La première fois que l’on c’est vu, c’étais grâce a mon frère.
Vous étiez dans la même classe.
Au fil du temps tu es devenu mon ami.
Tu habitais dans le même village.
On se voyait souvent.
On a grandi et on se voyait de moins en moins.
Mais grâce à la jeunesse nous nous sommes retrouvé.
On se croisait dans les girons et les bals, aux assemblées et aussi des fois dans le village.
Ce village où nous avons grandi tout les deux.
Et le 4 novembre 2004 j’apprends que tu nous as quitté, que ta vie a cessé.
Un accident t’a emporté.
J en ai pleuré.
Je n’y crois toujours pas.
Tu ne peux pas être parti comme sa.
Cette pauvre conne qui t’a coupé la route mériterait d’être à ta place.
Mais non, elle, elle s’en sort sans rien, juste ta mort sur sa conscience.
Je n’y crois pas, elle mériterait la mort.
Mais, c’est toi qui est parti et elle qui est en vie.
Ludo tu me manques, tu nous manques à tous.
A l’amitié décédée |
1/4 |
10/11/2004 à 21:22 |
franchement c bo, tu fai pasé ta tristesse ta colère et ton vécu, mais les rime ne son pas là!!
mé bravo kan mm!!
A l’amitié décédée |
2/4 |
10/11/2004 à 21:54 |
dur, rien à faire c'est la vie, à si avoir une voiture avec des renforts latéraux, mais bon s'aurait été un camion c'était pareil...alors courage
A l’amitié décédée |
3/4 |
10/11/2004 à 22:41 |
mé puré c tro bo pi dls mé pr les rime on en a rien a afiare c telemen bo kons epose pa la kestion areter de chercher les detail
tre bo et soi forte c tré dur mé essaye
bis tu ve parer chu la
bis
A l’amitié décédée |
4/4 |
11/11/2004 à 22:07 |
si vous penssé que j'ai réussi a faire des rimes.... désolée mais la j'ai pas trop le moral a pensé a faire des rimes déso...