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Salut a tous voila j'ai eu un exposé a faire sur le contexte du livre "Les bonnes" de Jean-Genet j'aimerai savoir se que vous en pensez :P

Les Bonnes de Jean Genet, est une pièce écrite à la demande de Louis Jouvet, reprit plusieurs fois, entre la première version édité en 1947 et la version définitive en 1968, elle fut reprise par Louis Jouvet et Jean Genet, afin de convenir à une représentation au théâtre plus simple, mais aussi a s'adapter aux enviers de Louis Jouvet et de Jean Genet.
Je vais d'abord vous presenter l'auteur et ensuite parler du contexte de la guerre en premierement et suivre par le nouveau théatre.
Jean Genet, écrivain, poète et auteur dramatique, naît à Paris le 19 décembre 1910. Très jeune il commet son premier vol et éprouve ses premiers émois homosexuels, éléments fondateurs du mythe Genet.Jean genet a écrit les Bonnes en 1947.

Genet s'est inspirée des soeurs papins pour ecrire sa pièce en 1933 les deux sœurs qui étaient au service d’une famille bourgeoise, assassinent sauvagement leurs patronnes. Pourtant dans les Bonnes, de Jean Genet, les deux Bonnes ne vont pas faire preuve de sauvagerie, bien qu’on les en croit capable, et n’assassinent pas leur patronne, l’une des Bonnes tue l’autre. Ce n’est donc pas un mélodrame sanglant, comme l’on pourrait en qualifier l’affaire des sœurs Papin, il s’agit plutôt d’un rite célébral débouchant sur un meurtre-suicide.

Lorsque les bonnes sont joué pour la premier le 19 avril 1947, la seconde guerre mondiale venait juste de se terminer,mais les traumatisme est encore présent.Sur le plan economique les effets ne se sont pas encore fait sentir et sur le plan politique la Iv e Republique est contesté par les communiste comme par le generale de gaulle.Les gouvernement faisait face a des soulèvement dans les colonies.
Après la guerre le passage de l'homme dans le monde et le sens de son existance deviennent des question principales pour les intelectuels et les artiste auxquelle ils essaye de trouver des réponses.
Paremet ses acteurs Albert camus propose une reflexion sur l'absurdité de l'existance dans un essaie qui est le Mythe de Sisyphe ecrit en 1942. Pour Albert Camus le sentiment de l'absurde vient de la confrontation entre l'irrationalité du monde et le désir de sens de l'homme.
Dans une conférance intitulée l'existentialisme est un humanisme en 1946 affirme lui que ce sont les actions de l'homme qui donnent sens a sa vie et que l'individu n'est pas prédéterminé.

Jean paul sartre et Albert Cammus sont tous les deu des acteurs de Nouveau théatre appelleé aussi le théatre de l'absurde.
le théâtre de l'absurde est un terme formulé pour la première fois par l'écrivain et critique Martin Esslin pour désigner une direction théâtrale importante du XXe siècle, aussi pour classer les œuvres de certains auteurs dramatiques des années 1950, principalement en France, qui rompaient avec les concepts traditionnels du théâtre occidental.
Le théâtre de l’absurde désigne essentiellement le théâtre de Samuel Beckett Jean Genet Eugène Ionesco et Arthur Adamov Ces auteurs introduisent l'absurde au sein même du langage, exprimant ainsi la difficulté à communiquer, à élucider le sens des mots et l'angoisse de ne pas y parvenir. Ils montrent des antihéros aux prises avec leur misère métaphysique, des êtres errants sans repères, prisonniers de forces invisibles dans un univers hostile. Par des processus de distanciation et de dépersonnalisation, ces pièces démontent les structures de la conscience, de la logique et du langage.
Ses principales caractéristiques :
Refus du réalisme, des personnages et de l'intrigue
Lieu de l'action indéterminé
Traitement absurde du temps ou disparition pure et simple
Volonté de créer un spectacle total – Prédominance de la mise en scène
Eléménts satiriques visant la société bourgeoise
Climat tragique ou catastrophique “dégonflé” par l'humour et l'absurde des situations
Le refus du langage comme outil de communication. Le langage comme représentation du vide, du ridicule et de l'incohérence de l'existence
Représentation de l'absurdité de la condition humaine qui s'achève sur la mort

Cette conception trouva appui dans les écrits théoriques d'Antonin Artaud, le Théâtre et son double (1938), et dans la notion brechtienne de l'effet de distanciation (Verfremdungseffekt). L'apparente absurdité de la vie est un thème existentialiste que l'on trouvait chez Sartre et Camus mais ceux-ci utilisaient les outils de la dramaturgie conventionnelle et développaient le thème dans un ordre rationnel. Sans doute influencé par Huis clos (1944) de Sartre, le théâtre de l'absurde ne fut ni un mouvement ni une école et tous les écrivains concernés étaient extrêmement individualistes et formaient un groupe hétérogène. Ce qu'ils avaient en commun, cependant, outre le fait qu'ils n'appartenaient pas à la société bourgeoise française, résidait dans un rejet global du théâtre occidental pour son adhésion à la caractérisation psychologique, à une structure cohérente, une intrigue et la confiance dans la communication par le dialogue. Héritiers d'Alfred Jarry et des surréalistes, Samuel Beckett (En attendant Godot, 1953, Fin de partie, 1957) ou Jean Vauthier (Capitaine Bada, 1950) introduisirent l'absurde au sein même du langage, exprimant ainsi la difficulté à communiquer, à élucider le sens des mots et l'angoisse de ne pas y parvenir. Ils montraient des antihéros aux prises avec leur misère métaphysique, des êtres errant sans repères, prisonniers de forces invisibles dans un univers hostile (Parodie d'Adamov, 1949; les Bonnes de Genet, 1947; la Cantatrice chauve de Ionesco, 1950). Par des processus de distanciation et de dépersonnalisation, ces pièces, démontent les structures de la conscience, de la logique et du langage.

3 derniers commentaires sur le poème


frtt [ le 17-11 à 17:56 ]
Moi j'ai bossé sur cette pièce en théâtre l'an dernier J'ai pas tout lu mais j'ai vu deux-trois fois apparaître le théatre de l'absurde Or, il y a deux ans, le thème de l'année était l'absurde et l'année dernière le théâtre dans le théâtre J'ai pas compris ce que "le nouveau théâtre", ou théâtre de l'absurde venait faire au milieu d'un exposé sur les bonnes ^^'
HalimLePetitJeS [ le 15-11 à 20:22 ]
D'accord merci c'est mon brouillon :P
HalimLePetitJeS [ le 15-11 à 19:32 ]
Salut a tous voila j'ai eu un exposé a faire sur le contexte du livre "Les bonnes" de Jean-Genet j'aimerai savoir se que vous en pensez :P Les Bonnes de Jean Genet, est une pièce écrite à la demande de Louis Jouvet, reprit plusieurs fois, entre la première version édité en 1947 et la version définitive en 1968, elle fut reprise par Louis Jouvet et Jean Genet, afin de convenir à une représentation au théâtre plus simple, mais aussi a s'adapter aux enviers de Louis Jouvet et de Jean Genet. Je vais d'abord vous presenter l'auteur et ensuite parler du contexte de la guerre en premierement et suivre par le nouveau théatre. Jean Genet, écrivain, poète et auteur dramatique, naît à Paris le 19 décembre 1910. Très jeune il commet son premier vol et éprouve ses premiers émois homosexuels, éléments fondateurs du mythe Genet.Jean genet a écrit les Bonnes en 1947. Genet s'est inspirée des soeurs papins pour ecrire sa pièce en 1933 les deux sœurs qui étaient au service d’une famille bourgeoise, assassinent sauvagement leurs patronnes. Pourtant dans les Bonnes, de Jean Genet, les deux Bonnes ne vont pas faire preuve de sauvagerie, bien qu’on les en croit capable, et n’assassinent pas leur patronne, l’une des Bonnes tue l’autre. Ce n’est donc pas un mélodrame sanglant, comme l’on pourrait en qualifier l’affaire des sœurs Papin, il s’agit plutôt d’un rite célébral débouchant sur un meurtre-suicide. Lorsque les bonnes sont joué pour la premier le 19 avril 1947, la seconde guerre mondiale venait juste de se terminer,mais les traumatisme est encore présent.Sur le plan economique les effets ne se sont pas encore fait sentir et sur le plan politique la Iv e Republique est contesté par les communiste comme par le generale de gaulle.Les gouvernement faisait face a des soulèvement dans les colonies. Après la guerre le passage de l'homme dans le monde et le sens de son existance deviennent des question principales pour les intelectuels et les artiste auxquelle ils essaye de trouver des réponses. Paremet ses acteurs Albert camus propose une reflexion sur l'absurdité de l'existance dans un essaie qui est le Mythe de Sisyphe ecrit en 1942. Pour Albert Camus le sentiment de l'absurde vient de la confrontation entre l'irrationalité du monde et le désir de sens de l'homme. Dans une conférance intitulée l'existentialisme est un humanisme en 1946 affirme lui que ce sont les actions de l'homme qui donnent sens a sa vie et que l'individu n'est pas prédéterminé. Jean paul sartre et Albert Cammus sont tous les deu des acteurs de Nouveau théatre appelleé aussi le théatre de l'absurde. le théâtre de l'absurde est un terme formulé pour la première fois par l'écrivain et critique Martin Esslin pour désigner une direction théâtrale importante du XXe siècle, aussi pour classer les œuvres de certains auteurs dramatiques des années 1950, principalement en France, qui rompaient avec les concepts traditionnels du théâtre occidental. Le théâtre de l’absurde désigne essentiellement le théâtre de Samuel Beckett Jean Genet Eugène Ionesco et Arthur Adamov Ces auteurs introduisent l'absurde au sein même du langage, exprimant ainsi la difficulté à communiquer, à élucider le sens des mots et l'angoisse de ne pas y parvenir. Ils montrent des antihéros aux prises avec leur misère métaphysique, des êtres errants sans repères, prisonniers de forces invisibles dans un univers hostile. Par des processus de distanciation et de dépersonnalisation, ces pièces démontent les structures de la conscience, de la logique et du langage. Ses principales caractéristiques : Refus du réalisme, des personnages et de l'intrigue Lieu de l'action indéterminé Traitement absurde du temps ou disparition pure et simple Volonté de créer un spectacle total – Prédominance de la mise en scène Eléménts satiriques visant la société bourgeoise Climat tragique ou catastrophique “dégonflé” par l'humour et l'absurde des situations Le refus du langage comme outil de communication. Le langage comme représentation du vide, du ridicule et de l'incohérence de l'existence Représentation de l'absurdité de la condition humaine qui s'achève sur la mort Cette conception trouva appui dans les écrits théoriques d'Antonin Artaud, le Théâtre et son double (1938), et dans la notion brechtienne de l'effet de distanciation (Verfremdungseffekt). L'apparente absurdité de la vie est un thème existentialiste que l'on trouvait chez Sartre et Camus mais ceux-ci utilisaient les outils de la dramaturgie conventionnelle et développaient le thème dans un ordre rationnel. Sans doute influencé par Huis clos (1944) de Sartre, le théâtre de l'absurde ne fut ni un mouvement ni une école et tous les écrivains concernés étaient extrêmement individualistes et formaient un groupe hétérogène. Ce qu'ils avaient en commun, cependant, outre le fait qu'ils n'appartenaient pas à la société bourgeoise française, résidait dans un rejet global du théâtre occidental pour son adhésion à la caractérisation psychologique, à une structure cohérente, une intrigue et la confiance dans la communication par le dialogue. Héritiers d'Alfred Jarry et des surréalistes, Samuel Beckett (En attendant Godot, 1953, Fin de partie, 1957) ou Jean Vauthier (Capitaine Bada, 1950) introduisirent l'absurde au sein même du langage, exprimant ainsi la difficulté à communiquer, à élucider le sens des mots et l'angoisse de ne pas y parvenir. Ils montraient des antihéros aux prises avec leur misère métaphysique, des êtres errant sans repères, prisonniers de forces invisibles dans un univers hostile (Parodie d'Adamov, 1949; les Bonnes de Genet, 1947; la Cantatrice chauve de Ionesco, 1950). Par des processus de distanciation et de dépersonnalisation, ces pièces, démontent les structures de la conscience, de la logique et du langage.

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