Début de mon roman ...

Valachie
Cette femme allongée par terre d’une peau blanche comme le lin, entourée de quatre hommes, trois gardes et un homme d’église, et de son mari qui la pleure, elle n’a jamais méritée ce qu’on lui a fait subir, des trous de quelques millimètres parcourent son corps, les paupières sont ouvertes mais il n’y a plus rien à l’intérieur, des traces de brûlures sont visibles.
- Garde emparez-vous de lui, dit un homme d’église de haut rang, c’était son mari il est peut-être possédé par le démon !
- NON, VOUS N’AVEZ PAS LE DROIT, LAISSEZ MA FEMME EN PAIX !
- Pour qui vous prenez vous ? Dit l’homme d’église, je suis le seul ici à savoir ce que j’ai le droit de faire, et j’ai tous les droits ! Gardes !
Les gardes attrapèrent l’homme agenouillé devant sa femme, et le tirèrent en arrière, ils prirent le corps de la femme et le jetèrent dans la fosse, l’homme hurlait à s’en déchirer les poumons, en quelques minutes le trou fut rebouché, cette femme était la plus belle que l’on puisse voir, une peau douce, un visage fin, un corps mince et gracieux, elle avait des yeux bleus avant qu’ils ne soient brûlés et des cheveux de couleur de la paille quelques jours après la moisson avant qu’ils ne soient coupés. Cette femme a été accusée de sorcellerie et d’avoir pactisée avec le diable, on lui avait plantés une tige en fer dans chaque membre de son corps pour la purifier et on lui avait brûlés ses yeux bleu ciel pour lui enlever la marque du diable de son esprit, la douleur fut si forte qu’elle en perdit la vie, le temps de son absence, son mari, le comte, avait pleuré sa mort à l’avance sachant qu’elle ne reviendrait pas vivante, et en effet deux jours après qu’un certain homme d’église, appelé cardinal, lui ai pris sa femme, on lui rendit dans un caisson de bois, morte de blessures, elle avait hurlée deux jours entiers sous la torture puis elle s’était tût, d’un seul coup, et l’homme d’église en avait jugé qu’elle n’avait finalement pas pu résister à la foi d’une homme de Dieu. Le comte sous son chagrin se promit qu’il tuerait de ses propres mains le cardinal, et qu’il le ferait avant sa mort, mais le cardinal avait été plus rapide que le comte, il avait réquisitionné son armée sous ordre du pape, tout cela le jour même, il enterra la femme du comte dans une fosse creusée à la va-vite par des gardes et pour qu’elle ne soit retrouvée et enterrée ailleurs, le cardinal fit passer chaque homme de l’armée pour retaper la terre. Le comte fût quand à lui emprisonné et torturé, mais encore vivant et avec un centième de ses forces, il parvint à s’échapper, ce n’était ni du courage ni de la peur qui animait l’homme, mais de l’amour et de la haine, malgré le fait qu’il faisait nuit et que le trou avait été camouflé, le comte creusa de ses doigts sans force, il y trouva sa femme et pleura trois heures durant jusqu’à ce qu’il n’ai plus de larme en lui, ni d’amour, mais que de la haine, une fureur pure.

Ce n'es que le tout début d'un roman j'aimerais vos avis... merci

Début de mon roman ...

2/4

16/01/2008 à 11:25

pas mal

Début de mon roman ...

3/4

16/01/2008 à 12:27

prue1993 a écrit :
j'ai envie de savoir la suite

C'est gentil de ta part mais je pense que je ne mettrai la suite que si beaucoup de personne me le demande et pas avant une semaine