Voici le début de l'histoire que je commence. Le Chapitre n'est bien entendu pas entier. Ne soyez pas trop dur, c'est l'un de mes très très très rare textes. Et en plus pour une fois que j'aime ce que j'écris...
Bonne lecture, et n'hésitez pas a donner votre avis.
Chapitre un : L'élu.
Les cris des corbeaux résonnent sur ces terres aujourd'hui souillées par les sangs mêlés des hommes tombés dans une légère brume matinale. Seul quelques gémissements de douleur d'une poignée d'hommes agonisant, et le bruit de lames venant chercher les mourants plus vite que les serviteurs d'Hadès interrompt les horribles croassements des corbeaux venues se régaler.
Le temps s'annonce bon pourtant, le soleil commence à peine a monté dans le ciel sans nuages, dissipant déjà le brouillard et offrant en plus de sa lumière, une chaleur qui n'arrêtera pas de grimper jusqu'au zénith. On pourrait en dire que ce spectacle funeste plait aux dieux... Juste une légère brise qui, transportant déjà une petite odeur putride, attire d'autres charognards affamés.
Ces terres ravagées, autrefois recouvertes d'une prairie verdoyante et parsemées de plantes druidiques, est maintenant brune, une couleur qui vient de la terre labourée par les galops des chevaux de guerre mélangée a ces innombrables litres de sang perdus par ces soldats. Les flèches des archers et les lances des tirailleurs, qui semblaient être extrêmement précis vu le peu de projectiles n'ayant pas trouvés leurs cibles, laissent des hommes empalés contre terre.
Aux quatre coins du champs de bataille, des étendards bicolore ont étés plantés, sans doute pour signaler qu'une armée a ici triomphée, et que ces terres leurs appartiennent a présent. La devise "SPQR" cousue sur un tissu rouge, en lin sans doute, avec comme ornement un aigle forgé dans l'or, le tout sur une pique de bois.
Six groupes de dix hommes, visiblement de l'armée Romaine, reconnaissables a leurs armures, boucliers et des heaumes a crête rouge pour un d'entre eux dans chacun des groupes semblent chercher des survivants sur cet immense champs de bataille morbide. Et aussitôt sont-ils trouvés qu'ils abrègent leurs souffrances par le glaive. Ennemies, mais aussi les guerriers de leurs troupes si leurs blessures sont trop graves. Certains militaires prennent même du plaisir a couper les têtes de certains officiers ennemis morts et les balancés sur les amas d'oiseaux noirs, qui se jettent dessus à peine ont t-elles finis de rouler entre les corps sans vie. Ce sont, sans doute, les yeux qui doivent être des friandises de choix pour ces oiseaux de malheur.
Au milieu de ce carnage, un amoncellement de cadavres autour d'un char massif renversé sur son côté, avec quelques flèches plantées dans son bois robuste et ayant encaissé de toutes parts des coups de haches ou d'épées. Les quatre chevaux alezan qui tiraient ce lourd engin de guerre portent sur leurs peaux la violence de l'affrontement. Des flèches, des plaies suintantes, des lances qui traversent le cou et les tripes de ces animaux, et même pour l'un d'eux, un claymore enfoncé jusqu'au pommeau dans ses entrailles, dans la longueur de son corps. Le petit souffle de vent qui passe par là fait tourner sans cesse la lame vrillée, forgée a même la roue du char ensanglantée dans un grincement à peine audible. Ce véhicule de bataille redoutable attire l'attention de l'un des groupes, qui s'avance vers lui en oubliant de scruter les morts qui ne le sont peut-être pas. Il y a bien une cinquantaine de leurs ennemies, violemment tués en voulant protéger à tout prix cet engin, ou surement la personne qu'il transportait. Beaucoup d'entre eux sont mutilés ou éventrés, leurs armures sont déchirées, brisées, et pour ceux qui avaient la chance d'en avoir une d'acier ou de plaques, enfoncées par des coups contondant, ayant fait mourir lentement le martyr par compression de l'armure sur leurs corps... L'homme a la crête rouge, le décurion du groupe s'avance un peu plus du lieu, jette un coup d'oeil, pousse de son pied un corps sans vie, le faisant basculer sur son côté, il se retourne et lance un appel de voix a tous les groupes au loin, achevant les mourants. Ceux-ci s'empressent de le rejoindre, courant à travers les corps inanimés, créant un nuage de corbeaux au-dessus de ces terres désolées. La totalité des hommes sont à présent au talon de l'appelant, qui à peine se sont-ils remis de leur course, commencent à déblayer les cadavres allongés tout autour du sinistre en faisant un tas a quelques mètres du char. Les officiers se sont rassemblés et semblent impatients de trouver quelque chose. Ils scrutent la fouille des soldats avec attention.
L'un des soldats s'accroupit, attrape violemment un avant-bras arraché au niveau du coude. Son regard est immédiatement attiré par une chevalière en or ornée d'inscription d'une langue qui lui est inconnue. Il cherche rapidement autour de lui en espérant trouver un cadavre unibrassiste. Les chefs des groupes s'avancent rapidement vers le soldat, qui à ce moment s'abaisse, et se relève avec sur son dos un mort partiellement protégé par une armure de plates. Il le pose rapidement a l'écart des autres morts en croulant presque sous son poids. Le corps semblent intact, mis a part ce membre visiblement sectionné d'un coup d'épée ou de hache, pile à l'articulation reliant l'avant bras au bras. Le militaire l'ayant découvert retira la bague du doigt de la victime et l'apporta directement à un de ses chefs de guerre, qui l'observa de près un court instant, pendant qu'un autre lui retira cet heaume magnifique a crête d'une couleur particulière. Une couleur se rapprochant du beige, mais légèrement dorée.
"Attrape ça... et garde-le jusqu'au camp." Dit le Décurions avant de lancer cette pièce d'armure au soldat le plus proche.
Le légionnaire l'attrapa maladroitement.
Les supérieurs hiérarchique commencèrent à ricaner, à se réjouir, tandis que leurs hommes se regardèrent, perplexes.
"C'est lui ! Le commandant de cette armée vaincue, aujourd'hui par les Romains. Cet homme fou venant de Perse dont personne ne connait le nom, ayant osé défendre la terre de son peuple contre la puissance de Rome , en surestimant son armée, et sous-estimant les légionnaires de Rome. Lui, ainsi que son armée ont été rayés de la surface de la terre !" Marmona l'un des décurions, en parlant très vite, avec, dans sa voix, un soupçon de rage lié a du plaisir
"Merci messieurs, maintenant, rentrez au camps et faites circuler la nouvelle ! Nos troupes en garnison gagneront en moral avec ça. Mais avant, informez-en le centurions et donnez lui cette chevalière. Il saura quoi en faire. Faites attention."
"Faites vite, je ne voudrais pas que cette bague soie perdue, ni cet heaume. Surtout que ce soir la nuit arriverat vite. Rompez." Ordonnèrent les crêtes rouge.
Les militaires s'éxecutèrent immédiatement, et prirent route vers le sud. Le soldat à qui l'officier avait confié l'heaume commença déjà à charier ses camarades en enfilant ce casque d'une splandeur sans pareil.
Les six décurions, après avoir tranché la tête du commandant Perse, finirent les exécutions avant de prendre la route, eux aussi vers le campement, quelques heures plus tard, lorsque les ténèbres de la nuit recouvrirent le ciel, laissant pour seul lumière naturelle, un ciel accompagné de milliers d'étoiles et d'une magnifique pleine lune.
Chapitre I : L'élu. |
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31/08/2011 à 17:40 |
C'est d'un lourd ! Effectivement on voit bien que tu n'écris pas très souvent car ton écriture est vraiment emprunte de lourdeur. Tu ne maîtrises manifestement pas ta langue et c'est embêtant parce qu'on se retrouve avec des phrases très mal formulées (on a l'impression qu'il manque une fin à certaines) qui nuisent à la fluidité du texte et à l'attention du lecteur. J'ai aussi trouvé que certains mots étaient mal employés (ce qui laisse penser que tu ne connais pas forcément leur définition) et j'ai relevé plus d'une faute. En dernier lieu, ta manière de décrire laisse aussi à désirer car même si on finit par imaginer le cadre, les mots que tu utilises pour la descriptions ne sont pas les bons. Or, pour écrire il faut savoir placer les bons mots au bon endroit, rendre les phrases digestes et bien tournées. Ce n'est pas le cas ici et il va falloir du travail pour que ça ait un aspect plus littéraire.
Chapitre I : L'élu. |
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02/09/2011 à 12:39 |
Frosties
C'est d'un lourd ! Effectivement on voit bien que tu n'écris pas très souvent car ton écriture est vraiment emprunte de lourdeur. Tu ne maîtrises manifestement pas ta langue et c'est embêtant parce qu'on se retrouve avec des phrases très mal formulées (on a l'impression qu'il manque une fin à certaines) qui nuisent à la fluidité du texte et à l'attention du lecteur. J'ai aussi trouvé que certains mots étaient mal employés (ce qui laisse penser que tu ne connais pas forcément leur définition) et j'ai relevé plus d'une faute. En dernier lieu, ta manière de décrire laisse aussi à désirer car même si on finit par imaginer le cadre, les mots que tu utilises pour la descriptions ne sont pas les bons. Or, pour écrire il faut savoir placer les bons mots au bon endroit, rendre les phrases digestes et bien tournées. Ce n'est pas le cas ici et il va falloir du travail pour que ça ait un aspect plus littéraire.
c'est bien la critique mais quand est ce que tu nous écrit quelque chose?
Chapitre I : L'élu. |
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02/09/2011 à 12:44 |
Frosties a écrit :
C'est d'un lourd ! Effectivement on voit bien que tu n'écris pas très souvent car ton écriture est vraiment emprunte de lourdeur. Tu ne maîtrises manifestement pas ta langue et c'est embêtant parce qu'on se retrouve avec des phrases très mal formulées (on a l'impression qu'il manque une fin à certaines) qui nuisent à la fluidité du texte et à l'attention du lecteur. J'ai aussi trouvé que certains mots étaient mal employés (ce qui laisse penser que tu ne connais pas forcément leur définition) et j'ai relevé plus d'une faute. En dernier lieu, ta manière de décrire laisse aussi à désirer car même si on finit par imaginer le cadre, les mots que tu utilises pour la descriptions ne sont pas les bons. Or, pour écrire il faut savoir placer les bons mots au bon endroit, rendre les phrases digestes et bien tournées. Ce n'est pas le cas ici et il va falloir du travail pour que ça ait un aspect plus littéraire.
Pour ma part, je ne prendrai tes avis sur les textes d'autrui en compte que lorsque tes critiques seront constructives et que tu écriras quelque chose de "beau", que je dois avouer, je me ferai un plaisir de critiquer à ta manière.
Effectivement, ça se voit que tu n'as pas l'habitude d'écrire, mais pour un début, j'aime beaucoup, Fratel. Continues l'écriture, vraiment.
Chapitre I : L'élu. |
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02/09/2011 à 12:54 |
D'une part je n'ai pas besoin d'écrire pour donner mon avis, mais d'autre part j'ai déjà posté des textes donc suffit de vérifier un peu avant de parler.
Et je crois que c'est assez constructif comme ça hein. Bien sûr si l'auteur veut que je lui donne des exemples, je le ferais mais comme il ne s'est pas encore manifesté...
Chapitre I : L'élu. |
5/14 |
02/09/2011 à 15:55 |
Je n'ai pas besoin d'exemples. Tu ne représente pas touts les lecteurs du monde et heureusement quand même.
J'aime ce que j'écris, l'histoire. Et même si je devrais prendre en compte tes remarques et critiques, je n'en ferais rien.
Pourquoi ?
Parce que chacun a son style je pense. Même si j'ai des choses a travailler, je continuerais et, de plus, je posterais la suite tiens. Juste pour toi et ton vilain venin !
Je n'ai jamais aimé les phrases compliquées où il faut lire a plusieurs reprises pour bien comprendre son sens. Mes mots sont un peu commun, ma façon d'écrire simpliste... et alors ? J'ai une imagination incroyable et c'est ça le principal.
Chapitre I : L'élu. |
6/14 |
02/09/2011 à 16:02 |
Oui chacun à son style, mais tu n'as manifestement pas trouvé le tien et les défauts que j'ai relevé tout au long de ton texte ont été mis en évidence pour t'éviter de les reproduire et te permettre d'améliorer ton écriture et par la même occasion de créer ton style sur de bonnes bases. Pas besoin d'avoir une écriture ampoulée pour que ça rende bien, il suffit de maîtriser un minimum sa langue.
Chapitre I : L'élu. |
7/14 |
02/09/2011 à 16:05 |
Euh ...
J'ai décroché au premier paragraphe.
Et encore, j'ai eu du mal a le lire ...
C'était trop, trop, trop !
La manière d'écrire ne parraissait pas naturelle et j'ai trouvé ça lourd, je n'arriverrai pas a expliquer.
J'ai beaucoup de mal a accrocher et ton style ne me plait pas du tout.
Enfin, bref, je suis désolée, mais je n'ai pas du tout aimé, je sais que c'est pas forcèment sympa, mais je prefère être sincère.
Chapitre I : L'élu. |
8/14 |
02/09/2011 à 16:05 |
Je soutiens Frosties pour une fois malgré que j'ai bien aimé quand même. (Pour une fois qu'elle essaie d'être gentille
)
On ne peut que te donner des critiques négatives, il y a que comme ça que tu progresseras dans tout les cas.
Chapitre I : L'élu. |
9/14 |
02/09/2011 à 16:14 |
Sur le coup, les critiques m'ont découragées et j'avais la haine. Mais avec un peu de recule, j'vais peut-être prendre deux-trois conseils.
Chapitre I : L'élu. |
10/14 |
02/09/2011 à 16:21 |
Moi je suis souvent d'accord avec Frosties.
Et ouais, là sa critique peut difficilement être plus constructive et... plus fondée.
Comme dit plus haut, on sent que ton écriture n'est pas naturelle, et de ce fait elle peut difficilement être fluide et agréable. Y'a un trop pleins de choses qui font qu'on a envie de s'arrêter à la fin du premier paragraphe. Après effectivement je pense que ton histoire mérite d'être améliorée, et pour cela je pense qu'il est bon de prendre en compte les critiques qui ont été donné.
Ce n'est pas parce que Frosties est plus ou moins connue pour donner des avis assez crus qu'il ne faut pas prendre sa parole en compte, d'autant qu'elle est souvent la plus censée.
Chapitre I : L'élu. |
11/14 |
02/09/2011 à 16:38 |
Phantombe a écrit :
Sur le coup, les critiques m'ont découragées et j'avais la haine. Mais avec un peu de recule, j'vais peut-être prendre deux-trois conseils.
Sage décision !
Faut pas te décourager pour si peu, même si tout le monde avait donné une critique et un avis positif sur ton texte, tu devrais dans tout les cas t'entrainer encore et encore donc.
(Et je plussoie ma VDD, Frosties a beau être chiante avec ses commentaires tranchants qui font trembler chaque auteur en herbe qui a le courage de poster ici, elle t'aidera à progresser.)
Chapitre I : L'élu. |
12/14 |
02/09/2011 à 20:18 |
Phantombe a écrit :
Je n'ai pas besoin d'exemples. Tu ne représente pas touts les lecteurs du monde et heureusement quand même.
J'aime ce que j'écris, l'histoire. Et même si je devrais prendre en compte tes remarques et critiques, je n'en ferais rien.
Pourquoi ?
Parce que chacun a son style je pense. Même si j'ai des choses a travailler, je continuerais et, de plus, je posterais la suite tiens. Juste pour toi et ton vilain venin !
Je n'ai jamais aimé les phrases compliquées où il faut lire a plusieurs reprises pour bien comprendre son sens. Mes mots sont un peu commun, ma façon d'écrire simpliste... et alors ? J'ai une imagination incroyable et c'est ça le principal.
C'est quoi cette réaction ? Où Frosties a-t-elle dit que ses critiques étaient incontournables et représentatives d'un lectorat mondial ? Elle s'est contentée de pointer les défauts de ton texte. Quand bien meme il n'y aurait qu'elle de cet avis (ce qui ne semble pas etre le cas), ses arguments n'en seraient pas moins intéressants à prendre. Comme toutes les critiques. Si on te dit "c'est nul casse-toi tu pues", tu peux légitimement t'indigner, mais là quelqu'un prend la peine d'écrire plusieurs lignes pour donner son avis sur ton texte (c'est rare, d'habitude ça se cantonne à "j'aime" ou "j'aime pas") et tu l'envoie pratiquement chier...
Tant mieux si tu aimes ce que tu écris, mais si tu n'écris que pour ton bon plaisir et pas pour le plaisir des autres (ce qui est ton droit), alors ne poste pas tes textes sur un forum en demandant les réactions.
Critiquer un texte ne veut pas dire pousser son auteur à abandonner l'écriture. A moins que l'auteur en question ne soit vraiment trop sensible, mais dès que tu crées il faut t'attendre à ne pas etre apprécié. Si tu réagis comme ça à chaque commentaire un tant soit peu négatif, tu risques de ne pas aller très loin.
Quant au style, en aucun cas il ne peut servir à tout justifier. Les enfants aussi ont une imagination débordante, ça ne suffit malheureusement pas pour raconter une histoire.
Chapitre I : L'élu. |
13/14 |
02/09/2011 à 20:24 |
Aleph a écrit :
Phantombe a écrit :
Je n'ai pas besoin d'exemples. Tu ne représente pas touts les lecteurs du monde et heureusement quand même.
J'aime ce que j'écris, l'histoire. Et même si je devrais prendre en compte tes remarques et critiques, je n'en ferais rien.
Pourquoi ?
Parce que chacun a son style je pense. Même si j'ai des choses a travailler, je continuerais et, de plus, je posterais la suite tiens. Juste pour toi et ton vilain venin !
Je n'ai jamais aimé les phrases compliquées où il faut lire a plusieurs reprises pour bien comprendre son sens. Mes mots sont un peu commun, ma façon d'écrire simpliste... et alors ? J'ai une imagination incroyable et c'est ça le principal.
C'est quoi cette réaction ? Où Frosties a-t-elle dit que ses critiques étaient incontournables et représentatives d'un lectorat mondial ? Elle s'est contentée de pointer les défauts de ton texte. Quand bien meme il n'y aurait qu'elle de cet avis (ce qui ne semble pas etre le cas), ses arguments n'en seraient pas moins intéressants à prendre. Comme toutes les critiques. Si on te dit "c'est nul casse-toi tu pues", tu peux légitimement t'indigner, mais là quelqu'un prend la peine d'écrire plusieurs lignes pour donner son avis sur ton texte (c'est rare, d'habitude ça se cantonne à "j'aime" ou "j'aime pas") et tu l'envoie pratiquement chier...
Tant mieux si tu aimes ce que tu écris, mais si tu n'écris que pour ton bon plaisir et pas pour le plaisir des autres (ce qui est ton droit), alors ne poste pas tes textes sur un forum en demandant les réactions.
Critiquer un texte ne veut pas dire pousser son auteur à abandonner l'écriture. A moins que l'auteur en question ne soit vraiment trop sensible, mais dès que tu crées il faut t'attendre à ne pas etre apprécié. Si tu réagis comme ça à chaque commentaire un tant soit peu négatif, tu risques de ne pas aller très loin.
Quant au style, en aucun cas il ne peut servir à tout justifier. Les enfants aussi ont une imagination débordante, ça ne suffit malheureusement pas pour raconter une histoire.
Le débat est clos, il a reconnu être allé trop loin, point.
Pour une fois que quelqu'un a l'humilité de le faire, moi je crache pas dessus.
(Moi même je le fais pas donc)
Sont encore plus rare ce qui supportent les critiques de Frosties sans broncher mais enfin
Chapitre I : L'élu. |
14/14 |
02/09/2011 à 20:29 |
Je trouve ce texte lourd, il est surchargé mais certaines phrases paraissent tous de même incomplètes
Les tournures des phrases sont trop lourdes l'histoire n'est pas mauvaise mais c'est l'écriture qui gâche le reste