Lorsque la mort nous guette ... (poésie
Je suis frais, rayonnant de toute ma jeunesse,
Revêche comme un roi qui trône la paresse,
Pénétré du plaisir et l’ivresse des soirs,
Où déborde, huant, l’esprit de nos déboires.
Et pourtant, je pressent sous de mauvais augure
Qu’on ne peut imposer à la mort la férule
D’un cruel empereur : c’est un esprit impur.
Sans doute le démon, posé dans sa curule,
Pourra lui opposer un jour sa puissance.
J’ai vécu trop longtemps plongé dans l’indécence
Et sens que l’existence est très stricte et sévère,
Qu’en vivant l’on s’apprête à faire nos prières !
3 derniers commentaires sur le poème
Ben explique nous, développe ! J'aimerais bien savoir ce qui motive ton mécontentement si ca peut améliorer mon écriture...
Après l'orthographe ... je déplore "pressent" au lieu de pressens désolé...
J'aime pas. Si tu pouvais soigner ton ortho' aussi au passage, ça serait mieux.
C'est pas mal quoi que décousu.