juste au passage deu petit poeme ke g ecri... un 3jour apré avoir apri cette histoire de caillot de sang et un ce soir....... dite moi ske vou zen penser au passage! ;) merci
Quand je suis avec toi,
J'ai peur.
Et pourtant,
Je n'ai pas peur de toi...
Tu es une rose,
Dont chaque petale,
S'echappe peu à peu,
Comme une metamorphose,
Qui glisse le mal,
Dans ton etre frileux.
Je me suis souvent,
Piquer sur tes epines,
Et bruler sur ton coeur flambant,
Ces cicatrices, encore, me lancine.
Mais est-ce vraiment important?
Ta vie n'a-t-elle pas plus de valeur,
Que mon coeur sanguinolant,
D'eternelles douleurs...?
Je pense à toi,
Ton souvenirs m'etrangle si fort,
Tu es encore là,
Mais j'ai si peur de ta mort...
Un jour tu m'as dit,
Que tu serais toujours là, tu as promis.
Et un autre tu m'as confier,
Qu'un jour,ca ne serait peut-etre plus vrai...
Ce soir la,
Nous n'avons cesser de pleurer,
Et depuis tu es toujours là,
Mais il y a tant de "si jamais"
J'ai tellement peur de te perdre......
Ca serait la braise de mon feu,
Qui s'en va rejoindre son pere,
Un soleil furieux,
Brulant contre Lucifer...
Ca serait un ange terrestre,
Qui s'en irait rejoindre le ciel,
Un concours equestre,
Une bataille contre l'eternel...
Tu es L'un des anges de ma vie,
Mais je t'en supplie...
Ne quitte pas mon ciel,
Meme si tu y es eternel...
.......
enfouie dans mon gilet
j'ai froid
je pense a toi
a ces moments passés...
je voi ton image,
un sourire sur ton visage...
mais hier c'était ta voix
que j'entendait pleurer d'effroi...
des larmes pour appaiser ta douleur...
des larmes pour calmer ta peur...
je faisais comme si de rien n'était
mais moi aussi je pleurais...
moi aussi je tremble de peur,
de froid, d'amour, de souvenirs
moi aussi j'ai peur de l'avenir,
de voir s'arréter ton coeur...
subir encore un déchirement,
dans mon pauvre petit coeur
mais lui, au moins, serait vivant,
meme transi par la douleur...
douleur de t'avoir perdu
douleur de t'avoir decu
je t'en suppli, ne pars pas...
reste avec nous, avec moi...
dis moi que ce n'était pas vrai,
que c'était un mensonge pour oublier...
que c'est moi qui ai révé...
que ces mots, n'ont jamais été prononcés...
j'essaye de me bercer d'illusions,
pour ne pas y penser,
mais pourtant ma raison,
en moi, ne cesse de chuchotter,
que je dois accépter la vérité...
l'accépter telle qu'elle est...
meme si elle fait mal...
plus coupante que du cristal...
et ma raison me repete,
qu'il n'y a qu'un moment qui fait peur,
qu'il me remplira de douleur...
mais qu'il reste un peut-être...
peut-être qu'il n'arrivera pas,
il faut garder espoir...
il n'est pas encore la,
je voudrais tellement y croire...
mais pour l'instant je pleur,
mais pour l'instant j'ai peur,
pour l'instant j'en veux a la vie,
cette vie qui nous détruit,
j'essaye de ne pas y penser,
je plonge dans l'oubli,
et malgré la peur qui m'envahit,
avec toi, je continue de réver...