Comme un petit air de nostalgie
Quand les roues caressent le béton de la rue
Les passants te regardent, méprisants
Et toi tu glisses entre leurs pieds
Laisses éclater ton rire cristallin
Ta jeune insolence
Comme une légère mélancolie
Lorsque le bois râpe le bitume nu
Ta dégaine dérange, arrogant
Et toi tu planes au dessus des pavés
Laisses éclater ton puéril dédain
Ta fière insouciance
Comme un pincement amer
Quand les filles te regardent en souriant
Elles exposent leurs charmes, te convoitent
Et toi tu leur réponds, Dom Juan
Laisses paraître ton désir, pourtant feint
Tes si charmants atouts
Comme une larme réfractaire
Lorsque je t'imagine, aimant
Dans les bras de ta poupée, béate
Et toi de ton regard, attendrissant
Tu me laisses attendre, étreint
De mes câlins jaloux...
(A Cédric... )
Arrogant... |
1/3 |
06/01/2008 à 14:36 |
J'aime beaucoup, simplement...
Arrogant... |
2/3 |
06/01/2008 à 14:52 |
moi oci je trouve ca simpa .
Arrogant... |
3/3 |
06/01/2008 à 15:06 |
C'est pas parfait, mais agréable à lire.