n'était, sans me rendre vraiment compte que j'étais orpheline de mère. Les profs me demandaient "ca va ? " et je leur disait "oui oui" avec un grand sourire. Il y avait aucune hypocrisie là dedans, c'est juste que je me sentais pas spécialement malheureuse. C'est seulement des mois après que j'ai commencé à me culpabiliser, à repenser à ce conportement infect que j'avais eu avec elle. Maintenant ça va mieux, j'ai des amis, un cousin et une cousine formidables qui m'ont énormément aidée, parfois sans s'en rendre vraiment compte. Ce qui est horrible dans cette maladie, c'est qu'elle m'a fait d'abord détester ma mère avant de l'achever. C'est pour ça, je crois, que je me sentais pas spécialement malheureuse, du moins sur le moment. De cette histoire j'ai tiré deux conclusions : - Ca n'arrive pas qu'aux autres, on ne le dira jamais assez... Ca te tombe dessus un jour et tu peux rien y faire, alors autant profiter de la vie un maximum, chaque jour comme si c'était le dernier... Vivre comme on le veut et faire ce qu'on veut quand on veut, dire ce qu'on veut à qui on veut, car on peut disparaître vraiment n'importe quand, et quand on s'en rend compte c'est trop tard. - Et aussi : les personnes malades, même si elles changent physiquement ou mentalement, c'est avant tout des gens qu'on a aimé... Il faut essayer de les accepter avec leurs différences car je reste persuadée que l'état psycologique des gens jouent énormément sur leur santé. Qui sait si ma mère ne serait pas encore de ce monde, si j'avais pris le temps de l'écouter, de la comprendre, de capter ses SOS que je faisait semblant d'ignorer... Maintenant si je me sens mieux c'est parce que je me rend compte de jour en jour à quel point ma mère était une personne formidable et à quel point je voudrai lui ressembler. Je retrouve en moi certaines de ses qualités, de ses opinions, et ça me fait le plus grand plaisir. Voila, merci beaucoup à tous ceux qui ont tout lu ^^ Si vous voulez parler, mon pseudo sur SE est le même que celui qui est marqué en haut ;) |
à 11 ans | lucie [14ans] | 12/04 | |
bon un matin tu es fatigue tu te dit j'ai envie mais non alors tu va dans la vie tu t'oublie tu oubli tout et du jour au lendemaint tout secroule et personne ne voie rein tu tente a ta vie tu tente ... et tu coupe la premiere vaine et puis là toute seul tu pleur dix ... puis 20min et tu te laive on sedit sefine mais pour remonte la pente se dur apres j'ai recomence 2 fois et je regrette |
à 15 ans | Hélène [15ans] | 12/04 | |
Salut, je ne sais plus quoi faire... en janvier, un nouveau est arrivé dans mon collège. il est en 4e, et moi en 3e. Il m'intriguait depuis le début, je m'intéréssais à lui, mais je n'en parlais à personne. En revenant d'un voyage scolaire, je me suis rendue compte que j'étais amoureuse de lui, dès que mes amies ont été au courrant, elles ont été lui demandé (contre mon gré) de sortir avec moi : il a dit "peut être..." avec un petit sourire... il devait donner la réponse le lendemain. Le lendemain je suis allée le voir pour savoir la réponse, et il m'a dit d'aller voir une fille de sa classe que je connaissais bien. Je suis allée la voir et là elle m'a dit qu'il avait une copine, dans son ancien collège. Mais sa copine est arrivée en septembre donc ça fait maximum depuis septembre qu'ils sont ensemble. Je ne sais pas trop quoi faire, parce que en plus, hier une de mes amies croit avoir entendu qu'il disait "La gueule, comme si j'allais sortir avec elle" mais elle n'est pas sure ! Je parle sur Msn à un mec de sa classe qui le connais assez, et il m'a dit que ça n'était pas du tout son genre de dire des truc comme ça ! Je ne sais pas trop quoi faire pour avoir une chance de sortir avec, ni comment je pourrai l'aborder, juste pour discuter, puisque maintenant il sait que je l'aime ! Aidez moi !!!!!!!!!! |
à 11 ans | Mesano [14ans] | 11/04 | |
Avant tout chose, j’aimerais préciser que je ne saurai tout écrire dans les lignes qui suivront cette introduction. Certes, je ne me rappelle pas de tout les faits mais il y a aussi tellement de choses à dire … Je pense dire l’essentiel. IL y a quelques années de cela, en ce mois d’Août 2003 où régnait la canicule, je passais mes vacances de fin d’année chez moi, comme toujours. Tout se résumait aux baignades, soirées Télé etc. Beaucoup de malheurs avaient dejà frappé ma famille … trop de malheurs pour un petit d’Onze années ! Cependant, la vie est connu pour son injustice et j’en aurai la preuve formelle. Ce 9 Août, où j’étais invité à un anniversaire ( un samedi si je me souviens bien ) je me reveillais tranquillement vers 9 heures et demi, et j’allais jouer à ma Ps avant d’aller déjeuner. Premier signe étrange, le téléphone de ma mère était posé sur la table alors qu’elle l’ammenait toujours où elle allait et ce qui m’intrigua encore plus était le fait qu’elle ne répondait pas lorsque je l’appellais dans la maison. Je me suis alors dis « Te fais pas de bile … Elle est allé faire les courses, elle a dû l’oublier tout simplement … ». Je jouais alors, attendant son retour. C’est alors que ma sœur se révéilla à son tour, elle vint me voir et elle me regarda jouer un petit moment. Toujours en pyjama, quelqu’un sonna à la porte et je me ruais dejà pour aller lui ouvrir ; c’était Laurence, une amie proche de ma mère qui habitait deux ou trois rues plus loin. Elle voulait voir ma mère, je lui ai dis que je pensais qu’elle était allé faire les courses, elle me répondit donc qu’elle repasserait un peu plus tard. Une fois la porte refermée, je retournait dejà empoigner ma manette avant que ma sœur ne reviennent du couloir m’interpeller. « Hé, Dis c’est pas normal pourquoi j’entend ronfler dans la chambre de Maman ? » Mes soupçons entaillères si fortement mes entrailles que je laissais tomber ma console pour aller voir dans la chambre. J’ouvris donc la porte, accompagné de ma petit sœur ( agée de 6 ans à ce moment là ). Je n’aurais pas pu m’enlever cette image là de la tête même si on me tranchait la cervelle ! J’obersais avec horreur ma mère étalée au sol, en train de ronfler ( ce qui ne lui arrivait jamais ) la tête appuyée entre la table de nuit et la couette du lit. J’étais horrifié, autant que ma sœur l’était. On essayait avec espoir de lui ouvrir les yeux, de la reveiller mais en vain … Rien ! Comment était-ce possible ? Pourquoi est-ce que je n’étais pas venu dans la chambre plus tôt au lieu de jouer à cette saloperie de Playstation ! Si seulement j’étais arrivé plus tôt … peut-être … Je m’était lancé sur le téléphone, en larmes, j’appellais Laurence en tombant sur son fils … « Allo ? … Oui c’est moi ma mère est évanouie par tere elle va pas bien vite ! ». Par chance, sa mère commençait à partir et il eut tout juste le temps de l’interpeller ; celle-ci déboula rapidement chez moi comme jamais je ne l’avais vu rouler. On appellait les pompiers, inquiets …Elle avait tenté de me rassurer au début, mais dès qu’elle a vu le piteuse état dans lequel ma mère était elle aussi ne pouvait s’empêcher de pleurer. Les pompiers arrivèrent, ma famille aussi … Tous arrivaient certains que c’était juste une petite « tombée dans les pommes »banale … Coment expliquer alors que les pompiers ne pouvaient la réanimer ? Comment ? Je vous ai vu aussi pleurer à chaudes larmes dès que vous l’avez entre-aperçu à travers la porte … Plus tard … La scène qui me heurta une seconde fois … qui s’encrera à jamais dans ma misérable vie. Mon père, ma sœur et moi somme restés vivre pendant que ma mère fut transférée par hélicoptère à l’hopital de Montpellier chez notre amie Laurence. Certes j’étais déboussolé, mais l’état de ma mère s’améliorait de jours en jours, quoi de plus rassurant … Tout ça était trop beau pour être vrai. En cette fin d’après midi, je revenais avec les ils des deux amies les plus proches de ma génitrice qui m’aidaient à surmonter ma douleur. On est arrivé dans la cour, j’ai vu des gens de ma famille, des amis, plein plein de gens que je connaissais … Je n’étais pas duppe, et j’ai dis à mes amis « Je sens qu’il est arrivé quelque chose à ma mère … ». J’ai dis bonjour à quelques personne et je suis entré, la cuisine était elle aussi rempli. Mon père m’attendait avec ma sœur dans le salon et referma la porte derrière lui. IL cmmençait à nous parler et comme je le craignais nous dis « Maman est partie au ciel, maman nous a quitté … ». J’aurai pleuré toutes les larmes du monde, crié toutes les injures, tués le monde entier si j’aurais pu … Je continuerai bien mais je commence à sentir les larmes monter en moi et puis je n’ai aps envie de monopoliser cette section à moi seul … Merci d’avoir lu … |
à 13 ans | Recherche:amour [14ans] | 11/04 | |
Bonjour a tous ! alors voila ça fait etre un racontage de life en plus mais ça va me faire du bien de deballer un peu tout de moi... Depuis que je suis au college, je me focalises litterrallement tout le temps sur les garçons ! je fais attention a mon attitude envers eux, je ne suis jamais naturelle avec eux... a la fin j'en avais marre ! je changer tout le temps de garçons, de mecs en vue... maintenant j'ai changée, je n'aime plus aucuns garçons de mon college, soit parce que je suis deja sorti avec, soit parce que je me suis rendu compte de ce qu'ils etaient reellement... Seulement voila, j'ai bientot 14 ans et je recherche l'amour plus que jamais, seulement voila maintenant je ne sais pas ou le chercher, je ne dis pas non plus que je passes ma vie a faire ça mais je n'ai aucunes idées d'ou chercher, ou est ce que je pourrais aller pour rencontrer quelqu'un d'attentionné et de gentil comme j'ai pu en rencontrer dans mon college, qui on maintenant bien changé... |
à 15 ans | Mais Chante [15ans] | 11/04 | |
Bonjour a tous !!! Vous aller surement vous dire encore un témoignage a l'eau de Rose (Bravo ton petit jeu de mot) Oui parce qu'enfaite je m'apelle Rose enfin revenons Je diait que vous aller croire que c'est encore une histoire a la romantique comme dans les films ! C'est vrai c'est un peu cela mais avant cette rencontre , je penser que ça n'arriver que dans les livres , que dans les cones de fée ! Eh bien ayez un peu d'espoir cela n'arive pas que dans les livres !Car avant cette histoires je n'ai eu aucun copain ! Encore une journée misérable dans ma vie Pathétique d'aprés mon professeur de maths . Encore une journée a désespéré, a déprimé , à pensé a des idées de plus en plus sobre . Ma vie n'as jamais était simple étant atteinte d'une maladie génétique rare et tout le tralala ayant toujours supporter les insultes , et mêmes les coups des autres ou devrais je dire des cons ? Je ne m'aimer plus , je n'avais plus confiance en moi ! Alors un jour je reçois un message sur ce site disant : Profil interessant Lui ayant de bons gouts muicaux je réponds Mathieu ah au bout d'une semaine on se rencontre ! Ca va vite n'est-ce pas ? Bon il m'as quand même fait bousillé tout mon credit !!!Lol C'est donc mon père qui va m'y enmener j'ai pour excuse "Cours de guitare avec un jeune et beau professeur et pour cadeau il réaccorde ma guitare" 14h30 sur la place devant la mairie . Au loin un grand type chemise cravate cheveux mi-long mama mia !! On marche et me voila dans son pti coin me voila seule avec lui dans cette piece (A tout les pervers il ne s'est presque rien passé) La musique notre sujet de conversation préféré ! Soudain il se raffale dans cette espece de canapé que j'aime beaucoup maintenant :D j'ai peur de le rejoindre ,trop timide ! Il fait semblant de bouder et nous voila tout les deux dans ce canapé . Comme a mon habitude j'ai froid aux mains !! Il me prend une mains et essaye de la réchauffer , comme j'avais envie de lui faire un calin de le serrer contre moi je pose juste ma tête sur son épaule . Je regarde aileurs perdu dans mes pensées ? quand soudain jje vois son visage tout prés du mien se rapprochant de plus en plus ? je ferme les yeux et me voila parti dans un autre monde . Je vous jure qu'aprés quelque doux baiser , j'avais une de ses envie de dormir j'etais trop dans les nuages Voila cela c'est passé il y a 2semaines J'ai 15ans et demi c'est mon premier (et j'espere mon dernier) copain je l'aime a un point inimaginable C'est Mon ange gardien Protecteur de mon coeur Alors célibataires ne perdez pas espoir !! Bisoux a tous The Best Cracotte |
à 16 ans | voisin [16ans] | 09/04 | |
la semaine derniere j'etait en espagne et il y avait une fille qui me tournait autour (mignonne en plus). On est sorti pdt le teps libre, jme suis laissé approché, carresser et .... ellle mavoue avoir un copain, javai cru que cette approche voulai dire que elle allait le lacher. Je lui ai dit quelle devait lui parlé et prendre sa desicion (sans trop lma stresser tte fois, je lui laisserait qlq semaine sil fallait!). Elle ma qd meme pris ds ses bras et tt et tt c'etait cool, j'ai juste tourné le visage qd elle a accroché mes levres, parce quelle avait un gars et parce que c'est bon de ce faire desirer un peu qd mm. C'etait vendredi. Le lendemain ca a recommencé et mes potes sen sont appercuent, mont dient quelle aimé juste me **chauffé**, rien voulu entendre, aprés ce quelle m'avait dit la veille la maniere dont je m'etait accroché a elle, dont on s'etait enlacer, je netait pas receptif à cette verité. quelle desilusion quand dans barcelone elle me dit que je suis trop bien pr elle, que elle a trop de sentiment pour son gars, blabla. Je suis du genre bavard (tres tres) mais la... j'ai juste di *ok* et je lai esquivé pr pas quelle me voit fondre en larmes!! j'ai passer laprem (moi qui dabitude ni touche PAS,) ac un irsh coffee et cigarettes...... TT le monde a peu pres lui en voulai... Sauf moi mdr je n'avait qu'a reflechir! la prochaine fois je prendrai mes distance ac les filles deja posé!... si ttes foisj'arrive N'empeche qu'apres ca ttes les autres filles que je ne connaissait pas se sont rapprochit de moi (je n'ai pas dit que ca m'avait deplut), comme si cette tristesse m'avait rendu plus... attirant? Enfin bref voila je voulait juste vous dire ca javait besoin de le raconter!!!! merci de mavoir *ecouter*. |
à 15 ans | Aline [16ans] | 03/04 | |
Aimer, finalement, c'est quoi ? Aimer, c'est ce gout de vieux bonbon qui nous reste dans la bouche, il n'est pas insuportable, mais on ne sait pas pourquoi il est là. Aimer, c'est ce souvenir de déja vu, déja connu, déja ressenti. J'ai ce gout de vieux bonbon dans la bouche, je te connais comme ta propre âme, j'ai encore ta voix qui me disais "je t'aime" dans l'oreille... Tout ça sans jamais t'avoir vu... Jamais touché, jamais embrassé... J'ai fini par en conclure, aimer c'est souffrir. Enfin pour moi, certains vivent leur bonheur, mais pour combien de temps ? N'as t-on pas, une personne sur terre, faite pour nous ? Alors pourquoi toujours chercher des bêtises dans le couple, si on sait que c'est la personne qu'il nous faut ? Ne peut-on pas vivre en profitant de la vie, sachant qu'elle est si petite ? Voilà, Morgan, j'voulais te dire, que ici, dans mon coeur, c'est toujours le même bordel, et j'ai du ménage à faire, mais il y'as quand même un coffre, où tu reste bien rangé. Fermé à clée. Je t'aime Morgan, et même si on a une distance assez grande, j'perds pas espoir... Jamais. |