Ouais l'ambiance est pas mal mais y a des maladresses (je sais que je répète exactement ce qui y a été dit avant, mais c'est vrai).
Je te c/c le texte en mettant en gras ce que je trouve mauvais (et des commentaires entre parenthèses).
Fais gaffe à la concordance des temps aussi. Si tu corriges ce que je t'ai dit ce sera pas parfait mais déjà bien meilleur. Persévère
2060.
Le monde est dévasté. Il ne reste plus rien. Des journaux volent, grâce aux vents, avant de se poser délicatement sur des cadavres quelconques, d'humains ou de pigeons. Des corps réfléchissent, allongé par terre. Les tanks sont vides.
Il n'y a plus aucune présence humaine. (Mais plus loin tu parles d'humains, tu te contredis)Les corbeaux volent de plus en plus haut, tandis que les corps inanimés s'enfouissent dans le sol. Il pleut. La pluie mouille la terre sèche. Chaque goutte sembles montrer tous les malheurs qu'a vécu la population terrienne. Une petite communauté d'hommes, sous la pluie, se dépêchent de protéger leurs affaires restantes. Ils rentrent tous peu à peu dans leurs chaumières. Les larmes de Dieu se précipitent.
L’orage éclate. Foudroyant les arbres dans la foret, servant de ressources pour les 100 miraculés. Les arbres foudroyés tombes de haut, emportant les nids présents vers la boue.
Une semaine passe. Les
organes (pourquoi les organes?) s’activent à leurs activités quotidiennes, avec un beau soleil éclaircissant la vue des chasseurs. Ce jour-là, c’était double ration de poulet. La chassé avait été bonne.
Les semaines se suivent et se ressemblent. Même intempéries, même tâches quotidiennes, même cris de désespoir, même pleures. Cela peut faire penser à l’ancien métro boulot dodo que vivait les derniers habitants avant que la guerre n’éclate.
Sauf qu’il y a une anomalie, un simple domino poussant tous les autres.
Pour l’mage, le domino nous poussent vers la fin, dans notre cas. (c'est un peu flou, comme image)En effet, cette guerre ne s’est pas déclaré du jour au lendemain. Tous les représentants du monde se sont réunis pour trouver une solution scientifique. Mais ils ne trouvèrent rien. Car oui, nous sommes stériles.
Tous, sans exception.
Le plus surprenant, est que les scientifiques se sont aperçus que la cause de cette stérilité vient juste de l’homme. En aucun cas elle vient de la femme. Alors,
avant de dévoiler la trouvaille, (ca colle pas) ils se sont rapprochés des spermatozoïdes. Les
blouses blanches (ca colle pas) ont découvert que les spermatozoïdes n’avaient plus de
physique. (Qu'est-ce que tu veux dire exactement? Plus de force, plus d'endurance, ils sont trop faibles?) Tellement plus de physique qu’ils mouraient tous avant d’atteindre l’ovule de la femme. C’est irréfutable. Quand le président des Etats-Unis avait annoncé cette nouvelle, cela a été un gros choc pour toute l’humanité. Encore plus pour les hommes. Beaucoup se disaient « avoir perdu leur virilité ».
Remarque, maintenant certaines femmes ne pouvaient plus leur reprocher de les avoir mises enceinte. (Ca casse le rythme, ça colle pas du tout avec le reste.)
Malgré ça, les scientifiques ont affirmé que les hommes auront toujours leurs spermatozoïdes quand même. Il faudrait juste essayer d’améliorer leur endurance,
chose que les scientifiques n’auront jamais trouvé. (non. Trouve une autre formulation. Et tout ce paragraphe est un peu flou, réécrit ça plus clairement en pensant à ce que tu veux vraiment exprimer.)
-Il nous reste encore combien de temps avant l’extinction de l’homme ?demande le jeune ignorant.
-Je ne sais pas. Le temps qu’il faudra. Pas longtemps en tout cas.
Le malheur est bientôt terminé (maladroit, trouve autre chose) mon enfant, tout ceci va se passer tellement vite que tu ne verras rien.
Notre chute aura été brutale, très brutale.
Tu peux t’en aller maintenant.
Et le jeune garçon âgé d’environ 16-17 ans, s’en va en marchant lentement, dépité
de ce qu’il vient d’apprendre.(par ce qu'il vient d'apprendre) Je vois quelques larmes qui glissent sur son visage avant de s’effacer dans le sol.
Je déteste raconter la même histoire à chaque fois. Foutue règle. Ce n’est pas ça qui va nous faire ramener la fertilité des hommes,
à que je sache. (ça se dit pas. "Que je sache." plutôt.)