un écrit...une suite?

boutoutou12

un écrit...une suite?

6

10/11/09 à 16:45

chalut! alors voilà je me suis lancée dans l'écrire d'un roman, et j'aimerai des avis extérieurs pour savoir si mon début vous intéresserait?





Ce n'est pas le temps qui sépare les coeurs transis, mais les gens qui passent dans la vie de deux amants oubliés. Le temps les oublie, jusqu'au jour où la fatalité s'abat à nouveau pour briser les sentiments.
Les gens défilent dans le quotidien, brisant ainsi chaque plan fait par le boulanger qui n'a peut-être plus de pain, ou par la caissière qui s'est trompée dans la monnaie.
Pour ma part ce fut un enfant qui changea tout. Ce n'était ni le tien, ni le mien, nous étions bien trop jeunes pour ça.
C'était celui de mes parents, mon petit-frère...

**

Je me rappelle encore du surnom que tu me donnais, tu me taquinais même en m'appelant Stevie, et savais exactement que je haïssais ce surnom, mais cela t'amusais et en vengeance, je t'appelais mimille dans la cours du lycée, au point que tu viennes me taper pour me faire taire. Je faisais semblant d'avoir mal afin de te sentir proche de moi. J'avais à peine 17 ans, les hormones en ébullition et je me voyais te passer la bague au doigt. Alors que tu me tapais, nous rions ensembles sous les multiples coups de chatouilles que j'avais à ton égard. Puis je rentrais dans ma coquille, car à chaque fois, mon frère, petit-frère venait nous arrêter, trouvant nos jeux ridicules. Il te tendait la main et je voyais ton sourire radieux, blessant, alors que tu la prenais, le laissant ainsi déposer un baiser sur tes lèvres, te proposant de rester dormir le maison le week-end prochain. Et dans tout ça, moi, j'étais jaloux.

Il m'était malsain d'être soulagé de t'entendre dire non à mon frère qui semblait t'aimer.
Mais tu te trompais.
Chaque fois que tu partais chez ton oncle, Benjamin venait à te tromper avec d'autres filles du lycée, et je n'avais le droit de rien dire, respectant le pacte fraternel qui nous unissait. Il était mon sang, j'étais le sien, le soutien était primordial.

Je regretterai toujours lorsqu'au début de l'année, lors de ton anniversaire, tu m'avais demandé si je t'aimais. Benjamin m'avait confié avoir des vues sur toi. C'était la veille. Je regretterai toujours de t'avoir dis non, faisant naitre une vague de peine dans tes yeux que j'avais encore l'impression de voir lorsqu'on était seul...

Mon père t'adorait même si tu ne le voyais pas souvent, il trouvait que tu étais une fille bien qui serait parfaite pour son fils.
Il travaillait beaucoup. il était avocat. Je me rappelle encore qu'il détestait que tu l'appelles Monsieur au lieu de David. Il avait divorcé de maman, et les dettes s'amoncelaient depuis ce jour. Parfois je travaillais dans le Macdo d'à-côté afin de l'aider; et je vous y voyais, mon amour secret et mon frère. Je ressens encore les coups de poignard dans mon coeur alors que vous vous embrassiez sur la petite banquette du fond.
Je me sentais alors invisible et faible.

Mais dans tout ça, je ne me doutais pas qu'un an plus tard, tout s'arrêterait.

**

On était à la fin de l'année et j'avais décroché mon diplôme avec mention très bien, m'ouvrant iansi les portes de toutes les facultés de médecine de mon choix. Tu dormais à la maison presque tous les samedis. Ces soirs-là , je m'installais sur mon lit, sur le dos, et je t'entendais, les yeux brillants, murmurer inlassablement des je t'aime qui ne m'étaient pas destinés.

Un soir, alors même que je cherchais mon père, j'entrais dans son bureau et découvris une dette extravagante. Je n'avais pas la moindre idée d'à qui il devait cette pareille somme et n'avais pas eus le loisirs de chercher davantage. J'entendis un cri.

un écrit...une suite?

2/6

10/11/2009 à 17:38

Kitch. (Même si je sais pas si ca s'écrit comme ça :m

boutoutou12  

boutoutou12  

Frosties