Ebauche de roman

icequeen

Ebauche de roman

3

15/06/07 à 19:37

voila quelques extraits d'un rioman que je suis en train d'écrire. C'ets normal que vous de comprenez rien puisqu'il s'agit d'extraits. Si vous avez la flemme de tout lire, contentez-vous d'un paragraphe^^ J'attend vos avis. ( désolée pr les fautes)

Une tache rouge. Elle contrastait avec le gris du bitume, le bitume de Tokyo.Le vent tourna, il se mit à pleuvoir.
Lana ,les yeux fixés sur le corps de sa soeur semblait ne plus appartenir à ce monde. Son visage était livide, sans expression et la bruine fine commençait à vêtir sa chevelure brune d'un fin manteau de perle. Elle n'entendait plus rien , seul un souffle sourd qui semblait venir de ses entrailles. Ces quelques secondes furent comme une pause, un trou, un néant. c'est seulement lorsqu'elle entendit les voix des passants qui s'affalaient autour du corps que Lana revint à la réalité. De fines larmes s'échappèrent de ses grands yeux puis s'éclatèrent sur le sol, tandis que d'autres se formaient au coin de ses paupières. La pluie faisait ruisseler le sang jusqu'à ses pieds et bientôt, celui-ci atteignit le caniveau.
" Que s'est-il passé?", "Elle est morte?", "Vite, appelez la police!" , voici ce que Lana pouvait entendre venant des passants qui commençaient visiblement à paniquer. Lana se jetta brusquement en avant vers le cadavre de sa soeur , les genoux dans le mélange rougâtre de sang et d'eau. Elle saisit le cou de sa soeur, la secoua, cria , pleura tout en même temps, l'implorant de se réveiller. Mais Lauren ne montra aucune réaction, toujour les yeux fermé et la bouche laissant échapper un filet de sang. Elle etait morte, Lana le savait mais cette réalité semblait se percuter contre les paroie de sa pensée sans pouvoir y pénétrer. elle s'allongea alors sur le cadavre, pleurant discretement tandis que le son des girophares perçait à travers le bruit de la ville. Lana se leva alors, restait immobile , regardant dans le vide quand elle aperçut une étrange plume noire descendre lentement du ciel ,devant ses yeux. Elle ouvrit délicatement sa main afin que la plume s'y pose. Quand la police arriva , Lana fourra la plume dans sa poche comme pour ne pa réveler sa découverte. Une plume noire... elle ne ressemblait pourtant pas à celle d'un oiseau. Mais Lana oublia rapidement celle-ci et le chagrin recouvra son coeur lorsque la police commença son interrogatoire.

***

Aliziel et Mélody étaient toujours e train de s'amuser dans l'eau fraîche quand le ciel au dessus de leurs têts commença à s'assombrir. Le ciel parfaitement bleu céda sa place à un cortège nebuleux d'un gris antracite qui réussit bientôt empêcher les rayons du soleil d'atteindre la terre. Cependant les deux frère et soeur étaient si occupés à profiter de leur dernière journée ensemble qu'ils ne prêtèrent pas attention à ce changement climatique. Aliziel était qouq les eaux de la rivière lorsque la surface de l'eau sembla se percer d'un petit point. Puis, toute la surface de l'eau vu du dessous sembla se démenteler et s'agiter. L'eau commença à remuer sous les pies d'Aliziel. celui-ci, remonta alors avec difficulté hors de l'eau et sentit d'innombrables gouttes glisser sur son visage tandis que d'autres venait le frapper de plein fouet.
" Aliziel, il pleut! rentrons! "
La douleur dde la pluie qui s'abbatait violement sur sa peau l'empêcha de répondre et tandis qu'il tentait de se rapprocher de la rive, luttant contre le vent capricieux, il entendit un cri
"Aliziel, Aliziel! Au secours, Aliz..."
Mélody entrainée par les courants de l'eau de plus en plus mouvementés et incohérents, ne put finir son mot car sa bouche était immergée par l'eau transparente. Peu à peu se fut ss yeux puis sab magnifique chevelure et enfin le bout de sa main qui fut engloutit par les flots. Aliziel affolé, et endurçit par l'amour fraternel, nagea le plus rapidement possible , sans penser au froid qui commençait à lui glacer les membres. Arrivé au niveau de Mélody, il plongea en avant jusqu'aux fons les plus sombres de l'eau. Il aperçut sa soeur , les yeux clos et la tira vers le haut avce ses bras forts jusqu'à la surface et rejoint ensuite la rive , Mélody sur le dos. une fois qu'Aliziel eut traîner sa soeur juqsue sous les arbres de la forêt, la protégeant de la pluie qui redoublait de seconde en secones, il la secoua de toute ses forces. Mais Mélody ne réagissait pas. Il tendit la main sous son ptit nez fin et put y sentir de l'air : elle n'était pas morte. Aliziel se souvint alors qu'il avait pris ce matin par précaution, une fiole de potion violette, permettant de réveiller quelqu'un d'incontient.Bien que celle-ci lui ait demander plusieurs heures de magie, il n'hésita pas à la verser entre les lèvres viollettes, assombrie par le frois, de Mélody. Les grands yeux de sa soeur s'ouvrirent nets et un éclair violet sembla traverser leur pupille. U souflle d'air s'échappa de ses lèvres entrouvertes, et Artémion, soulagé lui dit:
-Ca va mieux soeurette? Tu m'as fait une de ces peurs...
Au bout de quelques minutes, quand Mélody fut de nouveau debout, ils entamèrent leur retour au chateau, à travers la forêt. Quelques gouttes d'eaux passaient à travers lépais enchevêtrement de branches et de feuilles au dessus de leur tête, mais cela leur constiatuait tout de même un abris efficace contre les rafales de vents et la pluie qui se mêlait désormais à la grêle. Quand ils arrivèrent dans leur magnaifique demeure, la nuit tombait déjà et l'ensemble de leurs amis et leur famille adoptive avaient préparés un festin accompagné de musique pour fêter le départ de leur tendre Artémion. Un vague de chaleur à l'entrée du bâtiment les remplis de joie et séchèrent leur habits encore trempés.


***

Quand artémion entendit le leger cris qui s'était échappé de la bouche de Lana à la sensation des petites dents s'enfoncer dans sa cheville, ses yeux prirent encore une fois cette teinte de feu et Lana n'eut pas le temps de remuer la jambe que la bête s'était faufilée dans la fissure d'un mur, comme apeuré par ce regard inhumain.
Les pavés collaient sous les pieds et quelques gouttes de pluie atterirent sur le sol. Lana ne sut si elles venaient des gouttières fissurées ou du ciel d'un noir néant. L'air s'humidifiait et un léger brouillard s'installa entre les façades tordues des maisons, aux volets pourris par le temps et la pluie. Au loin, Lana commença enfin à distinguer une lueur orange tel une trace de pinceau vive sur une toile noire. Au fur et à mesure qu'Artémion montrait le chemin à sa compagne, la lueur se faisait de plus en plus nette et large si bien qu'à quelques mètres de celle-ci , Lana put distinguer qu'il s'agissait d'une bougie pendue dans une lanterne, à l'entrée d'une bâtisse tout aussi délabrée que les autres. Devant la petite porte de bois fissuré et moisit entre les planches, Artémion s'arrêta. Sans dire un mot, il frappa d'une main forte à la porte. Lana observait son visage subliminé par la lumière orange de la lanterne et cela lui repeint le coeur de couleurs qu'elle n'avait aperçue depuis plusieurs heures. Trop occupé à observer ses traits fins dont les ombres se projettaient sur son visage entier, elle ne put réagir avant d'entendre le bruit d'un loquet derrière la porte.
Une silhouette se pencha dans l'entrebaillement de la porte. Le vent avait bougé la lanterne qui n'éclairait plus désormais le seuil de la porte mais des rats qui, éffrayés par cette clareté éblouissante, s'étaient faufilés dans les fissures de la porte de la maison opposée. Lana ne put donc apercevoir les traits de la personne qui avait fait apparition derrière laporte, mais seulement les courbes de son visage et un tas au dessus de sa tête qui semblait être ses cheveux. Un frisson parcourut son dos et elle chercha instinctivement la douceur de la main de son compagnon. Au moment ou elle sentit sa chaleur qui lui remontait le long du bras, la lanterne trembla de nouveau et une bourrasque la remis à son ancienne place. Lana crut que ses jambes allaient lâcher à la vue de la femme qui leur faisait face. Elle avait les yeux exorbités, bordeau injectés de sang, ses cheveux noirs grisonnant formaient comme un amas de paille sur son crâne. Sa peau était anormalement ridée et une énorme tâche noire qui semblait être un tatouage déformé par le temps, lui couvrait la moitié du visage. Un tissus noircachait sa bouche et son menton. Lana s'aggripa au poignet d'Artémion afin de ne pas tomber d'effroi. Celui-ci lui lança un regard doux et réconfortant puis se retourna vers la vieille femme et du se pencher pour lui adresser la parole:
- Bonjour Berta
- Ah, te voila! C'est-elle?, demanda-t-elle d'un ton inquisiteur.
- Oui ,Lana, voici Berta.
Lana , gênée par la curiosté de cette vieille femme, n'osa la regarder dans les yeux. Elle préfera fixer ceux d'Artémion, avec un regard interrogateur. Celui-ci ne lui avait pas parlé de cette visite et Lana se demanda si elle avait bien fait de le suivre dans ce périple. Alors qu'elle fixait toujours les yeux fins de son ami, dont les cils étaient parsemés de fines goutellettes , glissant peu à peu le long de ses joues blanches; elle sentit le regard de la vieillarde la fixer. Mal à l'aise, elle retenu son regard quelques secondes puis ne put s'empêcher de regarder Berta. Celle-ci la dévisagea encore quelques secondes puis fit signe à artémion d'entrer Elle s'engouffra ensuite dans l'entrée sombre et brumeuse de la vieille bâtisse. Artémion la suivit d'un pas déterminé mais Lana lui tira nerveusement le poignet pour lui demander de l'éclairer sur cette visite imprévue. Mais celui-ci lui lança un regard sombre et tendit son index sur ses fines lèvres violettes. Elle ne put le contredire et du avancer dans la demeure.



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Ebauche de roman

3/3

16/06/2007 à 01:43

Problèmes de ponctuation, et tes expressions ne sont pas toujours bien construites... fais gaffe, trop de langage soutenu alourdit le texte. Après, pour le récit, on ne peut pas se faire une idée avec si peu d'extraits... mais je sais combien c'est dur d'écrire un roman, et je te souhaite bonne chance