Commentaire de texte de Vigny

Il est sur ma montagne une épaisse bruyère
Où les pas du chasseur ont peine à se plonger,
Qui plus haut que nos fronts lève sa tête altière,
Et garde dans la nuit le pâtre et l'étranger.
Viens y cacher l'amour et ta divine faute ;
Si l'herbe est agitée ou n'est pas assez haute,
J'y roulerai pour toi la Maison du Berger.

Elle va doucement avec ses quatre roues,
Son toit n'est pas plus haut que ton front et tes yeux
La couleur du corail et celle de tes joues
Teignent le char nocturne et ses muets essieux.
Le seuil est parfumé, l'alcôve est large et sombre,
Et là, parmi les fleurs, nous trouverons dans l'ombre,
Pour nos cheveux unis, un lit silencieux.

Je verrai, si tu veux, les pays de la neige,
Ceux où l'astre amoureux dévore et resplendit,
Ceux que heurtent les vents, ceux que la mer assiège,
Ceux où le pôle obscur sous sa glace est maudit.
Nous suivrons du hasard la course vagabonde.
Que m'importe le jour ? que m'importe le monde ?
Je dirai qu'ils sont beaux quand tes yeux l'auront dit.


Voilà le petit extrait sympatique de Vigny, La maison du berger, sur lequel je dois faire un petit commentaire.
Je rame mais complètement !
J'ai trouvé quelque truc mais certaine idées pourrait être utile, vos première impression.
Mais si y a bien un truc que je n'arrive pas, c'est dire ce que " résume " ce texte. Ce qu'il veut dire en gros ... Parce que je n'y comprend pas grand chose ...
Voilà donc si vous pouviez juste me donner quelques indications car là j'en peux plus :s
Merci :p

Commentaire de texte de Vigny

3/3

05/03/2009 à 19:12

Hm et j'ai eu 15/20