Idéologie : Kira ou L? (Death note)

J'ai finis de regarder Death Note hier, et j'avais les larmes les yeux quand Kira est mort :'( (D'ailleurs j'entame une déprime à cause de ça depuis hier ) la mort de L. m'a pas rendu heureux mais pas triste non plus, bref, inutile de dire que Kira est mon préfèré, qu'il soit considéré comme bien ou mal.

slimfat a écrit :
Mello j'le supporte pas. Le chocolat noir c'dégueu : x

MOI Mello c'est bon préféré! Je l'adore!

Trop d'Asie tue l'Asie.

L.


Même si c'est pas son poster torse nu qui est accroché dans ma chambre.

Tu nous demandes si le bien c'est la dictature ou la démocratie, en fait, là.

L. Parce que c'est le plus beau et que je veux l'épouser.

Kira.

Ce raisonnement est juste mais... Irréalisable
C'ets toi qui le dit! ;)

Pas nous. Pour ma part, le mot impossible n'ets pas français, et on n'ç toujours le choix.
Moi j'ai fait le choix de croire en la technologie actuel, à ma liberté, à l'esprit des bouddhiste et quelque exception près.. ^^

Tous peut changer du jour au lendemain.. ;)
Suffit juste d'avoir le courage d'assumer toutes les responsabilité quelque quel soit!

La paix ne se base que sur la peur. L'efficacité de cette paix dépend du degré d'efficacité du moyen de pression utilisé.
Les lois sont le moyen de pression actuel, inefficace car peu fiable. Et quand on demande si l'on vit en paix, que nous répond-on? "Oui, si on excepte les criminels". Les criminels sont ceux qui n'ont pas peur.
La paix ne peut s'obtenir que par la peur, il n'y a pas d'autre moyen d'y arriver.

Je suis assez mitigée.

A la fois Light a un but noble, au début du moins, et il ne pense pas à mal. Il veut éradiquer les criminels et rendre le monde meilleur. Cependant sa vision des choses change vite, et sa définition de "criminel" également, jusqu'à définir tout ceux qui s'opposent à lui, qui pourtant ne font rien de "mal". Alors qu'il souhaitait au départ rendre le monde plus juste, il change du tout au tout et cette volonté de justice devient un prétexte à sa prise de pouvoir, jusqu'à devenir un être totalement égocentrique et malsain, ce qui se voit notamment dans le fait qu'il se surestime et multiplie des erreurs qui le mèneront à sa perte, alors qu'il était au début précis, prudent, intelligent, jeune et qu'il avait un bel avenir devant lui. S'il avait mené ses convictions jusqu'au bout, il aurait déjà été plus respectable. Par la suite il s'est prit pour un Dieu qu'il n'était pas, jusqu'à dédaigner les Shinigamis.
De plus, je tiens à dire que tuer par le biais d'un carnet revient à tuer par le biais d'une chaise électrique ou d'une seringue, donc je considère que si vous êtes pour Kira, vous êtes pour la peine de mort. (Ce qui est parfaitement votre droit, c'est juste qu'il ne faut pas se contredire bêtement par la suite!) A moins, que vous souhaitiez un Kira "préventif", qui instaure alors la peur, qui réduit le taux de criminalité mais qui ne tue pas sur le long terme, et donc dans ce cas là qui sacrifierait quelques "criminels" pour un bien commun, mais encore une fois, c'est bien du meurtre.

Quant à "L" , j'ai trouvé son personnage fascinant mais ses motivations sont floues, on a plus l'impression qu'il travaille pour lui même (pour s'occuper, pour être fier...) que pour la justice.

Donc je ne suis ni pour l'un, ni pour l'autre (même si les personnages en eux mêmes sont vraiment super attachants!), je pense que je suis encore trop optimiste et idéaliste pour ça, en pensant qu'il y a un autre moyen de rendre justice et de faire appliquer la loi (que l'on a pas encore forcément trouvé). Après je pense que la volonté initiale de Light était plus qu'honorable, bien que ses pratiques soient inhumaines en un sens, et qu'il a tenté comme il a pu d'agir à sa façon. On ne peut pas forcément porter un jugement dessus si on essaye pas nous mêmes de changer les choses ou d'apporter notre pierre à l'édifice. Je peux parfaitement comprendre son point de vue, et si on m'offrait un jour sa place, je ne dis pas que je la refuserais, simplement que je ne pense pas que l'homme soit apte à posséder un tel pouvoir sur les autres, ni un tel jugement, étant donné qu'il n'est ni parfait ni complètement subjectif, ni même capable de se détacher de sa condition.