fan-fictions

Personne n'est interessé ???

ok Virus ! je t'encourage fortement ! personne d'autre ?

Il faut écrire une fan-fiction en 30 lignes maximum !!!
Et écrire lisiblement, pas en langage texto. c'est bon comme ça ???

Alors je sais pas si vous savez ce que c'est qu'une fanfiction, donc j'explique : c'est une histoire écrite par n'importe qui. Cette personne choisit une série qu'elle aime bien et se crée son propre scénario. J'en ai lu quelques-unes et j'ai adoré, alors j'en ai écrit une (elle n'est pas terminée) sur la série "New-York 911".
Bonne lecture !!!!!!!
P.S : pour info, Bosco et Faith sont 2 flics qui patrouillent ensemble depuis des années, Emily est la fille de Faith, Fred est le mari de Faith et Cruz une flic, l'ex de Bosco. Voilà, c'est tout !!!

*-* Je me souviens *-*

Je me souviens de la première fois où l’on s’est rencontré, de la première fois où l’on s’est parlé, de la première fois où tu as pleuré devant moi, de la première fois où j’ai pleuré devant toi, de toutes ces premières fois qu’on a vécu ensemble et qui m’ont rendu la vie bien plus belle. Alors je t’écris cette lettre qui risque d’être assez longue ; tu n’en a pas l’habitude, je suis un mec au caractère vraiment pas facile et qui a jamais vraiment dit à quelqu’un ce qu’il ressentait, alors pour une fois je vais faire un effort ! Voici toute notre histoire et tout ce que j’ai ressenti et pensé dans des moments très précis….

La première fois que l’on s’est rencontré :

Ce jour-là, on passait notre épreuve ensemble, tu t’en souviens je pense. Quand je t’ai vu arriver, je me suis dit que tu étais une fille coincée et sans profondeur, sans surprises ! C’est pour ça que je ne t’ai pas répondu quand tu m’as dit bonjour, d’une voix toute timide. J’étais vraiment trop con de penser ça !!!

La première fois que l’on s’est parlé :

Ca devait être pendant l’épreuve de tir. Dès cet instant, j’ai su que je m’étais trompé et que tu étais une fille à part de toutes celles que j’avais pu rencontrer dans ma vie, c’est le genre de chose qui se sent. Et cette fois-ci j’avais raison : tu es une fille exceptionnelle, Faith, et je ne sais pas si tu en as réellement conscience. Quand tu m’as vu, tu as dû te dire « quel macho celui-là ! Tout dans les muscles, rien dans la tête ! ». Et tu n’avais pas tort. Mais je crois que c’est la vie, les épreuves et surtout toi qui m’avez changé ! Toi qui as toujours été là pour moi depuis cet instant-là, cet instant où l’on s’est parlé pour la première fois…

La première fois que nous avons bossé ensemble :

C’était une bonne journée, tu as dû bien rigoler à me voir courir comme ça derrière ces salauds de petits camés ! On a appris ce jour-là à se connaître, à savoir comment l’autre travaillait. Tu m’as dit que tu étais mariée, et que tu avais deux enfants de 7 et 3 ans, que ton mari était alcoolique… en fait, ce jour-là, tu m’as confié tout ce qui te faisait du mal, et je ne savais pas pourquoi tu me disais tout ça à moi, le sans-cœur, la grande-gueule, l’insensible. J’étais encore un parfait inconnu pour toi et, avec du recul, je crois que c’est pour ça que tu as réussi à te confier ! J’étais heureux lorsque le chef nous a dit que l’on ferait désormais équipe ensemble, parce que nous avons tout de suite été très proches. Mais tu ne connaissais rien de moi. De toute façon, tu sais bien que je ne suis pas du genre à me dévoiler ! Et puis un jour, enfin, j’ai brisé ma coquille : je t’ai parlé de mon frère drogué, de ma mère battue par un père trop violent, de mon enfance pas toujours évidente, de mes histoires d’amour sans amour, de ma vie plate. Sans toi, je ne serais sûrement plus là depuis longtemps !


La première fois que tu as pleuré devant moi :

Je m’en souviens très bien, car je ne m’attendais pas à voir une femme aussi forte que toi s’effondrer en larmes. Fred, ton mari, le père de tes enfants, t’avais frappée devant eux. Certes, ce n’était qu’une claque, mais savoir que tes mômes assistaient à toute la scène t’avait profondément meurtrie. Et pour la toute première fois de ma vie, j’ai été là pour quelqu’un, ailleurs que dans l’exercice de mon métier. Je me souviens que cet élan de gentillesse et de solidarité que j’ai eu envers toi avait été très vif parce qu’un homme avait osé levé la main sur une femme non seulement très humaine, gentille et drôle, mais aussi terriblement belle. Car je te trouvais belle, Faith, et plus les jours passent, plus je te trouve sublime (ça me coûte de dire des trucs comme ça, crois-moi ! Je suis peut-être maladroit pour dire ce que je pense à mes amis, mais j’essaie et je sais que tu m’as compris).

La première fois que j’ai pleuré devant toi :

Le jour où mon père a refait surface dans ma vie. Pour moi, tout était fini, je le haïssais, je ne voulais plus le voir ! Et cette fois-ci, tu n’as pas réussi, malgré tous tes arguments, à me faire céder. J’ai un caractère encore pire que le tien, et j’ai le sang chaud, contrairement à toi qui sait souvent garder la tête froide dans les moments difficiles.

Il y a aussi la première fois qu’Emily m’a appelé « Oncle Bosco » :

Je me disais qu’enfin, je faisais partie d’une famille, et que des gens me comprenaient et surtout m’acceptaient, avec mon uniforme de flic et mon caractère de chien. Tu es la première –et la seule- à avoir cerné ma véritable personnalité, et même si on a eu des prises de bec et quelques secrets cachés aux yeux de l’autre, notre amitié a toujours été plus forte que tout ça. Sauf peut-être quand Cruz t’a tiré dessus et que tu es restée paralysée. Notre amitié a été gâchée, tu ne voulais plus me voir, tu avais peur que j’ai pitié de toi. J’ai eu si peur de te perdre ! Mais toute notre histoire s’est reformée quand tu es revenue bosser. Tant mieux, car durant cette période tu m’as terriblement manqué.

La première fois que tu m’as sauvé la vie :

Tu m’as crié de me baisser, et instinctivement je l’ai fait. La balle a frôlé ma tête, je me suis baissé encore plus. Et je t’ai vu tirer plusieurs fois sur un merdeux, un gamin d’à peine 18 ans. Il était à terre, et tu t’es arrêtée. Tu l’as regardé dans les yeux, tu l’as retourné sur le ventre et lui a passé les menottes. Il criait de douleur, tu lui avais fracassé la jambe. Tu l’as relevé et forcé à marcher jusqu’à notre voiture, malgré ses supplications et ses pleurs. Je me suis relevé, et j’ai vu de la haine dans tes yeux, de la haine pour ce gamin qui m’avait tiré dessus, et ça m’a fait chaud au cœur.




La première fois que je t’ai sauvé la vie :

C’était une évidence pour moi : il y avait deux personnes, toi et un autre agent, et quand j’ai vu ce mec pointer son arme sur vous, je me suis jeté sur toi, je t’ai plaqué au sol et je t’ai regardée. L’homme est parti en courant, mais je n’ai pas cherché à le suivre. Je t’avais sauvée, tu étais allongée par terre, sur le béton, et ce que j’ai ressenti en voyant dans tes yeux cette reconnaissance est quelque chose d’indescriptible. J’étais heureux et fier, j’avais sauvé ma meilleure amie : toi.

Je veux passer outre notre première dispute et tout le mal qu’on a pu se faire, parce que tu vas partir, et qu’il ne faut garder que le meilleur. Je pense que je t’ai déjà fait pleurer, parfois sans états d’âme, juste parce que nos engueulades m’avaient fait trop de mal et que ma fierté reprenait le dessus. Quant à toi, tu m’as déjà fait pleurer, plusieurs fois, sans doute sans le savoir ! Quand tu as été hospitalisée après cette histoire avec Cruz et Nobel, j’ai pleuré de ne rien pouvoir faire, de ne pas pouvoir t’approcher à cause de ton mari. Je sais qu’il voulait te protéger, mais j’ai cru devenir fou ! Fred a sûrement été un obstacle, une limite à notre amitié. Je ne veux pas le rabaisser dans ton cœur et dans ton esprit, surtout sachant que vous êtes en instance de divorce, mais juste te faire savoir à quel point j’ai souffert de toutes nos séparations. Ce qui nous unit n’a jamais été plus que de l’amitié et de la fraternité, et c’est cela qui a rendu notre histoire si belle. Mais depuis le mois dernier, lorsque tu m’as appris que tu partais pour Paris pendant toute une année, je ne te vois plus de la même façon. J’ai l’impression que toutes les bases de notre amitié s’effondrent, malgré le nombre d’épreuves terribles qu’on a traversées et vaincues la tête haute.
Mais maintenant, avant que tu partes, je voudrais que tu saches ce que je ressens pour toi : Depuis l’annonce de ton départ, je rêve de toi toutes les nuits, je pense à toi toute la journée et quand je suis avec toi, mon bonheur est à son paroxysme. Mes sentiments pour toi sont à présent clairs, et tout ce que j’aimerais te dire, c’est que je t’aime : plus comme un mec aime sa meilleure amie, plus comme un frère aime sa sœur ! Je suis éperdument amoureux de toi ; tu es toute ma vie, Faith, depuis des années déjà, mais je n’en avais pas clairement conscience. Il m’a fallu ce déclic pour m’en rendre compte ! Tu es mon rayon de soleil, et je sais qu’il n’y a aucune chance pour que tu veuilles de moi et que tu restes à New York, mais je devais te le dire, pour avoir un poids de moins sur la conscience. Je vais te laisser avant de te mettre franchement mal à l’aise, mais saches que je t’attendrai et que je ne te fermerai jamais ma porte.
Enormes bisous
Je t’aime
Bosco

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Salut, Boz,

Je reprends tout ce que tu m’as dit dans ta lettre qui, soit dit en passant, m’a énormément touchée.
La première fois que je t’ai vu, j’étais intimidée, c’est vrai, car tu semblait avoir un très fort caractère, mais j’étais déterminée car je voulais prouver à Fred que j’étais capable d’être un bon flic. Tu avais l’air d’être une grande gueule, à dire tout ce que tu pensais et à rigoler avec tout le monde. A vrai dire, tu étais assez intimidant !
La première fois qu’on s’est parlé, je t’ai trouvé plutôt arrogant, avec cette façon de provoquer tout le monde et de regarder les gens de haut. Mais quand j’ai vu que nous allions devoir faire équipe ensemble, j’étais heureuse car je savais que nous étions très différents et que ça serait un point positif dans notre métier. Et puis, il faut bien l’avouer, tu étais le mec idéal, à mes yeux, celui que j’aurais pu aimer et épouser si je n’avais pas été mariée ! Et qu’est-ce que je connaissais à la vie ? Pas grand-chose, en fait ! A 19 ans, j’étais mariée et maman d’une petite fille ! Lorsque je me suis mise avec Fred, à l’âge de 17 ans, je sortais d’un grand chagrin d’amour et j’avais un si grand besoin d’amour que j’aurais pu épouser n’importe qui ! Mais mon mariage a été une réussite ! Ou, s’il ne l’a pas été, il n’a tout de même pas été une erreur. J’ai eu deux beaux enfants et j’ai aimé Fred. Je ne sais pas pourquoi tout a été si compliqué avec lui, entre ses problèmes d’alcool et nos séparations à répétition. Je ne l’aimais plus, je voulais juste que tout reste comme avant, pour Emily & Charly. Maintenant, ils sont grands et je sais qu’ils peuvent comprendre. Et puis tu étais là, et heureusement, car tu étais mon confident (et tu l’es toujours !) ; je suis toujours très heureuse de te retrouver, même avec ton sale caractère, tes moqueries et ta vision de la justice que je ne partage pas toujours. Bien entendu, tout n’a pas toujours été tout rose entre nous deux, sûrement à cause de notre différence de vie : j’étais une femme mariée et mère de deux enfants, toi un véritable bourreau des cœurs,… le bourreau de mon cœur.
Ta lettre m’a beaucoup fait réfléchir et faire le point sur ces neuf années –ces neuf années merveilleuses- passées avec toi. On a vécu tant de choses, tellement d’épreuves, de galères et de fous rires que tirer un trait sur tout ça est impossible. Je ne pars qu’un an mais, comme au début de notre amitié, tu as semé le doute dans mon esprit et dans mon cœur. Mais tu es mon meilleur ami et ça, ça ne changera jamais. Sans toi, je serais sûrement toujours la femme dévouée à son mari et ses enfants, sans avoir de vie extérieure ; tu as déteint sur moi, Boz ! Alors ce que je voudrais répondre à la question que tu ne m’as pas posée, c’est oui. Oui, ce que je ressens pour toi n’est plus uniquement de l’amitié, mais tu sais que je dois partir à Paris ! C’est très important pour ma carrière et j’espère que tu m’attendras. Je dois finir de préparer mes affaires… je pars demain. Attends-moi.
Enormes Baisers
Faith


Désolée, ça fait bien plus de 30 lignes mais bon, je l'avais déjà écrite alors....... Bisous à toi !!!!!!!!!!!!!!!!!

J'écrit en ce moment une fan fiction sur Myst et la civilisation D'ni sous la forme d'un journal, mais elle fait plus de trente ligne (environ deux cahiers de 96 pages!)

Mon chere ami...

Cela fait maintenant deux ans que Galidor a sombré, que le lien entre nos deux mondes à été coupé. Mais nous y avons retrouvé ton livre , j'était persuadé que nous nous reverions un jour! Je ne peut que t'envoyer des messages électromagnétiques pour le moment car le livre a trop soufert de la chaleure, et le lien est presque romput. Mais grâce a notre amplificateur de signal, nous pourons bientôt nous retrouvé! Ton frere Folk va bien, nous l'avons retrouvé dans une ancienne prison D'ni. Il s'est passé tellement de chose! Je te les raconterais en détail...c'est promis.

A bientôt mon ami...

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C'est une lettre présente dans la fan fix

Je suppose que vous n'avez pas compris grand chose... c'est normal, c'est difficile de comprendre quand on n'a pas lu le reste et encore plus lorqu'on ne connait pas le jeu...

Merci akeron !!!! Et les autres, amusez vous, c vraiment bien d'écrire des fanfic !