pk ya ten de gens qui ont dans leur psedo 666 ou punk(ette) ou bo goss du ... ?
serieu zont rien compris
666 :
mais quesqu'il foutent encore la si il veulent la fin du monde c'est mintenantr qu'il faut aller se pendre !
punk(ette) :
c'est bon sa ecoute du offspring ou un peu de anti flag et sa se sent plus pisser :/
bogoss :
ben serieu deja si vous aver pas photo ... no comment
en plus osef de votre jugement personnel , c'est au autres de juger donc au lieu de vous la péter trouver kelk chose d'original :/
ya des gens qui ont rien compris :/ |
48/81 |
13/04/2006 à 21:54 |
Un texte que j'ai écrit il y a quelques temps, mais il me semble qu'il reste néanmoins approprié à la situation si vous comprenez les sous-entendus : les aînés (car ce texte était à l'initial fait à l'intention d'un professeur) représente "osef" qui se préoccupe plus des problèmes des autres que des siens, certes, il est peut être plus mature que nous, il a peut être fini sa crise d'adolescence ou la subit différemment des autres, mais cela n'empêche que le droit à l'expression existe (dans les deux cas), si nous nous affirmons par des symboles sataniques et que cela te déplais, et bien ma fois, fermes tes yeux et ignores-les comme quelqu’un de mature ferait dans cette situation. Voici le texte (attention texte gothique/philosophique, personne désapprouvant ce style s‘abstenir ^^ : Aujourd'hui, le soleil m'a dit bonjour, cela faisait longtemps. Je ne vis plus le jour, mais la nuit. L'astre solaire n'est à présent pour moi plus qu'un signe de soumission, oui, je subis, mais cela serait défaitiste de ma part de nommer un tel fardeau la vie. Je simule une pénible existence, mais existence quand même. Je voie un film défilé et par rares moments illuminer mes pupilles. Je suis la spectatrice de mon propre désintérêt. Finalement, ce sont les attitudes les plus spontanées, candides, immergeant du monde merveilleux de l'enfance qui détournent mon regard de cette pièce où les acteurs pris d'une impressionnante ivresse oublient certains comédiens. Oh ! Détrompez-vous ! Je ne fais pas allusion à moi, je ne suis rejetée que par moi même ! Mais je pense aux visages éteints relisant une copie vierge, vierge de quoi? de mots ? Non ! De sentiments, de fraîcheur, de ce à quoi tous le monde secrètement aspire ! Il semblerait que le bonheur ne soit pas une source inépuisable, dans le sens où des bourreaux nous restreignent. Pourquoi ? Voyons, cherchez, vous le savez bien, ou alors vous n'arrivez pas à le formuler... Je vais vous y aider . Le paradoxe de ce que l'on admire, mais que l'on refuse à l'autre, cela ne vous dit rien ? Bien sûr que si, ou alors, vous allez bientôt faire la connaissance de ce sinistre personnage. La race humaine n'accepte plus le changement, la progression, la nouveauté, de peur d'être dépassée. N'est-ce pas pathétique ? Au lieu de se surpasser afin d'obtenir la première place et la lumière, nous marchons sur la tête de notre voisin , pour que surtout il ne s'élève pas ! Cette évolution de nos aînés, et je répète aînés, nous plonge dans un univers où il n'y a plus de place pour la rêverie, la gaieté, les plaisirs simples comme la fierté de soi-même, celle-ci serait considérée comme de l'orgueil, tout est bon pour nous inscrire dans une dictature infligée aux plus talentueux par les plus lâches et blasés. Non ! Je m'y refuse, si la mort reste un mystère pour moi, le sens de la vie également, et je voudrais rien qu'une fois percer ce mystère tout autant intact que celui des défunts ! Pourquoi ne mettons-nous pas tous fin à nos jours ? Je dois être passée à coté de quelque chose. Là tout de suite je suis en face d'un tableau noir comme l'âme de l'incompréhension, contemplant un couché de soleil rose orange par la fenêtre de la salle de classe, je retrouve enfin mon insouciance, mon plaisir de la simplicité tel l'émerveillement face aux couleurs, quand soudain mon professeur me reprend, qu'est-ce que je disais, et dire que j'y étais presque arrivée ! Ce n'est pas grave, bientôt je serais dans la pénombre, mon élément qui fait bouger tout seul mes doigts sur le clavier comme si possédée, je retranscrivais tous les malheurs du monde .
By Lucile