mon texte :
Après une journée de travail harassant, je suis arrivée chez moi aux alentours de 19 heures, énervée et totalement épuisée. Mais une surprise m'attendait. A peine rentrée dans la maison, mon homme me retira mon manteau et me guida jusqu'à la chambre. Il y avait disposé quelques bougies et avait parfumé la pièce avec de l'encens. Il m'a regardé dans les yeux et m'a ordonné de me mettre nue, ce que j'ai fait. Puis, également à sa demande, je me suis allongée sur le ventre. Il s'est enduit les mains d'une huile chaude et parfumée, et a commencé à me masser avec douceur. J'ai senti avec plaisir ma nuque et mes épaules se détendre petit à petit sous ses mains. Il est ensuite descendu vers mon dos, s'occupant de mes omoplates et ma colonne vertébrale, ses doigts experts me procuraient déjà un véritable bien-être. Je profitais pleinement de la chaleur et des nombreux frissons qui me parcouraient, tout en espérant secrètement que ses douces mains s'occuperaient bientôt de mon intimité. Mais l'heure était aux jambes, mon bénit mari commença à me masser les chevilles, puis remonta lentement et délicatement vers mes cuisses, l'intérieur de mes cuisses, et s'arrêta à quelques centimètres de mon sexe que je sentais s'humidifier. Je souhaitais maintenant qu'il glisse un de ses doigts à l'intérieur de mon antre chaude, mais il décida de retourner à mon cou, frôlant au passage la peau fraiche de mes fesses et soufflant légèrement du creux de mes reins à la base de ma nuque. Ce geste ne manqua pas de m'envahir d'une vague intense de plaisir et de désir. Il s'en aperçu rapidement et entreprit dès lors de m'embrasser affectueusement dans le cou et de me mordiller le lobe de l'oreille, ce qui acheva de m'exciter. La chaleur qui m'habitait était maintenant concentrée au niveau de ma fleur sacrée qui n'attendait que d'être caressée et mon jus s'en échappait. C'est alors que je sentis quelque chose d'humide sur mon entrejambe, il léchait ma mouille avec vivacité. J'ai cru mourir de désir face à l'ardeur de cet acte empli de sensualité. Je perdis le contrôle de moi-même et le suppliai d'aller droit au but et de toucher mon clitoris. Il me retourna et me sourit. Il me regarda dans les yeux tout en me caressant les seins, puis m'embrassa en même temps que sa main effleurait l'extérieur de mes grandes lèvres. Je vis dans son regard pétillant qu'il adorait me faire languir. Quant il glissa enfin son majeur dans ma fente je ne pu m'empêcher de laisser échapper un petit cri de soulagement. Mon corps si avide de plaisir vibrait tout entier sous ses doigts si doux et si adroits. Ceux-ci s'hasardèrent enfin sur mon bourgeon miraculeux, avec toute la délicatesse que peut avoir un homme. Sa langue remplaça rapidement le bout de son doigt, provocant en moi un flot incroyable de sensations et de gémissement de bonheur. Il lécha avec passion l'intégralité de mon sexe, petites lèvres, fente et clitoris. Il releva la tête afin de croiser mon regard lorsque, sans arrêter de titiller mon clitoris, il enfonça en moi deux de ses doigts. Ils allaient et venaient dans mon vagin, tantôt rapidement, tantôt plus lentement, ce qui décupla mon plaisir. Il se savait maitre de mon corps qui ondulait sous sa langue bouillante, maitre de ma jouissance.