[Extrait d'une histoire que j'ai en tête depuis bien trop longtemps, imaginaire, réelle? aucune importance..]
Elle ouvrit la porte de sa salle de bain, s’arrêta un instant et contempla la pièce, sa respiration diminua, son souffle s’accéléra essayant vainement de reprendre une respiration normale : devant ses yeux la silhouette étendue et froide du flacon s’étendait et dominait les ombres dansantes des bougies éparpillées. SON flacon, SON odeur, SA propriété, Son essence… elle ferma les yeux puis les rouvris et pénétra dans la pièce, du regard elle balaya le flacon et fut tenter de le projeter cotre les murs blanc agressif. Pris d’une colère et d’une envie inarétable de violence elle pris le parfum et d’une force inconnue le projeta contre le mur qui lui était de coté, le liquide embaumer imprégna et entoura la jeune femme, il la fit suffoquer, étrangla sa gorge brûlante, bloque ses poumon, d’un voile blanc la rendit aveugle, elle, s’agita et ses geste angoissée gardant la grâce habituel semblaient essayer d’attraper quelque chose dans les aire, sa chevelure virevolta tel des liane féerique, la rage s’empara de son esprit l’agresseur embaumer resserra ses empreinte dans sa chaire, brûlant chaque parcelle de peau toucher, la belle tourna sa magnifique tête vers le miroir et vit ce dont elle redoutait : ses yeux n’était plus le bleu turquoise envoûtant qu’ils étaient , a présent le vert émeraude remplissait le contour de ses pupilles et celle ci dansait parmi les flamme de l’enfer, ses cheveux s’envolait, l’entourais, dansait, autour de sa présence, des main s’enfonçait dans sa gorge pendant que ses bras semblaient prisonnier de chaîne de brume blanchâtre, son doux chemisier avait disparue, a la place son buste s’agitait tel une danse du ventre, le seule bout de vêtement était un magnifique soutien gorge noir pigeonnant orner de pierres noir ébène scintillant sous la lumière blafard de la lampe. La peur se mélangea à la rage, les images revinre, son regard, ses nuits, la cave, les coups, elle sentis son sang couler le long de son coup, les larmes s’accentuaient lui brûlant les joues, ses mains la frappant d’une haine dévorante, les douleurs apparurent soudainement, son ventre retraçait les lames du couteau, ses jambes s’affaiblissaient sous le poids des hématomes et des os cassé, elle sentis sa main frôlant, effleurant son bas ventre, ses doigt pénétrant dans sa belle culotte de satin, elle voulus crier mais ses poumons succombait au parfum, son sang coulait, coulait, ses pieds baignait dans une flaque, les images revinrent, sa mère, sa sœur, implorant la pitié, leur larmes, leur détresse, ses brais enchaîner ne pouvant rien faire, leur appel a l’aide déchirant, leur regard supplient remplit d’amour, leur visage déformer par la douleur du cœur, son impuissance, son regard puissant, son sourire dévorer par la perversité, son ordre contre leur liberté, sa bouche ne pouvant s’ouvrir, ses larmes coulant, leur regard, son impuissance, ses mots remplis de haine, son rire, le couteau tuant, leur sang, son cri, ses pleurs, sa douleur, son impuissance, son regard, leur regard, sa haine, ses chaînes… ses yeux regardèrent une dernière fois le miroir l’ombre s’approcha, son visage se distingua à travers ses mèches de cheveux, son regard bouffer par la méchanceté et par le pouvoir, l’identité découvrant… son bourreau riant a gorge déployer, puis Lui sa vie, la regardant avec dégoût…et puis… elle… son propre visage, ses traits accentuer par la vengeance son sourire en coin traduisant son arrogance et ses yeux étincellent des flammes du diable pur… Ses yeux se fermèrent, elle entendit un dernier choc, s’était son corps contre le carrelage, il avait encore gagner, il ? … Ou elle ?
*
Le sablier se retourne au milieux du grand nuage sombre, les grains de sable s écoulent et s’étalent dans le fond de l’objet de bois marbré, le temps s’écoulent, le nuage s’épaissit, le sablier continue son chemin contre le temps, le temps… il faut se dépêcher, le temps et compter, la fin sera enfin découverte, mais peut être pas a temps, le temps… le nuage se rapproche, le malheur grandi et grossit a vue d’œil, il se nourrit, se nourrit de toi, il va s’abattre, la nuage approche, le temps s’écoule,le temps…
*
Elle se relève avec sursaut, sa peau la brûle entièrement, sa respiration est haletante, la sueur froide glisse le long de son visage. Le calme plat règne dans la pièce, la même lumière blafarde tremblote légèrement, sa tête bourdonne et lance une douleur intense, habituel…, assise sur la sol glaciale au milieux de sa salle de bain, elle contemple une fois de plus l’étendu, tout est saccagé, le mur lui faisant face dégoulinant d’un liquide jaune, a ses pied des éclat de verre ainsi qu’une flaque… de parfum, SON parfum… ses propre flacon et son esthétique sont éparpillées partout, quelque uns sont cassé d’autre ouvert, d’autre écrasé… écrasé ? Elle se met debout péniblement s’accrochant a son lavabo éclatant à 550 euros et se soutient a ses rebord pour ne pas tomber sous le poids de l’étourdissement… elle n’ose pas se regarder dans la glace, qui auparavant était son seule amis… Une brûlure pas inconnue surgit, son cœur… Elle se décide enfin a relever la tête ne sachant pas vraiment à quoi s’attendre, ses cheveux collent sur sa peau, son coup se redresse, ses yeux s’ouvre… un frison parcourt ses épaule puis redescend dans le creux de son dos, sa frange épaisse ayant perdu sa discipline lui donne l’aire d’une baby dolls sauvage, le noir de ses yeux d'étendu en montagne sous ses yeux, ses joues brûlante de larmes ruisselle, sa bouche pulpe rose tremble doucement, soudain elle se surprend à poser sous le poids de sa beauté déranger, une sensation de honte se resserre le long de sa gorge mais son sourire se dessine doucement a la pensée que finalement elle n’a pas honte de se trouver belle en cette instant et éprouve un plaisir enivrant a se regarder son visage, imite quelque pose sulfureuse, la main sur sa bouche, le regard petite fille surprise, puis la main glisse et agrippe le sommet de ses cheveux et la petite fille se change en reine du pouvoir provocatrice, puis sa bouche se moue, s’entrouvre, se ferme, sourit, boude, embrasse, ses yeux pétille, se font dure, doux, coquin, princesse au cœur inflammable, mystérieuse, provoc, allumeuse.. Elle se redresse puis son regard baladeur tombe la bouteille brisée, elle se souvient, se regarde, se dégoûte et se hais, une boule a la gorge se forme, des remonter se font présente, sa douleurs se fait plus dense, sa honte ne se cache plus, son cauchemar refais surface, le temps, le temps… Elle ne comprend toujours pas ce cauchemar mais la curiosité la dévore, oui, elle trouvera la signification, elle en est sur, après tout elle est parfaite… Son démon est revenus, la crise a fait son saccage, encore une fois elle a frôler le diable, dérailler de la réalité, elle en sure encore un peu plus chaque fois, quelque chose se cache au fond d’elle, son bourreau la hante encore et encore et la diable cacher derrière ses veine veut sortir a tout pris, es-ce lui Le malheur de son nuage ? Mais dans ce cas la diable en elle, n’est autre qu’elle même… Trop de chose fusent dans son esprit, elle en vacille, puis SON visage apparaît, son Lui revient, elle sourit, elle ne pense plus a ce qui vient de ce passé, son doux ange la fait décoller, son regard amoureux, ses main désirante caressant sa peau, ses lettres, sa dernière lettre… SA DERNIERE LETTRE ! Elle décroche, percute, l’odeur pénètre ses narines, son sang ne fait qu’un tour, il l’a quitter, il ne veut plus d’elle, il ne l’aime plus, il n’a même pas eu le courage de lui dire en face, il l’abandonne, il aime l’autre, il rêve de l’autre, il ne la désire plus, il ne la trouve plus merveilleuse… ses larmes déborde mais ne la brûle plus, elle ruisselle a flot mais ne brûle plus, elle ne brûle plus… Un sentiment de vide la saisit et s’engouffre en elle, sa tête est vide, il n’y a plus que la sensation de ses main sur ses hanche, remontant au nombril, ses lèvres l’effleurant tendrement… Elle respire un grand coup, puis se déshabille, se regarde dans le miroir, le reflet de son corps parfait l’horripile, elle détourne les yeux puis entre dans la douche, y ferme les porte battante, ses doigt dansant dans ses cheveux, elle tourne le robinet, leur deux corps l’un contre l’autre, l’eau jaillit, froide au premier abord puis tiède ensuite, ses mots d’amours fiévreux, elle se mit sous le jet d’eau, le contact de l’eau sur sa peau la fit sursaut puis elle s’assit et se pelota sous le jet contre le mur de la douche, leurs éclat de rire, elle leva la tête, ferma les yeux, ses bras l’entoura calmant ses pleure, parmi le jet d’eau une goutte d’eau froide se détachait et tombait goutte par goutte sur son front, glissant sur son nez puis ondulant sur sa bouche, leur soirée en tête a tête romantique, elle jeta sa tête en arrière de sorte que la goutte d’eau froide tombe directement sur sa bouche, leur habitude secrète d’aller au cinéma quand il est fermer pour se retrouver tout les deux, elle ouvrit la bouche et laissa la goutte tomber sur sa langue pour couler le long sa gorge, leur secret, les photos et vidéo d’eux, les goutte d’eau bloquèrent et étouffèrent sa gorge, leur regard complice, elle commença a suffoquer mais ne bougea pas, ses je t’aime si doux comme une rose, elle émit des gargouillement d’étouffement, sa vue se troubla et ses main tremblèrent mais elle ne bougea pas, ses main brisant ses chaîne, son soutient contre le bout du tunnel, elle étouffait, encore quelque goutte et ça sera la fin , sa promesse, son amour, son ange, son corps tout entier suffoquer et elle ne pus contrôler ses spasme, elle ne voyait plus rien mais ne bougea pas sa bouche, les goutte continuèrent leur chemin, tout défila devant ses yeux, tout, de sa naissance a aujourd’hui, oui, elle voyait défiler toute sa vie avant de mourir, elle ferma les yeux, son souffle se coupa net, les dernière seconde fut retentis de deux bruit, sa tête tombant, heurtant le rebord de la douche, des coup violent provenant de la porte de la salle de bain… la porte de la salle de bain qui était fermé a clé.
[Belle à en crever, extrait] |
1/5 |
29/11/2007 à 23:08 |
Pour être sincère, c'est bizarre...Je crois que j'ai pas tout comprit.
Sinon bin c'est aps mal sauf que j'ai pas compris le début.
Bref' ce n'est que mon humble avis.
Bonne continuation.
[Belle à en crever, extrait] |
2/5 |
29/11/2007 à 23:34 |
Ya pas mal de fautes quand même....
Sinon j'ai pas tout compris, je l'ai lu qu'une fois.
[Belle à en crever, extrait] |
3/5 |
30/11/2007 à 02:06 |
C'est le plus beau texte que je n'ai jamais vu
Awww...Trop beau...
De plus ca tombe bien car j'écoutais Valentine's day de Linkin Park x'D
[Belle à en crever, extrait] |
4/5 |
01/12/2007 à 09:23 |
Ouais bah faudrait éviter de faire une phrase par paragraphe (surtout quand ils font 30 lignes), penser à aérer, et éviter les fautes d'orthographe immondes que j'ai vu !
Je me suis arrêté bien trop tot ...
[Belle à en crever, extrait] |
5/5 |
01/12/2007 à 09:42 |
J'ai pas eu le courage de finir.
C'etait insupportable, comme c'est dit precedement tu n'aeres pas assez, c'est long, c'est lourd..
36 000 mots sépares par des virgules, ca se repete, c'est plein de fautes...
Dommage parce que l'histoire en elle même a l'air originale, elle aurait pu être bien ...
A part ca, il y a quand meme un morceau que j'ai ADORE :
" la cave, les coups, elle sentis son sang couler le long de son coup, "
Voila. =]
Caro.
PS ; mon conseil, enleve les fautes d'orthographe, relis toi, et ca ira deja beaucoup mieux.