Voilà je sais bien que c'est tres long a lire pour ceux qui en ont pas envi alors avis a ceux qui n'ont pas la flemme... bien ce n'est pas un texte pour vous et si vou écriver '' la flemme '' sur mon blog jen concluré que vous ne savez pas lire ^^
un cour extrait dun roman d'horeur |
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03/08/2007 à 03:56 |
Dans la même nuit, Roxia ce réveilla. Elle entendait une voix l’appelée. Elle se leva de son lit, puis, ouvrit la porte avec douceur pour ne pas réveiller ses compagnons de chambre. Roxia suivit les voix. Celle-ci la conduisit, non pas au téléphone, mais à la porte au ruban rouge. Après avoir ouvert a moitier la porte au rubant ,un mauvais sentiment commençait à la paniquée, et dans son énervement, poussa un crie involontaire, qui vous le devinerez bien, on réveillé les deux autres qui dormaient. Ces deux la se levèrent en un saut, et furent triste d’appendre que le manoir n’était pas qu’un simple rêve. Suite à cette pensé, ils bondirent hors de leur lit, puis se précipitèrent vers la porte au ruban. Ils y trouvèrent Roxia, allongé sur le sol, un air de panique graver au visage. Martin se pencha et tendit la main pour toucher son front. Il était froid, humide et on pouvait apercevoir quelques veines qui avaient éclatées. Elle semblait avoir eu peur, très peur. Une crainte s'éprit alors des deux amis. Soudain, Roxia se mit à avoir des sortes de spasmes, comme si quelqu’un l'électrocutait. Martin paniquait, il la regardait avec horreur. Melissa, elle, sautillait sur place en sanglotant les mains serrées sur le cœur. Roxia s'arrêta tout d'un coup. Elle était essoufflé et avait du mal à parler mais réussit quand même à dire : FANTOME! Et sembla s’être assoupie après une longue et violente inspiration. Martin et Melissa se regardèrent. Puis, Roxia, qui s'était réveillée, continua.
-J'ai entendu qu'on m'appelait. Je me suis levé et j'ai suivis la voix. J'ai pensé qu'elle me conduirait au téléphone mais elle ma conduite devant cette porte. J’ai ressentie un soudain besoin de l'ouvrir. Ce que je fis. Mais je ne me souviens plus de grand chose. Une porte ouverte, quelque chose qui me transperce des deux côtés. C'est vraiment flou.
Tous restèrent silencieux.
Martin pris la parole à son tour.
-Tu es sur que tu n'as rien pris? Drogue, hallucinogène?
Roxia offusquée, se leva brusquement et lui lança une gifle, elle reprit:
- Bien sur que j'ai rien pris! Tu me prends pour une folle?
Melissa était blottit dans un coin, elle se balançait et semblait chantonner. Ses long cheveux noirs couvrait son visage, comme si elle était une petite fille qui a vu quelque chose de traumatisent.
Sans s'en attendre, les deux virent Celle-ci ce se diriger robotique ment vers la porte. Lorsqu'elle tendit la main pour tourner la poigné. Martin eu un peu peur de la laisser continuer, alors il la stoppa:
-QUOI? Cria Melissa
-pour quoi veux-tu aller dans cette pièce?
- Parce que quelque chose a fait du mal à ma meilleure amie et je veux savoir ce que c'est!
Martin pensa un peu, puis lui dit qu'il allait l'ouvrir avec elle.
Roxia alla s'Accoter contre la rampe de l'escalier et se cacha les yeux à l'aide de ses mains. Martin posa sa main sur la poigné en hésitant un peu et se fut le tour de Melissa. Ils la tournèrent, mais elle était encore fermée à clef. La curiosité de Martin était déchaînée, tellement qu'il s'approcha furieusement de Roxia, la pris violemment par les épaules et l'accota contre le mur.
- Qu'avait-il dans cette pièce? Lui lança furieusement martin.
-Une lumière ! Avec des choses qui bougeait! Je ne sais pas trop ce que c'était ! Je n’ai pas pris trop attention! Lui rétorqua Roxia un peu sous le choque de cette agressivité.
Martin baissa la tête avec honte. Il s'excusa a son amie d'avoir été si monstrueux avec elle et lui dit qu'il ne savait pas se qui lui avait pris. Melissa accouru à la rencontre de sa meilleure amie, et lui demanda si tout allait bien.
-Oui oui! Je me demande seulement ce qu'il a.
Après cela, comme plus personne n'arrivait à dormir, ils détendirent au salon. Ils s'asseyent chacun sur un divan. Martin regardait la pièce, il sentait quelque chose l'épier. Comme il ne trouvait rien à faire, il décida d'animer la pièce en faisant un bon feu de foyer. Melissa était accroupit sur un coussin et grattait l'accoudoir. Roxia, elle s'était levée, incapable de rester en place . Elle demanda si un de ses amis pouvaient l'accompagner dans une petite excursion. Melissa l’accompagna. Car Martin ne voulait pas laisser son feu sans surveillance. Elles se promenèrent dans la maison ou il y avait un peu de la lumière du salon qui s'y reflétait, puis allèrent en se tenant la main, vers la porte qui menait dans la cour extérieur. Elles regardèrent dehors sur un coup de tête puis éclatèrent de rire lorsqu'elles ne virent pas de bécausse dans la sombre lumière du matin .Cette fenêtre était dans la grande et majestueuse pièce qui servait de cuisine. Lorsqu’ elles finirent de rire, elles se mirent à regarder au tour. En plus de régner une ambiance chaleureuse et entraînante dans cette pièce, elle était belle, et bien décorer, de nombreuses armoires garnissaient 4 murs et un énorme réfrigérateur se trouvait entre 2 de celles-ci. Par habitude, Roxia se dirigea vers le frigidaire. Puis ouvra la porte. Ce qu'elle vit lui coupa le souffle. De la nourriture. Beaucoup de nourriture s'y trouvait. Du poulet, du jus, du lait, des fruits, lait au chocolat. En fait, tout ce que les trois aimaient le plus. Les deux filles se regardèrent, puis avec un sourire en coin, Roxia dit:'' GO!''. Puis elles se mirent à fouiller dans les grandes armoires y trouvent plein de chose d'une utilité presque infinie. Alors qu'il ne restait qu'une seule armoire à fouiller, Mélisse décida de servir des vers de lait. Elle alla dans l'armoire où se trouvaient les verres, en prit trois et y versa ce liquide blanc si apaisant. Telle une serveuse diplômée, elle prit méthodiquement les verres pour les apporter à bon port. Elle longea le corridor pour se retrouver dans le salon ou flottait encore, une étrange peur. La petite déposa doucement et méthodiquement les verres sur la table basse du salon puis invita martin à la rejoindre. Pendant ce temps, Roxia s'apprêtait à fouiller la dernière armoire. Lorsque qu'elle l'ouvrit, elle sentit qu'elle était plus lourde que les autres. Quand la porte fut ouverte, Roxia ce pencha dans l'obscurité de l'ombre ce celle-ci. Elle y découvrit un passage rocheux qui avait l'air d'un tunnel. Elle ne voyait pas bien dans l'armoire malgré le soleil qui pénétrait peu à peu dans la majestueuse pièce antique. Roxia alla rejoindre ses amis qui étaient dans le salon, parlant des événements qui s'étaient produit plus tôt.
Roxia- ''Je suis sur que ce n'est qu'une plaisanterie que veux nous faire Mathias! Il est toujours de plus en plus vil dans ses mauvais tours!
Mélissa-'' Comment expliques-tu qu'on ne puis retourné chez nous?
Roxia-'' Il a sûrement brouillé le chemin. De sorte qu'on emprunte celui le plus visible. En d'autre mots : Celui qu'il a fabriqué.
Melissa était soulager de pouvoir avoir une autre conclusion que le paranormal. Martin enchaîna:'' D'accords. Écoutez-moi bien les filles. Nous allons jouer à son jeu. Pour avoir le contrôle.
Nous allons fouiller les pièces de la maison, puis trouver tout les pièges qu'il nous a réservés à l'avance. Je suis sur qu'il n'est pas ici 24h sur 24.
Ils finirent leurs verres de lait. A l'exception de Roxia, qui n'aimait pas beaucoup le lait. Puis, se dirigèrent vers le couloire qui menait à la cuisine. Ils remarquèrent qu'au milieu de celui-ci se trouvait une porte. Roxia mis sur la faute de l'absence de lumière qu’il n’ait pas vu cette porte plus tôt ce matin. Martin posa sa main sur la poignée et l'empoigna solidement avant de la faire pivoter très doucement. Melissa se tenait contre le mur. Elle tourna la tête, et appercuu quelque chose avec eux. Cette chose qui la regardait était d’apparence humaine, mais était transparent et luisant. La chose semblait être d’un certain age et avait l’air bougonneux. Aucun trait ne rassurait Mélissa. Cette créature ne détachait pas des yeux du regard de celle-ci. Après qu'elle eu complètement réalisé se qui la regardait, elle poussa un cri. La chose lui souris bêtement dans sa moustache et luis fit un au revoir moqueur avant de complètement se dissoudre dans l'air. Les deux autres se retournèrent, mais pour ne voir seulement que leur amie, pétrifié par la peur.