J'ai envie de chialer mes tripes devant ta porte, envie de planter mes ongles dans ton bras pour t'empêcher de partir et te mordre le cou jusqu'au sang. Te crever les yeux avec ma cigarette, t'entendre hurler de douleur, douce berceuse, mon Amour. Trancher tes si jolies veines bleutées et atteindre l'extase en écoutant ton dernier souffle. Violer ton cadavre décomposé, te graver une croix gamée sur le torse, te poignarder post-mortem et exposer mon oeuvre au regard des passants, qu'ils voient un peu la réalité de l'amour, ces cul-bénis de première zone. Contempler tes traits déformés par la douleur à la lueur blafarde de la Lune et éclater d'un rire dément en cassant tes doigts chacun à leur tour.
Dis-toi bien que je serai capable de faire tout ça, si je t'aimais à peine plus.
Te faire mal, te détruire physiquement, comme tu m'as détruite mentalement. Le ballet de nos "Je t'aime, moi non plus" me hante, laisse-moi te donner un avant-goût de la torture que je subis depuis cette nuit-là, une nuit dans tes bras. J'avais envie d'y croire, mais tu as tout gâché. Tu mérites de mourir autant que j'ai le droit d'être heureuse, tu ne crois pas ? Regarde-moi, tout au fond de l'âme. Oui, il fait noir, mais penche-toi un peu, regarde bien, ne cille pas ou tu tomberas. Tu vois ? Tu vois ce que je suis, à cause de toi ? Un puits sans fond...
Tu as dit que tu étais venu pour me faire plaisir, mais il ne fallait pas te forcer, si c'était pour mieux me pousser du haut de mes illusions. Tu voulais quoi, être mieux placé pour observer ma chute ? Ca ne te plaisait pas, de ne pas en être responsable ? Si tu étais resté chez toi, tu n'aurais pas précipité ta mort, Darling. Tu ne serais pas allongé là, devant moi, le regard empli de terreur et les mains liées. Te détruire, te tuer, t'anéantir, te voir disparaître et me sentir bien.
Allons, ne pleure pas. Pas encore. Réjouis-toi, tu vas faire de moi la fille la plus heureuse de la Terre, dès que tu auras accepté de laisser s'évanouir ton dernier souffle. Allons, ton coeur va bien trop vite...Respire calmement, j'ai peur de rater ce grand moment. Oui, ferme les yeux, la peur que j'y lis m'ennuie, maintenant. Tu n'as pas de raison d'avoir peur, puisque tu SAIS ce qu'il va t'arriver. Je crois que c'est le moment...
Un...deux...trois.
Echec au roi.
A Lucas.
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09/08/2009 à 21:07 |
J'ai pas trop compris, je trouve ça confus. C'est pas mon style de texte après
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09/08/2009 à 23:38 |
Je n'aime pas la chute.
| Echec au Roi. |
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09/08/2009 à 23:42 |
Roh moi qui avais cru que c'etait un tribute au championnat de france qui s'ouvrait demain a Nîmes .
| Echec au Roi. |
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09/08/2009 à 23:45 |
J'aime bien le style, surtout au début.
Quelques détails un peu cliché, le "darling" surtout, mais pas mauvais dans l'ensemble.
| Echec au Roi. |
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10/08/2009 à 01:05 |
J'aime beaucoup. On ressens la haine, et la souffrance. C'est pas mal.
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10/08/2009 à 01:08 |
j'aime beaucoup le style aussi
sa sort vraiment du fond de l'ame
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10/08/2009 à 02:41 |
J'adore le style
| Echec au Roi. |
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10/08/2009 à 12:42 |
Personnellement, j'aime vraiment =).
| Echec au Roi. |
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11/08/2009 à 01:32 |
Je n'aime pas, parce que je ne rentre pas du tout dedans.
| Echec au Roi. |
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11/08/2009 à 01:40 |
Le Darling m'a " choquée ". J'm'attendais pas à le voir là lui.
Pis j'ai pas trop compris le " Echec au roi ", donc j'ai pas du comprendre l'histoire xD
On mettra ca sur la cause de l'heure, il est tard xD
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11/08/2009 à 19:22 |
J'ai adoré
| Echec au Roi. |
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11/08/2009 à 21:17 |
Je n'aime pas certains passage stéréotypé.
Mais j'en adore d'autres.
Tu devrais le retravailler.
| Echec au Roi. |
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14/08/2009 à 13:39 |
Quand on y met le ton, on y gagne une partie de fou rire, sinon c'est somme toute assez vide.
Aucune fluidité, aucun style. Les phrases ont l'air d'avoir été collées les unes avec les autres sans sens véritable. Ça donne un amas de futilités plus qu'un texte abouti.
Bref, je n'aime pas.
