Grève au Québec

Bah en France la scolarité publique est gratuite je crois mais la grandes majorité des école supérieur qui permettent de travailler dans l'ingénierie, la finance sont des université privé qui coute entre 5000 a 10000 euros.

Le gouvernement du Québec, à décider que dès la rentré scolaire 2012, il y aurait une hausse des frais de scolarité de 325$, soit 249.65 €. Et ce, durant 5 ans. Les étudiants son tout à fait contre cet initiative du gouvernement, parce qu'il ont déjà dit qu'un jour on aurait la gratuité scolaire.

Des milliers d'étudiant son alors aller en grève, des étudiant du cégep, et des universités. En tout, il y à eu un temps où il avait plus de 300 000 étudiants en grève. La ministre de l'éducation à jamais voulut négocier avec les étudiants, ou reculer sur sa décision.

Après plus de 60 jours de grève, les cégeps et universités son entré dans une phrase critique, puisque les sessions pourraient ce voir annulé ou prolongé l'été. Dans le moment présent, les cégeps on des cours du lundi au vendredi en 8h00 am et 6h00 pm. Advenant que les étudiants retourne à leur cours, ils devront avoir des cours jusqu'à 10h00 pm la semaines, des cours les samedis, et se voir prolongé les cours jusqu'en juin, même en août. Alors que normalement, leur cours devrais finir vers la mi-mai.

Lundi, 23 avril 2012, la ministre de l'éducation sait retourné de côté et à annoncer qu'elle voulais négocier, avec les association étudiante, la CLASSE ( Association pour une solidarité syndicale étudiante ) et Les fédérations étudiantes collégiale et universitaire du Québec (FECQ et FEUQ) . Au départ, la ministre avait exclu la classe, puisqu'elle avait pas dénoncé les acte de vandalisme durant les manifestation. Mais lundi, elle les a accepter, sinon la FECQ et la FEUQ, ne participaient pas.

Les négociations on commencer lundi soir, à huit clos, mais hier, 25 avril, la ministre à exclu la CLASSE, ce qui a mit la rogne chez les étudiants. Une manifestation étudiante à pris part hier soir, qui à viré à plus de 85 arrestation. La nouvelle à même fait le tour des nouvelles au État-Unis, tel que CNN.

La hausse ses 325.00 $ durant 5 ans, sois 1625.00 $ de plus. Ce qui équivaut à 1 248.46 €.

Au total il coûtera environ 3 793.00$ (2 914.00 €) dans cinq ans. Le Québec étais une des provinces ou il coûtait le moins cher daller à l'école. Sauf, si ont ajoute les frais supplémentaire lié à cette hausse, sa serais 4 700.00$ (3610.00 €) par an.

Statistique qui est paru hier dans le journal La Presse de Montréal, la hausse des frais de scolarité devrais rapporté 41 millions de dollars supplémentaire aux universités, mais hier on lisait, que la grève est rendu à 40 millions, en heure supplémentaire au enseignant qui eu doivent être présent et travailler quand même, à elle'entretient, etc. Le SPVM ( Service de police de la ville de Montréal ) à dût déboursé 3 millions en heures supplémentaire à cause des manifestation. La SQ ( Sûreté du Québec, la police provinciale), tant qu'à elle, aurait déboursé 1.5 millions en heure supplémentaire.

Les différents autre partie politique présent au Québec, veulent que le gouvernement recule, d'autre veulent que la ministre de l’éducation démissionne, ou que le premier ministre lui-même démissionne.

Lors du projet Plan Nord, du gouvernement, Jean Charest, il à critiqué en blaguant sur les étudiants, voici un article sur sa...

MONTRÉAL – Jean Charest s'est moqué des manifestants vendredi après-midi, tandis que se déroulaient de violents affrontements entre policiers et étudiants, à Montréal. Il a suggéré notamment d'envoyer les étudiants dans le Grand Nord, provoquant un tollé chez les politiciens, leaders étudiants et sur les médias sociaux.

À la toute fin de son discours inaugurant le Salon Plan Nord, au Palais des congrès, le premier ministre a fait allusion à la manifestation qui se déroulait à quelques mètres de là : «Le Salon Plan Nord est déjà très populaire, les gens courent de partout pour rentrer», a lancé à la blague le premier ministre. «Ceux qui frappaient à la porte ce matin, on pourrait leur offrir un emploi... dans le Nord, autant que possible», a-t-il ajouté sur un ton moqueur, ce qui a déclenché des éclats de rire dans la salle.

Vives réactions

Les commentaires du premier ministre ont provoqué une tempête de réactions hostiles sur les médias sociaux. De nombreux internautes ont rapidement dénoncé «l'arrogance» et «le mépris» de M. Charest. Une page Facebook a également été créée pour condamner de tels propos.

«Faire des blagues sur le dos des étudiants, c'est franchement insultant!» a dénoncé la présidente de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ), Martine Desjardins.

La chef du Parti Québécois, Pauline Marois, a reproché au premier ministre d'avoir ainsi jeté de l'huile sur le feu, une attitude qu'elle qualifie d'irresponsable.

«Il avait commencé cette semaine à faire des blagues de très mauvais goût à l'Assemblée nationale, mais aujourd'hui, elles ne sont pas seulement de mauvais goût, elles sont provocatrices à l'endroit des étudiants», a-t-elle indiqué.

Elle a également rappelé les conséquences de la décision du gouvernement Charest d'imposer une hausse des frais de scolarité. «Ce qu'il a imposé aux étudiants est inacceptable, une hausse inacceptable, je l'ai dit, c'est lui qui est responsable actuellement des dérapages qu'on connaît et qui sont bien sûrs condamnables, mais c'est lui le premier responsable», a dit Mme Marois.

Selon le chef de la CAQ, François Legault, en tournant au ridicule l'émeute au centre-ville de Montréal, Jean Charest a «déshonoré» la fonction de premier ministre.

«C'est triste à dire, mais je pense qu'aujourd'hui le Québec n'avait pas de premier ministre. Je pense qu'il a déshonoré la profession et qu'il devrait s'excuser», a lancé vendredi M. Legault, peu avant l'ouverture du congrès de fondation de la Coalition Avenir Québec (CAQ) qui se tient jusqu'à samedi à Victoriaville.

«Je pense qu'on se retrouve dans une situation où on ne se retrouve pas souvent dans le monde : est-ce que vous en connaissez beaucoup de chefs d'État qui font des blagues, alors qu'il y a une émeute à l'extérieur?» a-t-il ajouté.

François Legault demande au premier ministre de convoquer la FECQ et la FEUQ à son bureau lundi matin. Le chef caquiste a aussi lancé un appel à la CLASSE à dénoncer sans attendre la violence.

Déclaration de Jean Charest

Dans un communiqué émis en début de soirée, le premier ministre a souligné que son gouvernement «prend la question de l'intimidation et de la violence très au sérieux».

Il estime que ses commentaires au sujet des manifestants ont été mal rapportés. «Les propos que j'ai tenus lors de mon discours ont été cités hors contexte et interprétés par certains comme si je prenais la situation à la légère, peut-on lire dans le communiqué. Ce n'est pas le cas. Les gens dans la salle l'ont très bien compris.»

M. Charest a appelé les manifestants au calme et a relancé l'invitation de la ministre de l'Éducation, Line Beauchamp, pour une rencontre avec les leaders étudiants afin de régler la crise. «Je tiens à remercier celles et ceux qui ont dénoncé les gestes disgracieux dont nous avons été témoins [vendredi]», a conclu le premier ministre.

Bref, sa ce joue dure dans notre coin de pays.

Excuse moi, mais ―À cause que― se dit ici!