En y réfléchssant...

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Saul En y réfléchssant... 9 29/03/10 à 22:01

En y réfléchissant, je suis arrivé à une conclusion telle que je me suis senti forcé de la partager avec vous.

De tous temps, les hommes se perpétuent, et ce d'une manière exccessivement aléatoire. En effet, chaque individu est unique, mentalement parlant, par sa manière de penser, de ressentir la vie en elle-même. De ce fait, il est logique, de par l'aléatoire nature de l'homme, d'obtenir des individus plus ou moins accompli dans leur manière de penser. Par là il faut comprendre les spécimens philanthrope, agissant de manière désinteressée pour autrui, en cherchant à améliorer le sort de ses semblables.

La philanthropie sépare la personne morale de celle agissant dans un unique instinct égocentrique, se rapprochant plus de l'homme animal que de l'homme civilisé. Civilisé de par son amour de la liberté, par sa conception de la vie, le solidarisme libéral, où chacun est libre de ses actions (" Je posséderais tout ce que l'on peut désirer au monde pour être heureux, il me manquerait tout le bonheur d'autrui. " - Ampère), de l'aide qu'il apporte au monde, cela sans contraintes. Des hommes, tels que Rockefeller, Bill Gates ou encore Baron Taylor en France, sont des visionnaires, de très grands novateurs pour l'amélioration de la condition humaine. Ils sont nécessaires, vitaux et irremplaçable par l'humanité.

En fait, à la base, j'ai pensé à faire un gros texte pour vous manipuler, en m'inspirant du discours de secte habituel, sur les élites, le bonheur toussa, et puis j'ai eu un grand coup de flemme. Mais je poste quand même, comme ça, pour lancer la discussion sur la philanthropie (que j'ai pompé sur wikipédia, #1 niveau fiabilité).

Ancien membre 
En y réfléchssant... 1/9 29/03/2010 à 22:03
Au final on est quand même des animaux Téléphone.
Ancien membre 
En y réfléchssant... 2/9 29/03/2010 à 22:04
C'est quoi la question m'sieur ?
Saul  
En y réfléchssant... 3/9 29/03/2010 à 22:05
Ouep, et j'ai vraiment du mal à pencher pour rester dans cet instinct, ou pour avoir une vision plus morale pour le monde.

@ Apricot (Ach ! ) : Quelle question ?
helouizz  
En y réfléchssant... 4/9 29/03/2010 à 22:05
Je me contrefiche du bonheur d'autrui. Autrui est un autre, je ne le connais pas. L'autre que moi n'est pas dans ma perspective, il sort du cadre.
Celui-là qui geint sur le sol, celle-ci qui est blême dans l'apprentissage tragique de la vie, ceux-là me touchent.
C'est une question de déterminant, merci d'avoir enclenché mes neurones rouillées
Ancien membre 
En y réfléchssant... 5/9 29/03/2010 à 22:06
Par instinct il faut entendre que c'est inné, en nous, donc ça sert à rien de changer...
Frosties  
En y réfléchssant... 6/9 29/03/2010 à 22:06
En fait, je vois pas pourquouah t'as été le poster dans cette section puisque ça a rien à y faire.
Saul  
En y réfléchssant... 7/9 29/03/2010 à 22:06
Mais puisque que l'on pourrait faire autrement, ne devrions-nous pas partager le bonheur, le confort ?
Saul  
En y réfléchssant... 8/9 29/03/2010 à 22:08
Frosties a écrit :

En fait, je vois pas pourquouah t'as été le poster dans cette section puisque ça a rien à y faire.



Au contraire, il y avait sa place, quand il était encore destiné à devenir un texte persuasif dans l'intérêt d'une secte. Puis ça a changé, et j'ai eu la flemme de chercher une autre rubrique dans le forum.
Canardvert  
En y réfléchssant... 9/9 30/03/2010 à 17:46
T'as oublié quelquechose, le caractère aléatoire de chaque humain est conditionné par la société dès sa naissance. De fait, certaines tendances, ou certains caractères seront effacés, tandis que certaines valeurs seront inculquées.
Au final, on obtient un bon capitaliste (ou presque) qui ne pense qu'à sa tune.

Troll spotted ? Pas du tout, voyons.
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