Voilà j'ai écrit ceci il y a quelques temps, je ne ne suis pas très littéraire (même pas du tous) mais j'ai voulu poster ce texte ici pour avoir un avis de quelqu'un d'exterieur. Dites-vraiment ce que vous en penser svp.
Merci
Marie se lève, trace de maquillage sur la joue, les yeux rougis par les sanglots de la nuit dernière. Martin est passé la voir hier il était pâle, ne parlait pas beaucoup, elle lui a servis un thé et à sortie quelques gâteaux qui trainé là dans la cuisine. Elle lui a alors demandé ce qu’il se passé, lentement en soufflant sur son thé il lui a annoncé : « -Maman est morte ce matin. Je n’ai pas parlé à Antoine, je pensais que tu pourrais le faire». Marie est resté la sans rien dire, elle regardé la cuisine, un cou de peinture ne serai pas de trop pensa-elle à cette instant. Elle n’avait jamais aimé sa mère, trop exubérante à son goût, toujours à s’entourer de dizaine de personne laissent un peu de côté son rôle de mère. Elle lui en avait voulu auparavant puis la colère avait laissé place à l’indifférence, voilà 6 mois elle avait eu un coup de téléphone un soir tard au moment même où elle alla se coucher : « Oui Marie, c’est ta mère j’aimerais que l’on se voit, c’est urgent. » Mais depuis elle n’avait de cesse de reporter le rendez-vous. Elle comprenait à cet instant pourquoi sa mère se sentait si pressé de la voir, elle se savait condamner. Martin lui à alors raconté le diagnostic, ces 8 mois d’attente de doute de pleurs pour enfin entendre dire les médecins qu’il n’y avait plus rien à faire. Seul Martin était proche de sa mère, cela n’avait de secret pour personne il était le préféré, celui qui réussi le mieux au lycée, Scientifique ce n’est pas rien, celui qui à toujours ce mots qui fait rire ou qui complimente. Il ressembler beaucoup à sa mère étant jeune. Marie et Antoine eux ce sont toujours sentis exclus, les études sa n’a jamais était pour eux. Aujourd’hui encore ils accumulent les petits bouleaux pendant que Martin termine ses études de médecine. Martin a alors pris Marie dans ses bras pour se donner un peu de courage mais celle-ci se recula précipitamment. Les marques d’affections entre frère et sœur ce n’était pas pour elle. Il décida alors de s’en aller, l’embrassa timidement puis lui donna rendez-vous le lendemain pour l’enterrement. Lorsque Martin fut parti Marie se dirigea vers sa chambre, oubliant les tasses vides sur la table de la cuisine et se déshabilla lentement pour se blottir dans les draps bleus à poids blanc de son lit. Elle resta là sans bouger pendant une heure peut-être plus, à penser non pas à tous les souvenirs d’enfance avec sa mère mais plutôt à tous ceux qu’elle n’a pas vécus et qu’elle ne vivra plus. Puis elle s’endormi oubliant peu à peu la triste nouvelle, elle dormi jusqu’au lendemain, jusqu’au jour fatidique. Ce matin elle avait les yeux rouges d’avoir trop pleuré tous ces moments qui n’existeront jamais. Elle mi sa chaine en route PJ Harvey ronronna dans la pièce. Elle n’écouta pas elle se sentait juste moins seul. Elle s’habilla, jean, pull en cachemire, cadeau de ses 20 ans par des amis. Elle prit son sac et s’en alla. Elle n’ira pas à l’enterrement, elle n’en avait pas la force. Elle prit sa voiture roula pendant de longues heures. Les panneaux publicitaires et les hôtels Formule 1 défilèrent à travers la vitre. Rouler pour oublier, rouler pour pendant un instant ce dire que non tous n’avais pas changé. Changé pourtant le mot est faible, sa vie n’avait plus rien à voir avec son passé. A 18 ans elle était partie laissant sa vie derrière elle, sur un coup de tête, pour une simple engueulade, peut-être celle de trop. Elle avait pris son sac de voyage, son sac qui autrefois lui servais pour l’internat, qu’elle remplissait à contre cœur le dimanche soir, elle avait alors mis quelques vêtement au hasard dedans et avait claqué la porte. Sa vie n’avait pourtant rien d’un fardeau mais elle avait envie de liberté. Là vie bien rangé de sa famille ne lui convenait plus, son village et ses habitants la peser, depuis son plus jeune âge elle ne rêver que d’une chose, de voyager. Mais tous n’avait pas été si facile depuis, le travail se faisait rare et les factures plus pressente. Elle avait alors abandonné son rêve d’aventurière pour être barmaid dans un bar du Vème arrondissement. Paris, l’inconnu. Cette beauté, cette élégance, nulle autre ville ne pouvait se mesurer à Paris. Mais c’est ici aussi qu’elle a cru rencontrer l’amour plusieurs fois, l’amour qui avait pris les traits de Marc, de Thomas ou encore de Baptiste. Mais aucun n’avais réussi à apaiser sa soif de liberté, elle était donc partis comme toujours. Toujours c’était avent au moment de l’adolescence, quand les premiers flirts apparaissent. Marie à toujours plu, cette allure féline et inaccessible en a rendu fou plus d’un. Mais elle, elle ne tenait pas en place, à partir de quelque moi lassé de cette histoire elle hissé les voiles et allez voir ailleurs. Elle a vu au fil du temps ses amies trouver l’amour et se fiancée. Certaines prévoyez même de se marier quand elle est partie. Que sont-ils devenus ? Elle n’en sait rien, elle n’a plus de nouvelle depuis des années. La seule chose qu’elle sait c’est qu’elle ne voulait pas de cette vie. Même si aujourd’hui elle traverse parfois des moments difficiles elle aura le sentiment de n’avoir pas tous gâchée de ces années de sa vie. Après avoir roulé plusieurs heures elle arriva enfin, elle passa devant le cimetière vi le cercueil et continua sa route jusqu’à la plage. Elle se gara sortis de sa voiture et s’assoyais sur le banc. Combien de temps n’était-elle pas revenue ici ? Elle ne savait plus, elle se rappela alors son enfance et son adolescence ici à faire des châteaux de sable ou à se courir après, à boire à la bouteille ou à prendre un bain de minuit. L’été l’époque où on vit ses plus beaux moments et où on se dit que le temps n’a plus d’emprise sur nous. Hélas tous a une fin et aujourd’hui Marie se retrouve sur ce banc seul avec ses souvenirs. Après avoir rêvassé quelque minute elle reprit la route à la recherche de son passé. Cette mort, cette nouvelle lui avait fait se souvenir. Elle voulait remonter dans le temps pour en changé certaine chose, et c’était ici dans son village qu’elle allait pouvoir le faire.
Début de roman |
1/6 |
16/06/2008 à 23:46 |
Il y a trop de fautes... Désolé je peux pas. Surtout pour un début de roman.
[Non non je ne suis pas du tout compliquée
]
Crapsine
Je t'aiiime mon bébé !
Début de roman |
2/6 |
16/06/2008 à 23:49 |
Hum... Pas mal. J'attends la suite.
Début de roman |
3/6 |
16/06/2008 à 23:52 |
Craps Bulgom a écrit :
Il y a trop de fautes... Désolé je peux pas. Surtout pour un début de roman.[Non non je ne suis pas du tout compliquée ]Crapsine Je t'aiiime mon bébé !
Oui j'ai du secher les cours d'orthographe de primaire quand je vois ça mais j'arrive pas à arreter...
Début de roman |
4/6 |
16/06/2008 à 23:59 |
Whouah, j'ai jamais vu autant de fautes d'un coup oO.
Sinon, y'a une bonne ébauche de texte, même si le style est à améliorer.
Début de roman |
5/6 |
17/06/2008 à 00:26 |
Alors comme j'ai rien à foutre ce soir et que j'arrive pas à lire ton texte tellement y a pas de paragraphes et une orthographe, merdique, je te corrige tout :
Marie se lève, trace de maquillage sur la joue, les yeux rougis par les sanglots de la nuit dernière.
Martin est passé la voir hier, il était pâle, ne parlait pas beaucoup, elle lui a servi un thé et à sortie quelques gâteaux qui traînaient là dans la cuisine. Elle lui a alors demandé ce qui se passait, et lentement, en soufflant sur son thé, il lui a annoncé : « -Maman est morte ce matin. Je n’ai pas parlé à Antoine, je pensais que tu pourrais le faire». Marie est restée là sans rien dire, elle regardé la cuisine, "un coup de peinture ne serait pas de trop", pensa-t-elle à cet instant. Elle n’avait jamais aimé sa mère, trop exubérante à son goût, toujours à s’entourer de dizaines de personnes laissant un peu de côté son rôle de mère. Elle lui en avait voulu auparavant, puis la colère avait laissé place à l’indifférence, voilà 6 mois elle avait eu un coup de téléphone, tard le soir, au moment même où elle allait se coucher : « Oui Marie, c’est ta mère j’aimerais que l’on se voit, c’est urgent. » Mais depuis elle n’avait de cesse de reporter le rendez-vous. Elle comprenait à cet instant pourquoi sa mère se sentait si pressée de la voir, elle se savait condamnée. Martin lui a alors raconté le diagnostic, ces 8 mois d’attente, de doute, de pleurs, pour enfin entendre les médecins dire qu’il n’y avait plus rien à faire. Seul Martin était proche de sa mère, ce n'était un secret pour personne. Il était le préféré, celui qui réussi le mieux au lycée : Scientifique ce n’est pas rien ; celui qui a toujours ce mot qui fait rire ou qui complimente. Il ressemblait beaucoup à sa mère étant jeune. Marie et Antoine, eux, s'étaient toujours sentis exclus, les études n’avaient jamais été pour eux. Aujourd’hui encore, ils accumulent les petits boulots pendant que Martin termine ses études de médecine.
Martin a alors pris Marie dans ses bras pour se donner un peu de courage mais celle-ci se recula précipitamment. Les marques d’affections entre frère et sœur, ce n’était pas pour elle. Il décida alors de s’en aller, l’embrassa timidement puis lui donna rendez-vous le lendemain pour l’enterrement. Lorsque Martin fut parti, Marie se dirigea vers sa chambre, oubliant les tasses vides sur la table de la cuisine, et se déshabilla lentement pour se blottir dans les draps bleus à poids blancs de son lit.
Elle resta là sans bouger pendant une heure, peut-être plus, à penser non pas à tous les souvenirs d’enfance avec sa mère, mais plutôt à tous ceux qu’elle n’a pas vécu et qu’elle ne vivrait plus. Puis elle s’endormit oubliant peu à peu la triste nouvelle, elle dormit jusqu’au lendemain, jusqu’au jour fatidique.
Ce matin, elle avait les yeux rouges d’avoir trop pleuré tous ces moments qui n’existeraient jamais plus. Elle mit sa chaine en route, et PJ Harvey ronronna dans la pièce. Elle n’écouta pas, elle se sentait juste moins seule. Elle s’habilla, jean, pull en cachemire, cadeau de ses 20 ans par des amis. Elle prit son sac et s’en alla. Elle n’irait pas à l’enterrement, elle n’en avait pas la force. Elle prit sa voiture et roula pendant de longues heures. Les panneaux publicitaires et les hôtels Formule 1 défilèrent à travers la vitre.
Rouler pour oublier, rouler pour un instant se dire que Non ! tout n’avait pas changé. Changé, pourtant le mot est faible, sa vie n’avait plus rien à voir avec son passé.
A 18 ans elle était partie, laissant sa vie derrière elle, sur un coup de tête, pour une simple engueulade, peut-être celle de trop. Elle avait pris son sac de voyage, son sac qui autrefois lui servait pour l’internat, qu’elle remplissait à contrecœur le dimanche soir ; elle avait alors mis quelques vêtement dedans au hasard et avait claqué la porte. Sa vie n’avait pourtant rien d’un fardeau mais elle avait envie de liberté. La vie bien rangée de sa famille ne lui convenait plus, son village et ses habitants lui pesaient, depuis son plus jeune âge, elle ne rêvait que d’une chose : voyager.
Mais tout n’avait pas été si facile depuis, le travail se faisait rare et les factures plus pressante. Elle avait alors abandonné son rêve d’aventurière pour être barmaid dans un bar du Vème arrondissement. Paris, l’inconnu. Cette beauté, cette élégance, nulle autre ville ne pouvait se mesurer à Paris. Mais c’est ici aussi qu’elle crût rencontrer l’amour plusieurs fois, l’amour qui avait pris les traits de Marc, de Thomas ou encore de Baptiste. Mais aucun n’avait réussi à apaiser sa soif de liberté, elle était donc partie, comme toujours.
Toujours c’était avant, au moment de l’adolescence, quand les premiers flirts apparaissent. Marie a toujours plu, cette allure féline et inaccessible en avait rendu fou plus d’un. Mais elle, elle ne tenait pas en place, à partir de quelques mois lassée de cette histoire, elle hissait les voiles et allait voir ailleurs.
Elle a vu, au fil du temps, ses amies trouver l’amour et se fiancer. Certaines prévoyaient même de se marier quand elle est partie. Que sont-ils devenus ? Elle n’en sait rien, elle n’a plus de nouvelles depuis des années. La seule chose qu’elle sait c’est qu’elle ne voulait pas de cette vie. Même si aujourd’hui elle traverse parfois des moments difficiles, elle aura le sentiment de n’avoir pas tout gâché de ces années de sa vie.
Après avoir roulé plusieurs heures, elle arriva enfin, elle passa devant le cimetière, vit le cercueil et continua sa route jusqu’à la plage. Elle se gara, sortit de sa voiture, et s’assit sur le banc. Depuis combien de temps n’était-elle pas revenue ici ? Elle ne savait plus.
Elle se rappela alors son enfance et son adolescence ici, à faire des châteaux de sable ou à se courir après, à boire à la bouteille ou à prendre un bain de minuit. L’été, l’époque où l'on vit ses plus beaux moments, et où on se dit que le temps n’a plus d’emprise sur nous. Hélas tout a une fin, et aujourd’hui Marie se retrouve sur ce banc, seule avec ses souvenirs.
Après avoir rêvassé quelque minute, elle reprit la route, à la recherche de son passé. Cette mort, cette nouvelle, lui avait fait se souvenir. Elle voulait remonter dans le temps pour en changer certaines choses, et c’était ici, dans son village, qu’elle allait pouvoir le faire.
Tu mélanges complètement tous les temps. Tu mets du passé composé quand il faudrait du passé simple, de l'imparfait quand il faudrait du passé composé, et tu fous du présent un peu partout. Si tu faisais des paragraphes, ce serait quand même beaucoup plus lisible. Mets de la ponctuation aussi, c'est illisible. Fais gaffe aux fautes, aux phrases trop longues, aux répétitions.
En gros j'ai vraiment pas aimé, je ne sais pas quel âge tu as, mais ça ressemble aux textes que j'écrivais à huit ans.
Début de roman |
6/6 |
17/06/2008 à 01:33 |
Il y a un paradoxe entre ta narration et ton personnage : Ta narration ressemble à l'Etranger de Camus maladroitement inspirée avec un personnage dépressif qui finira surement par se tirer une balle dans l'excipit.
On est trop "spectateur" de son émotion, sans vraiment se sentir concerné. A la longue on s'ennuie.