BeuZ L'eClaiR EN péRiL

BeuZ L eClaiR

BeuZ L'eClaiR EN péRiL

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11/07/05 à 19:24

Jeune, le ciel au crépuscule comme au jour était recouvert d’un voile absurde.
Le début d’un cauchemard que je n’évoquerait pas.
Realité suspendue par le chaos répandu, et à ce fur et à mesures on m’a appris à me cacher,
Pour plus tard en apprendre de jours en jours, les gens étaient tous mes énemis.. je devais me méfier même de mes amis… j’appris à ne pas m’attacher, les coups bas, les coups de poignards n’achever pas le cauchemard de larme auquel on m’avait destiner,
Affaiblit, je suis rester, on aurait dit que les gens essayaient de m’achever, le moment était mal choisit, la lueur d’espoir se faisait souffler par le doux vent de la tristesse, on m’apprit vite à me forger, ne jamais montrer ses faiblesses, ne jamais baisser la tête devant les chiens de l’enfer, au fur et à mesure je n’arrivais qu’un peus à emmerger de ce long cauchemard, et je reussis enfin de compte à m’y reveiller…

La lueur de mes yeux perdit de sa vivacité, mon cœur me faisait souffrir, on dirait des coups de katana. La solitude m’a rendu fort mais fou, je ne sais plus…
Maintenant que j’ai amorcer vers la sortie de ce cauchemard, j’ai de belles sequelles, la carapace que je me suis forgée fait souffrir mes proches autour de moi, on m’a dit de sourrire, et je n’y arrivais pas… Aujourd’hui je hais ce qui veulent me perçer alors, inconsciement je blesse tous les gens auquel je tiens, j’ai bientôt 18 ans… j’ai l’impression d’être ronger… d’être bouffer de jour en jour par la haine…
Toutes les femmes qui ont voulu en savoir trops sur moi.. ce sont retrouver sur les roses… et pourtant je jure, que j’ai regretter…. Mais je ne sais pas ce qu’il m’arrive…. Je crois, que j’ai plus confiance en qui que ce soit… pris au piège je crois que sous ma caparace j’ai peur.. et je veux que ca change… je crois que je suis en grand manque d’affection… j’ai trops refouler d’amour.. j’ai trops refouler mes sentiments… j’ai voulu jouer avec mon cœur, et j’en souffre….

J’en peut plus… et je tiendrais pas longtemps… cette souffrance, ne rend que ma mélancolie plus hardue… (et encore… je remercie la musique, sinon je me serait tirer une bastos dans la tête depuis longtemps… elle me permet de me liberer… mais pas pour longtemps)