Asinthe et Edelweiss

:coucou:

Le deuxième de la série !

Absinthe chut du ciel,
Empoisonna les eaux
Et répandit ses maux
Chez les pauvres mortels.

Edelweiss en prit peur
Alla dans la montagne
Évitant la castagne
Avec ces âcres fleurs.

L'une est un rêve blanc
L'autre est une fée verte
D'addiction experte ;

Et soyez un peu franc,
Quand le rêve est passé
Absinthe peut le rappeler.


:papillon:

3 derniers commentaires sur le poème


Platounu [ le 03-11 à 01:22 ]
Si la "triche" peut apporter quelque chose de beau, je vois vraiment pas pourquoi on se priverait :p Parce que je dis pas : une diérèse juste pour faire le nombre de pied, c'est pas bien :| (sorry mais j'étais persuadé que le 12e message, c'était moi qui l'avais posté x3)
Canneberge [ le 03-11 à 00:35 ]
Je suis d'accord qu'un film n'est pas spontané, mais pourquoi dans ce cas là ne pas pousser le vice à inventer des mots ? Ce que je veux dire, c'est que diérèse ou synérèse, c'est un peu tricher pour avoir le bon nombre de pieds.
Platounu [ le 03-11 à 00:15 ]
Tu remarqueras que les films, les romans, le théâtre, ne sont pas spontanés et donc pas naturels. Pourtant c'est pas "nul" ou "idiot". La diérèse, c'est parfois beau (plus qu'un synérèse d'ailleurs) bien que ce ne soit pas prononcé normalement.

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