sensuel, bien, nul, passioné, ???? lacher vou et dite nou tout sur une première foi réussie ou ratée lol
C'étai cmt la première foi ?? |
30/36 |
20/11/2005 à 19:22 |
un texte ke jé trouver sur ce site dan un topic ancien donc je le met voilà tro bo frenchemen nn et prenet le tem de le lire sa vos le coup
Nous étions couchés sur le lit, elle sous moi, ferma alors les yeux. Je commençai tout d'abord par de petits baisers, puis j'effleurai légèrement ses lèvres du bout de la langue. Je relevai la tête, elle souriait, toujours les yeux fermés. Quand elle les rouvrit, je me penchai à nouveau vers elle pour l'embrasser, appuyant plus fort mes lèvres contre les siennes. Lorsque ma langue voulut les forcer, elle les ouvrit tout de suite. J'explorai ses lèvres, son palais et sa langue. Puis, je laissai mes lèvres courir le long de sa mâchoire et je mordillai son oreille. Quand j'eus couvert sa gorge de baisers, et que je l'eus caressée du bout de ma langue, je remontai vers sa bouche. Je sentis alors sa peau frissonner de plaisir.
Je la déshabillai alors sans cesser de l'embrasser. Je fus émerveillé en découvrant son corps divin. Je l'embrassai presque avec violence, j'enfouis mon visage dans son cou et suça sa peau avidement. Quand je relevai ma tête et que je vis la marque rouge, je respirai profondément pour maîtriser mon ardeur. Je la désirai trop, je voulais que ce soit bien pour elle mais je ne savais pas si je pourrai attendre. Je caressai ensuite un des côtés de son corps, sentant au creux de ma main la plénitude de son sein, sa taille et la douce courbe de sa hanche puis celle de sa cuisse. Elle tressaillit sous mes caresses. J'effleurai de ma main sa petite toison brune et bouclée, je remontai vers son ventre, puis vers le renflement de sa poitrine. Je sentis que le bout de son sein durcissait sous ma paume, je l'embrassai puis je cherchai son autre sein et me mis à en sucer le bout. Je ne l'avais pas quittée des yeux. Ses cheveux bruns, éparpillés sur l'oreiller, encadraient son visage. Le regard brûlant, les yeux grands ouverts, elle ouvrit la bouche pour dire quelque chose. Puis elle y renonçât en gémissant et en fermant les yeux.
Je posai un baiser sur une de ses paupières et je sentis une larme sous mes lèvres. Je gouttai le liquide salé du bout de la langue. Elle ouvrit les yeux et me sourit. J'embrassai le bout de son nez, ses lèvres et à nouveau le bout de ses seins. Je me déshabillai alors, m'allongeai à côté d'elle et je contemplai son abondante chevelure, ses yeux étincelants et son corps magnifique. Je me sentais plus excité que je ne l'avais jamais été. Elle était toujours allongée. Elle ne bougeait pas, mais tremblait de tout son corps.
Après l'avoir contemplée en silence, je fermai les yeux et recommençai à l'embrasser. Elle guida ma langue à l'intérieur de sa bouche et commença à entrer timidement dans la mienne. Je pris entre mes lèvres une de ses longues mèches brunes, puis j'enfouis mon visage dans sa chevelure épaisse et parfumée. J'embrassai son front, ses yeux, ses joues, avide de l'explorer toute entière. J'approchai ma bouche de son oreille et mon souffle chaud lui fit courir des frissons sur tout le corps. Je lui mordillai le lobe de son oreille, puis le suçai. Mes mains exploraient l'arrondi de son menton, suivaient le contour de ses épaules et de ses bras. Quand j'atteignis sa main, je la portai à ma bouche, j'embrassai sa paume, je caressai chacun de ses doigts et je remontai à l'intérieur de son bras. Ma bouche se posa au creux de son cou, puis vint se loger en dessous de l'un de ses seins. Je décrivis alors avec ma langue des cercles décroissants jusqu'à ce que j'atteigne son mamelon. Lorsque je le pris dans ma bouche, sa respiration s'accéléra et elle gémit doucement. Je me demandai si j'allai pouvoir encore attendre.
Ma main descendit vers son ventre, puis vers sa hanche, et s'approcha de l'intérieur de ses cuisses. L'espace d'un instant elle tendit ses muscles, puis elle écarta les jambes. Je sentis une chaude humidité dans ma main. Ma bouche commença à descendre vers son nombril. Quand j'atteignis son antre, je relevai ma tête pour la regarder. Le dos arqué, elle poussa des petits cris plaintifs. Elle était prête. J'embrassai alors sa toison bouclée et quand ma langue toucha le sommet de l'étroite fente, elle se releva en poussant un cri, puis retomba sur le lit avec un gémissement. Je changeai de position pour placer ma tête entre ses jambes. J'entrouvris ses replis et je savourai ce premier contact. Submergée par les vagues de plaisir, elle n'avait plus conscience du bruit qu'elle faisait tandis que j'explorai chaque crête, chaque repli. Je me concentrai sur elle pour essayer de freiner mon désir, et je posai mes lèvres sur le petit renflement qui constituait le centre de son plaisir. Quand elle commença à se tordre et à sangloter, transportée par un plaisir qu'elle n'avait jamais connu, je faillis exploser. J'introduisis deux doigts dans le passage humide et je commençai à la caresser de l'intérieur. Brusquement elle poussa un cri et je sentis que mes doigts étaient inondés, tandis que sa respiration devenait haletante.
C'est à ce moment que j'essayai de la pénétrer le plus doucement possible, en me faisant violence pour ne pas lui faire trop de mal. Quand elle cambra son dos pour m'accueillir, je la pénétrai tandis que je sentis la résistance de son hymen céder. Je me sentis alors aspiré dans une chaude profondeur sans que rien n'arrête ma progression. Quand elle m'eut accueilli totalement, je me retirai, puis la pénétrai alors avec un total abandon que je n'avais encore jamais connu, laissant entièrement libre cours à mon propre désir. Je sentis que j'approchai du point culminant, je me retirai une fois encore. Elle se souleva vers moi et je me laissai à nouveau glisser en elle. Nos deux corps se tendirent, elle hurla mon nom au moment où je la pénétrai entièrement. L'espace d'un instant qui me sembla éternel, ses cris se mêlèrent aux miens.
Et c'est alors là, à cet instant précis que nos corps devinrent incontrôlables, car indépendants de nos esprits, ayant atteint l'extase, le Nirvana. Le plaisir de ma propre jouissance fut alors décuplé par la sienne. Ce fut alors la symbiose de nos deux êtres, muée par un puissance phénoménale, une force surnaturelle qu'est l'amour prodigué jusqu'à son paroxysme.
Puis avec un sentiment de délivrance exquis, je me laissai retomber sur elle. Pendant un long moment, il n'y avait que le bruit de nos deux respirations qui résonnaient dans la chambre. J'étais incapable de bouger. Nous nous étions donnés totalement l'un à l'autre, et même si je savais que c'était fini, je n'avais aucune envie que cette expérience se termine. Je me retirai de sur elle et m'allongeai à côté d'elle. Je glissai mon bras sous sa tête pour qu'elle vienne se nicher au creux de mon épaule. Nous nous endormirent ainsi jusqu'au lendemain matin.