dissert sur l' utilité d' écrire...

Fiouu.. jcrois que javais eu un truc dans le genre l'an dernier.
Tu formule mal ta question jpense.
Jsui pa sur, mais faudrait plus te concentrer sur l'écrivain et la société! et pas sur l'utilité d'écrire!

rhum_ hein c' est le sujet quej ' ai, je n' est rien de plus !

c' est quoi les echec de la litterature engagé ?

bah ecrire c'est utile lorsque la personne qui lit le roman s'identifie a l'histoire...(entre autre)
L'ecriture peut aussi donner des "regles de vie", etre utile tout en restant plaisante comme les "fables de la fontaine" etc etc...

jen e vois pas tres bien en quoi l' identification au heros est utile à la société !

Parceque dans ce cas pour soi-même tu peux dire:
-se comprendre
-revivre les moments heureux

et pour la société tu peux dire:
-mieux connaître une époque/un problème à travers un témoin=témoignage
-connaître l'Homme en général.

Tous ces arguments se rapportent à des oeuvres biographiques, mais bon si c'est l'utilité dans tous le genres, je pense pas que ça soit génant qu'il ait beaucoup d'arguments dans le domaine du biographique, en même temps je pense que c'est là qu'on peut en trouver le plus!^^ Par contre j'espère que tu connais quelques oeuvres autobiographiques pour argumenter!

ben pour le plan je dirai:

I. pour l'écrivain
-se connaitre (ex: Saraute, enfance)
-se souvenir (ex: le journal)
-se faire connaitre (ex: lutter contre la mort)
-laisser aller ses sentiments (ex: Danielewski, Lettres de Pealfina)
-se justifier (Rousseau, les confessions)

II. pour la société
-l'instruction pour l'évolution de la société (ex: les manuels scolaires)
-assimilation des Anciens, bagage commun pour ne pas refaire les mêmes erreurs (unité), source d'inspiration, d'évasion, expression... (ex: le roman, la presse)

Mais bon je crois qu'il faudrait une 3ème partie, tu peux pour la 3ème partie constituer une définition du fait littéraire comme "utilité" sociale particulière : démontrer le paradoxe d'une littérature utile alors même qu'elle n'offre aucune utilité. Simplement dans sa tentative de créer de la beauté, elle œuvre gratuitement pour le plaisir esthétique du lecteur. C'est la tentative de l'Art pour l'art de Gautier. Plus généralement, une œuvre littéraire mérite d'être lue moins pour ce qu'elle dit que pour la manière dont elle le dit.
Ce point aurait pu aussi finir la deuxième partie si les éléments pour le traiter n'étaient pas assez nourris.