L'émoi d'Ange déchu

Ange Déchu sombra au plus profond d'un gouffre,
Son âme, son coeur, son sang, tout lui disait je souffre,
Briser, ampli de blessures et d'entailles il était à tout jamais,
Dépérir, mourir, s'effondrait, mettres mots de ces pensées,
Sa destiné, s'éteindre sans nul âme pour le réconforter,
Apercevoir une lueur, insuportable cela demaurait..

Bébé Ange vint alors poser sa tête aux creux des bras du mal-aimé,
Tendrement leurs mains vinrent se caresser, s'enlacer, s'émerveiller,
Leur yeux, leur âmes, leur coeurs, s'étincellait dans une grande beauté,
Nul ne s'interroger, ne s'interromper mais leur cœur si rapidement battait,
De merveilleux instant, gravait à jamais dans leur sang il vivait,
Sous eux, le monde s'éclairait laissant mourir la fleur de l'hostilité..

Ange Déchu et Bébé Ange s'élevèrent main dans la main dans les cieux,
Leur coeur battait ensemble et s'élevait à des dizaines de lieux,
Laissant apercevoir un monde qui s'ouvrait à eux si merveilleux,
Bébé Ange pensé que rien ne détruirait un rêve si audacieux,
Ce pouvoir été détenu et réalisable seulement par les Dieux...
Qui aurait l'envi de brisé un empire d'argent si amoureux?

Ange Déchu relevait maintenant d'une spleudeur sans égal,
Le monde l'aimait, il avait cessait d'être l'Ange du mal,
Désormais Ange du rêve, de la passion, tant désiré il était,
Mais son coeur, qu'au douces caresses de Bébé Ange ne pensait,
Sa tendresse, ses baisers, jusqu'au bout de la nuit il y songeait,
Chaque lueur qu'il créait montrait l'amour qu'il lui portait..

Mais Bébé Ange, en son saint l'offrande de son coeur conservait,
Son amour à Ange Merveilleux, elle ne savait dévoilait..
Celui-ci croyait, par défaut, que Bébé Ange ne l'aimait,
Il se résolu donc à appréciait un autre Ange qu'il ne connaissait,
Dès le début de leur échange, l'Ange comença à l'aimer,
Et ne tarda, sans respect, à lui avoué la fleur de ces pensées..

Bébé Ange et Ange Merveilleux se compléter depuis près d'une demi-année,
Mais Ange Merveilleux décida de s'abstenir de l'amour de son bébé,
Il disait ne plus l'aimait, son âme désormais au nouvel Ange appartenait,
Ainsi il abandonna Bébé Ange avec beaucoup de culpabilité,
Mais son amour pour lui persisté sans nul envi de sans séparait,
Toutefois il se convaiqué que celui-ci même d'une étincelle ne demaurait..

Bébé Ange sombra au plus profond d'un gouffre,
Son âme, son coeur, son sang, tout lui disait je souffre,
Dépérir, mourir, s'effondrait, mettres mots de ces pensées,
Sa destiné, s'éteindre sans nul âme pour le réconforter,
Apercevoir une lueur, insuportable cela demaurait..