Papa, si je pouvais t'appeler comme ça..

Ma plume est pleine de larmes
Quand je parle de toi.
J'ai abaissé les armes
Et renoncé à mon Papa.
J'ai souffert de ton absence à mon réveil.
Je me battais contre ton silence dans mon sommeil.
Je voulais que tu sois fier
Et retrouver enfin mon père.
Je t'ai envoyé des signaux,
Jusqu'à ce que je perde le sens de mes mots.
Seule devant ma feuille j'ai esquissé mes sentiments.
En retour je n'ai eu que du vent.
J'ai mis mon cœur à nu sur ce papier
Et la réponse je me la suis imaginé
Remplie de culpabilité. Mais je me suis aperçu
Qu'elle ne m'est jamais parvenue.
Il me conseil d'arrêter d'y penser,
Parce qu'il comprend et qu'il sait
Que l'absence d'un père cause une faille
Qui restera ouverte dans mes entrailles.
Mais je ne parviens pas à oublier,
A faire un trait sur ce passé.
Je ressasse sans cesse,
Souvent sans confesse.
Aujourd'hui je me résigne à dire,
Que tu ne verras plus mon sourire.


-debmodo-Conflit à régler par MP. Evitez le flood svp.
PiM s-finmodo-

3 derniers commentaires sur le poème


Cloud Atlas [ le 31-08 à 17:24 ]
SonyaScarlet a écrit : Callebaut a écrit : En fait ça ressemble fort aux trucs que j'écrivais quand j'avais douze, treize ans, c'est drôle. Jamais écris comme ça J'assume totalement :P
Cloud Atlas [ le 31-08 à 14:13 ]
N'importe qui est capable de décrire ce qui le touche, savoir écrire bien c'est savoir le faire de manière à ce que ça touche également d'autres personnes. Me concernant, tu n'y arrives pas. Mauvais, donc. En fait ça ressemble fort aux trucs que j'écrivais quand j'avais douze, treize ans, c'est drôle.
petoudu30 [ le 31-08 à 13:25 ]
Ouai.

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