Moins de 18 ans
18 ans ou plus
Elliot_Sue_Sam | Elle, son trèsor | 1 | 10/01/08 à 17:23 |
Dehors la pluie fine martèle les carreaux de la chambre, elle s’étale sur la vitre, le ciel gris blanc recouvre le paysage campagnard, dessécher, labouré par les mains des paysan. Elle, assise sur la chaise de son bureau, regardant les notes de musique invisible à travers les molécules du temps, elle les observe lentement les une après les autre, repoussant l’envie de les attraper, de les enlacer tendrement dans les heures tardive de la nuit.
Une goutte d’eau se cogne a son épaule, elle est humide, forcément, mais aussi fraîche, lui laissant parcourir un doux frisson inconnue. Elle ne leva pas la tête pour regarder d’où vient cette perle fraîche, non elle l’ignore et cela ne l’empêchera pas de dormir.
Les heures défilent sous ses yeux argenté, elle a le temps de les compter au moins une centaine de fois, cela l’enchante parfaitement, elle aime voir le temps naviguer devant elle
Seulement elle est la seule a pouvoir le voir, personne d’autre ne voit tout ce qui l’entour, si elle en parlait à quelqu’un tout s’effacerais face a la dureté du monde d’aujourd’hui, alors elle se ferme dans le silence, le silence qui lui souffle dans le cou, il lui souffle des mots d’amour, le silence est sien.
Elle se lève finalement, descend les marche, parcourt les quelque pas qui la sépare du monde extérieur. A présent de nombreuse goutte lui tombe dessus, elle sent l’odeur de la pluie, la hume, la saisie, l’emprisonne puis face à se spectacle elle retire un a un ses habits, les quelques toit au alentour s’agite, des chuchotements, des rideaux tremble, des ombres ondule derrière le carreau trempé mais elle ne les voit pas, son corps dénudée ne fait plus qu’un avec les bijoux de ciel. Elle lève fièrement la tête, tend ses long bras de ses doigts fin et savoure le plaisir unique de ce moment volé à l’univers emprisonné par la fumé noir de la vie de maintenant.
Les ombres se sont multiplier, pas une ne bouge, leur regards perçant de sentiment obscur essaye mais ne l’atteinde pas. Maintenant elle ramasse ses habit, ignorant la populace, les trésors de la nature lui ont offert c e qu’elle voulait, doucement elle se rhabille, souriant devant les beautés visible qu’a ses yeux puis rentre dans son cocon, laissant les alentour engourdis de stupeur enivré de haine par ce qu’ils ne comprennent et ne comprendront jamais.
Elle, son trèsor | 1/1 | 11/01/2008 à 16:46 |