"Quand on réfléchit trop" (sonnet)
Encore un (légèrement plus...simple)
Quand on réfléchit trop, qu'on pense un minimum,
Il nous faut un machin comme réconfort, qu'un homme
Normal imaginerait simple un autre jour.
Ici, il nous attrape aux tripes, de l'amour.
Il faut en bouffer pour l'effacer, cette chose
Bizarre qui prend au coeur, sans savoir la cause.
Parfois le souvenir, souvent la déception,
Mais encore et toujours cette même perception.
Ce bout de viande rouge gardant notre vie,
Réagissant à chaque coup de batterie,
Battant plus fort à chaque mot impressionnant,
Tout les mois, doit être calmé sans préavis.
Sans ce cas, pourrait éclater en mille petits
Morceaux de nostalgie; sombrant dans les vieux temps.
3 derniers commentaires sur le poème
Cool!
(par contre, les enjambements c'est pas facile, surtout quand on respect la règle du sonnet en alexandrins!)
Les enjambements cassent le rythme et le rend saccadé, et pis c'est un peu trop facile !
J'aime pas du tout, le vocabulaire n'est pas original pour un sous...
Peace