L'amour est le pire des poisons

VanVeen a écrit :
Le déplaisir est pas forcément plus grand que le plaisir...
Question de point de vue.

J'en pense que si tu part de ce principe tu as raison d'essayer de ne pas chercher l'amour en effet

L'amour et la souffrance sont indissociables. Déjà.

Alors pourquoi l'amour serait-il plus important?

C'est ce qu'on se dit, alors qu'en réalité, l'un est aussi important que l'autre.
Mais la réalité est autre, c'est que nous, humains, préférons aussi être heureux, atteindre un état de quiétude, un état de joie continu. Or, qu'est ce qui se rapproche à première vue du bonheur? L'amour ou la souffrance?
A partir de là, on va considérer l'amour comme étant très important pour pouvoir arriver à un état de joie.
Ensuite, la souffrance, on y prête attention seulement lorsqu'elle est présente, l'amour, lui, est présent quasiment de partout.

Ca te donne un élément de plus.

Enfin, j'dirais que l'amour est considéré comme plus important pour la simple et bonne raison que d'aimer aide parfois à avancer alors que de se plaindre et souffrir de son propre sort nous fait rester à la même place que lorsque l'amour est parti. En première apparence, ou directement si tu préfères. Après, si tu veux traiter des conséquences indirectes de tout ça...

Si j'étais plus malheureuse qu'heureuse dans ma relation, j'aurais déjà abandonné

[Pour le titre, j'avais lu "poissons" XD]

Moi aussi j'avais lu poisson.

Firea a écrit :
Si j'étais plus malheureuse qu'heureuse dans ma relation, j'aurais déjà abandonné

[Pour le titre, j'avais lu "poissons" XD]
Explique moi le sens du titre avec poisson sans dec' mdr

WildChild a écrit :
Moi aussi j'avais lu poisson.

Jabberwock a écrit :
Dr PsychoShark a écrit :
L'amour et la souffrance sont indissociables. Déjà.

Alors pourquoi l'amour serait-il plus important?

C'est ce qu'on se dit, alors qu'en réalité, l'un est aussi important que l'autre.
Mais la réalité est autre, c'est que nous, humains, préférons aussi être heureux, atteindre un état de quiétude, un état de joie continu. Or, qu'est ce qui se rapproche à première vue du bonheur? L'amour ou la souffrance?
A partir de là, on va considérer l'amour comme étant très important pour pouvoir arriver à un état de joie.
Ensuite, la souffrance, on y prête attention seulement lorsqu'elle est présente, l'amour, lui, est présent quasiment de partout.

Ca te donne un élément de plus.

Enfin, j'dirais que l'amour est considéré comme plus important pour la simple et bonne raison que d'aimer aide parfois à avancer alors que de se plaindre et souffrir de son propre sort nous fait rester à la même place que lorsque l'amour est parti. En première apparence, ou directement si tu préfères. Après, si tu veux traiter des conséquences indirectes de tout ça...
Il est plus simple pour arriver à un état de quiétude de rejeter les deux et de devenir hermétique à toute forme de sentiment.
La souffrance présente la quiétude ne restera qu'un rêve, et comme indissociable de l'amour elle sera toujours là, donc niveau quiétude c'est pas gagné.
Alors qu'un état asentimental ne rend ni triste ni joyeux, il rend calme.

Oui et non. Car j'entends par quiétude non pas une quiétude calme, mais une certaine forme de bonheur, sans tracas, sans problème.
D'ailleurs, devenir hermétique à toute forme de sentiments est impossible.

Mais pour en revenir au sujet principal, les deux sont indissociables. Si tu choisis d'aimer, tu choisis de souffrir aussi.
Et en revenant sur l'hermétique. Ne penses-tu pas qu'à un moment ou à un autre, cela entraine une sorte de frustration, de colère, que de ne pas se faire plaisir? Là, je te parle d'émotions, donc éphémères, et non pas de sentiments.
De la frustration va découler une envie, et donc la brisure de la carapace créée auparavant. En tout logique selon moi.

Mais en fait, ta vision est assez pessimiste.

Dr PsychoShark a écrit :
Jabberwock a écrit :
Dr PsychoShark a écrit :
L'amour et la souffrance sont indissociables. Déjà.

Alors pourquoi l'amour serait-il plus important?

C'est ce qu'on se dit, alors qu'en réalité, l'un est aussi important que l'autre.
Mais la réalité est autre, c'est que nous, humains, préférons aussi être heureux, atteindre un état de quiétude, un état de joie continu. Or, qu'est ce qui se rapproche à première vue du bonheur? L'amour ou la souffrance?
A partir de là, on va considérer l'amour comme étant très important pour pouvoir arriver à un état de joie.
Ensuite, la souffrance, on y prête attention seulement lorsqu'elle est présente, l'amour, lui, est présent quasiment de partout.

Ca te donne un élément de plus.

Enfin, j'dirais que l'amour est considéré comme plus important pour la simple et bonne raison que d'aimer aide parfois à avancer alors que de se plaindre et souffrir de son propre sort nous fait rester à la même place que lorsque l'amour est parti. En première apparence, ou directement si tu préfères. Après, si tu veux traiter des conséquences indirectes de tout ça...
Il est plus simple pour arriver à un état de quiétude de rejeter les deux et de devenir hermétique à toute forme de sentiment.
La souffrance présente la quiétude ne restera qu'un rêve, et comme indissociable de l'amour elle sera toujours là, donc niveau quiétude c'est pas gagné.
Alors qu'un état asentimental ne rend ni triste ni joyeux, il rend calme.

Oui et non. Car j'entends par quiétude non pas une quiétude calme, mais une certaine forme de bonheur, sans tracas, sans problème.
D'ailleurs, devenir hermétique à toute forme de sentiments est impossible.

Mais pour en revenir au sujet principal, les deux sont indissociables. Si tu choisis d'aimer, tu choisis de souffrir aussi.
Et en revenant sur l'hermétique. Ne penses-tu pas qu'à un moment ou à un autre, cela entraine une sorte de frustration, de colère, que de ne pas se faire plaisir? Là, je te parle d'émotions, donc éphémères, et non pas de sentiments.
De la frustration va découler une envie, et donc la brisure de la carapace créée auparavant. En tout logique selon moi.

Mais en fait, ta vision est assez pessimiste.
Sans sentiment, pas de colère, une coquille vide ni heureuse ni triste. Ce serais parfait pour moi.

Jabberwock a écrit :
Lyric77 a écrit :
Jabberwock a écrit :
Lyric77 a écrit :
J'en pense que si tu part de ce principe tu as raison d'essayer de ne pas chercher l'amour en effet
Je ne pars pas sur ce principe, je constate par expérience personnel ou de connaissance !

Il faudrait alors arrêter de se baser sur tes anciennes expérience car toutes les filles sont différentes les histoires vécue avec seront différente , enfin après comme tu dit tous n'est que question de point de vue ce qui fait que l'on prends nos propres décision et que l'on se croit ce que l'on veux ^^
Toutes les histoires s'enchaine et se ressemblent, seul les détailles changent.

Oui et non. Car ton quotidien sera différent, et c'est ce qui fait que les histoires seront différentes.
Certes, ce sera la même chose, baisers, calins au lit, et patati et patata, mais le partage dont tu fais preuve avec ta partenaire changera en fonction de la partenaire en question. Ton quotidien, donc ton vécu ne sera pas le même. Et par conséquent les expériences différentes.

Sinon, on se mettrait avec n'importe qui, et ça irait. J'pense que ta vision de l'amour est un peu simpliste si tu penses vraiment ceci.