Ecriture sauvage, déprimée, solitaire
Un appel au secours, qui, à demi mots
Paroles volages, incertaines et amères
Un cri étouffé, qui, dans un sursaut.
Tente de se faire entendre pour que le corps puisse se révolter
Décrire ma perdition pour n’en pouvoir que mieux remonter
Me sortir de ces Enfers où nous nous sommes plongées
T’en sauver sans même t’accorder un regard, persuadée
Que si je me noie dans le bleu de tes yeux je te perdrai,
Malheureux Orphée que je fais.
Je regarde impuissante mes certitudes qui se noient dans un verre d’eau
Et le temps qui passe et qui souffre de ne plus ressentir ta peau
Riez diablotins, vous qui me tourmentez et me glacez les os
Car votre proie reste offerte à vos macabres délires et se donne à vos crocs.
Pleurs, abandonnez-moi vite et faites de nouveau place à cette joie fertile
Car je sais que sans elle ma vie ne serait plus remplie que de bonheurs futiles
A trop me poser de questions mon esprit se lamente et se perd -pauvre petite conscience-
Dans des visions contraires, pitoyables hésitations, imprégnées du parfum de l’absence.
Mais rendre tout encore possible grâce à l’espoir, mon compagnon,
Effacer les doutes et colères, lavés aux eaux de purification
Que l’un de tes sourires rendent de nouveau possible ces chimères
Une valse à nous deux bien éloignée de ces promesses éphémères
Petit ange humain qui m’a tant de fois émerveillé
Je me battrai pour toi, je te le promets.
Gémissement de ma plume pour qu’elle délivre enfin
Le message d’amour que, bêtement, elle retient
Déviation obligée sur ce même thème
Car encore et pour toujours : JE T’AIME
pour toi sophie...
compren moi... |
1/3 |
11/04/2006 à 19:29 |
ca sert a rien que t'ecris ca si c'est que pour quelque jours qui suivent tu ne le pense et pensai pus...
compren moi... |
2/3 |
11/04/2006 à 19:38 |
moi je comprend pas
compren moi... |
3/3 |
12/04/2006 à 14:26 |
c bien