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Rob BieZom |
Carnage |
45 |
25/08/06 à 13:54 |
Le chemin est bosselé. Troué. Des nids de poules de partout. Chemin incertain vers cet avenir donc je connais déjà le dénouement.
Il se trouve là bas, l'enflure. Il m'a tout piqué, ma vie, mes idéaux, mon coeur, mon âme. Maintenant je veux tout reprendre ! J'avance par ce chemin bosselé, troué, incertains, flingue en main. L'idée du sang qui coule me fait déjà baver d'envie. Son sang sur mes mains... Et là ça me saute à la tête, ce comportement psychopathique...
J'ai des idées tellements noires qu'elles virent au rouge ! Ce flingue que je tiens, c'est avec celui-ci qu'il les a tous buté ! Quelle meilleure arme pour une vengence que la sienne ?... Mais quand je vais le trouver, les choses ne se passeront pas aussi bien, aussi rapidement, je compte bien prendre un putain de pied à l'étriper !
Je réagi en serial killer, c'est pas normal. Mon passé me rattrape. Je prend la pillule du Docteur Miraud. Miraud, tu parles d'un nom pour un médecin ! Moi ça me met pas vraiment en confiance, mais tant pis. Je ne suis pas là pour le plaisir, je suis là pour me venger. je gobe les 3/4 de la boîte.
La pluie ruisselle sur mon visage. Le trop plein de pillules en train de fondre dans bouche dessine une large trainée blanchâtre sur le coté de ma bouche, dégoulinant jusqu'à mon menton. J'arrive au niveau du portail blanc. Je l'ouvre, le pousse et le referme discretement. L'effet de surprise a du bon quand on doit buter un mec. Surtout lorsqu'il est moins agé et plus vif ! Je fais quatre pas sur la pelouse avant que son con de caniche ne me saute dessus. Un caniche, faut être un gland pour aimer ces trucs. je lui fous une grande droite dans la gueule qui disloque son petit crpane si fragile. Il gigote par terre, fait chier ! Je suis obligé de le terminer à coup de pied, et merde ! Mon froc est taché maintenant ! J'ai des bouts de cervelle qui accrochent sous mes pompes.
Avec tout ce bordel, ça m'aurait étonné que ce pourri ne sorte pas de son trou. J'ai juste eu le temps de me caché derrière le mur. Il est maintenant dos à moi. Je lui tire une balle derrière chaque rotule. C'est fou ce que son silencieux est efficace... Il gigotte à présent par terre comme son clebar décérébré. Ses jambes baignant dans son sang.
Je le prend par les pieds et je le traine à l'intérieur. Sur la table de la cuisine, je vois son badge d'officer jeté négligemment à coté de son arme de service. Il a quand même eu l'intelligence de buter les miens avec un flingue volé qu'il avait trouvé dans son petit commisariat. Il me faut 10 minutes pour l'enchainer sur une de ses chaises en bois que j'ai pris dans son salon.
Je sors le chargeur, 5 balles plus celle déjà engagée. Donc, ça me fait 6 ovales à lui balancer dans la tartine... Je lui vise la tête, mais je change vite d'avis. Je préfère lui ruiner les burne en vidant le chargeur sur son entre jambe. Enfin, je n'ai eu le temps de tirer que 4 des 6 balles, les 2 autres étant parties dans la tête de sa conne de petite copine qui voulait m'assomer avec son sèche cheveux... le voilà sans avenir et sans femelle. Avant de continuer, je m'amuse à lui cramer les joues avec le bout encore brûlant du silencieux...
Je m'assois en face de lui, et je le regarde, longuement, je me plait à le voir souffrir physiquement et mentalement. Un sadisme d'une satisfaction plus qu'agréable. Mais plus tout celà se déroule, moins j'ai envie de le foutre en l'air. La mort serait une alternative bien trop honorable pour lui. Lui qui se venge en déciment tous les miens, simplement parce que j'ai bousillé la tronche de son fils en lui roulant dessus à la sortie de l'école. Maintenant il se rend compte de l'étendue de sa connerie.
En passant par son garage, j'ai ramené une jolie perceuse. Je commence par lui percer les cuisses, mais des lambeaux s'accrochent à la tige. je le nettoie à l'aide de son essuie-tout. Je m'aperçois de l'heure avancée, celle à laquelle la pétasse qui lui sert de fille rentre de son lycée... J'accélère donc le mouvement. Avec la perceuse, le lui crève les yeux. Je chope un de ses couteau de cuisin et je le découpe la langue le plus loin possible dans la bouche. Il avale des hectolitres de sang et se met instantanément à dégueuler son midi ce gros porc ! Pour finir, je lui ruine les mains en les frottant violememnt avec du papier de verre, jusqu'à atteindre l'os.
Comment tu aura du mal à dire qui a détruit ta vie sans tes yeux, ta langue ou tes mains... Surtout que la destruction de ta vie est en réponse à la destruction que tu as engendrée sur la mienne !...
Reste in pisse, espèce d'enfoiré !
Carnage |
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25/08/2006 à 14:04 |
Allez les gens ! Faut pas avoir peur de la violence ^^
Carnage |
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25/08/2006 à 14:05 |
Allez les gens ! Faut pas avoir peur de la violence ^^
Carnage |
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25/08/2006 à 14:06 |
J'ai envie de dire
BAAAAAAH
J'ai eu du mal à lire xD
Carnage |
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25/08/2006 à 14:07 |
FlexBlur_CRS> euh oui.... ^^ a tes souhaits
Carnage |
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25/08/2006 à 14:52 |
Marrant.
Carnage |
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25/08/2006 à 15:00 |
Ah ben ça m'a ouvert l'appétit tiens ^.^
Carnage |
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25/08/2006 à 16:45 |
zedeadnerval> C'est le mot ^^ avec amoral également
SeriaL KiSsEuSe> Tiens donc, moi aussi
Carnage |
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25/08/2006 à 18:40 |
tous choqué ? ^^
Carnage |
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25/08/2006 à 19:44 |
Peace
Carnage |
10/45 |
25/08/2006 à 19:46 |
Moi je pense que si on relativise trop à force nos esprits se compriment et dès lors impossible de faire marche arriere.
Enfin c'est mon avis...
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X-
Carnage |
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25/08/2006 à 20:01 |
Je trouve pas ça trop amorale parceque le tout sonne d'une manière trés ... humoristique. Perso sa me fait marrer mais d'une force !! Dire les choses crument et de manière exagéré ne les rends pas forcément réaliste.
Carnage |
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25/08/2006 à 20:02 |
J'ai déjà lu des textes gores, beaucoup plus que celui là, des textes violent et où il y aviat des insultes, j'ai aimé. Mais là... Beauoup d'actions, peu de déscriptions, si ce n'est le sang. Le côté sadique et psychopathe (qui par ailleurs, ne joue pas que sur la douleur phisyque, mais aussi sur le mental de l'agresseur) est pas assez travaillé. Y a beaucoup de répétitions, et de violences gratuites.
Bref. Tu m'ascompris.
Carnage |
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25/08/2006 à 21:05 |
zedeadnerval> Je te félicite, tu as compris le texte
Un humour totalement noir à ne surtout surtout pas prendre au sérieux (si j'avais voulu faire réaliste, le type serait mort en un clin d'oeil et le coup du caniche n'aurait même aps existé lol)
kamaleviv> Le coté psychopathique est beaucoup plus travaillé que tu ne le penses mon cher ami ^^ sait tu ce qu'est un psychopathe ? j'écris des histoires de tueurs oui, mais je sais ce que je raconte ! Et à mon avis, il y a nombre de détails que tu n'as pas remarqués ici ^^ et ensuite pour la violence, il y en a certe, mais montre moi là où elle est gratuite stp
AvecunE> à tes souhaits mon cher !
Carnage |
14/45 |
25/08/2006 à 21:51 |
je l'ai relu et j'aime beaucoup
Carnage |
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25/08/2006 à 21:59 |
raaahh putain mais j'adore ! totalement accro a ce texte ! j'l'ai lu 3 fois en 2 minutes XD
Trop bon le coup du caniche
a quand le prochain texte, mon maitre ?
Carnage |
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25/08/2006 à 22:06 |
Whatsername_CDB> Quand j'aurais des idées bien gores à mettre sur table lol, celui ci n'est qu'un avant goût ^^ un texte comme je les aimes qui se dévoilent au fur et à mesure avec un humour noir totalement décomplexé qui tape bien l'amoral ^^
Carnage |
17/45 |
25/08/2006 à 22:13 |
J'm'imaginais bien la scène la en fait
mais j'connais personne qui possede un caniche
et j'suis aps sure que ca marche avec un rottweiler ^^
Carnage |
18/45 |
26/08/2006 à 02:16 |
un peu (que dis-je, TRÈS!) sadique mais cest tres bon lol
Carnage |
19/45 |
26/08/2006 à 02:29 |
trop marrant,la scene avec la perceuse piquer de HOSTEL???
Carnage |
20/45 |
26/08/2006 à 11:36 |
Ga4r@_the_sk8er> Aaaaaaaaaaaaah ! Enfin un cinéphile
Tu as reconnu la perceuse dans les cuisses avec les morceaux de chair qui restent accrochés ^^ c'est bien, mais pour la suite, j'ai fait à ma facçon, je te félicite
xXxCathxXx> ché pas j'ai jamais gouté