Harcèlements (récit psychologique)

pas mal pas mal

2. Disparition
J'avais deux téléphones portables ; le lendemain au moment où je m'apprêtais à aller au collège, je me rendis compte que l'u d'eux avait également disparu. Je ne savais pas comment car je les mettais toujours côte à côte. Tout ce dont je me souvenais, c'était que je m'étais réveillé en sursaut d'un cauchemar.
Je savais que quelqu'un l'avait volé ; j'étais sûr que c'était le garçon de la boutique qui me l'avait pris.
A l'heure du déjeuner, alors que je mangeais avec des camarades, je reçus un message sur le GSM qui me restait. Un message assez inquiétant :
"Tant que tu ne feras pas ce que je te demande,
Je te pourrirai l'existence."
Pourtant personne ne m'avait rien demandé...
Sur le petit écran je lus que ce message provenait de... mon portable, de celui qu'on avait volé. De celui qu'il avait volé...
- Tu préviens la Vie Scolaire ou pas?
- Non, pensai-je.
- En es-tu sûr?
- Certain... ce n'est qu'un gars qui s'amuse à me faire peur... mais c'est pas gagné... ou presque...

cro bien !! on veut la suite ^^

Dans un instant, je poste le dernier chapitre...

4. Dénouement final
Deux jours plus tard, je me réveillai en sursaut ; je sortais d'un cauchemar. Pour évacuer cette tension qui pesait sur moi, je décidai de grignoter une tartine de beurre. Une fois dans la cuisine, je préparai les biscottes et le beurre mais je ne trouvais pas le couteau qui me permettait de tartiner. Je le cherchai partout ; mais il n'était nulle part...
Une heure et demie plus tard, je sortis de la maison et attendis dans mon jardin mon chien Box qui avait pour habitude de me sauter dessus, la langue pendante, avant que je ne parte au collège. Mais je ne le vis pas : pour la première fois, bien que je l'appelasse en sifflant, il ne vint pas. Inquiet, je fis le tour du jardin : enfin, je le vis par terre. Il dormait encore. Je m'en approchai pour le caresser : mais arrivé à un mètre de lui, une flaque de sang vif... Box, les yeux ouverts... un couteau planté dans sa tampe : le couteau que j'avais cherché le matin même...
Tout remonta et je vomis tout mon petit-déjeuner, déversant toute ma haine, toute ma colère, toute ma fureur...
J'aperçus dans la flaque de sang le GSM qui m'avait été retiré. Il était allumé : sur l'écran, il était écrit :
"Fais ce que tu veux faire, voilà ce que je te demande..."
En ramassant mon GSM, je remarquai ma main droite que j'avais blessée, l'avant-veille. Toutes ces blessures qui me lacéraient la main droite... Comme celles du garçon dans la boutique de confiseries... Je commençais à faire le lien...
- Alors, on commence à comprendre ? Dit mon subconscient d'une voix malicieuse.
- De quoi tu parles ? Me contentai-je de répondre.
- De tout...
- Je ne comprends pas...
- Eh bien, je vais te rafraîchir les idées... Le garçon dans la boutique... Le message envoyé de ton GSM volé... Le meurtre de Box... Qui a fait ça?
- C'était l'autre gars qui m'a provoqué!...
- Tu en es sûr?...
- Pourquoi tu me demandes ça?
- Ecoute-moi bien : parce que tu es fou, il vaudrait mieux que tu demandes à tes parents de t'enfermer dans une asile psychiatrique... avant que tu ne tues quelqu'un d'autre...
- Mais... mais... je n'ai... je n'ai tué personne!...
- Ecoute-moi bien : il n'y a jamais eu de garçon dans la boutique de confiseries, tu l'as inventé, ce type...
- Non, tais-toi, tu racontes des bêtises...
- Tu l'as tout simplement inventé parce que le garçon que tu as vu, c'était toi... C'était ton reflet...
- Arrête...Je ne te crois pas...
- Regarde ta main droite... regarde sa main gauche : elles sont blessées toutes les deux... C'est pareil pour ton GSM : personne ne l'a volé, tu te l'es fait voler toi-même sans t'en rendre compte et tu t'es écrit ce message sans t'en rendre compte... C'est pour ça que tu t'étais réveillé cette nuit-là : tu venais de te cacher ton portable... Et le pauvre Box : tu t'es réveillé aussi en sursaut parce que tu venais de le tuer...
- Ferme-la!!! Je ne te crois pas!!!... hurlai-je.
- Le couteau avait disparu : en fait tu t'en es servi sans t'en rendre compte pour tuer ton pauvre chien...
- Mais pourquoi ? Pleurai-je.
- Quelle est la raison de ma venue ? Dit une voix douce.
Cette fois, il y avait vraiment quelqu'un : c'était le garçon qui me harcelait, tel que je l'avais vu dans la boutique...
- Il faut que je fasse ce que je veux, répondis-je. Tout ce que je veux...
- Exact... Et qui principalement t'empêche de faire tout ce que tu veux?
- ...Mes parents...
- Alors qu'est-ce qui te reste à faire ?...
Je me retrouvai avec le couteau ensanglanté dans mes mains... Je savais quoi faire à présent...
- J'arrive... dis-je.
On ne retrouva plus jamais mes parents... ou plutôt on ne retrouva plus jamais leur corps...

BDboy, tu sais quoi? T'as parfaitement raison!...
Et bien, ma prof de français m'a dit la même chose. Que je pouvais raccourcir les phrases et donc faciliter le lecteur dans sa lecture!

Bon soite je n'ai lu que le premier chapitre , mais je te conseille de faire comme moi ( j'ai 17 ans ) ecris des livres meme si c'est loin d'etre facile, je pense que tu as le potentiel .

Bonne chance.

Merci sonick!
Justement, depuis l'âge de 12 ans, j'essaie d'écrire des romans, mais parvenu à la moitié, je m'arrête, je le relis et je le trouve nul à chier!
C'est toujours comme ça!
Même là j'écris un nouveau livre, et j'espèrre que ce sera le bon, lol!!
Merci encore sonick, ce que tu m'as dit me motive!...

Lol, c'est gentil!!

cptivant et tout !!! vrmt bien !! vivmeent kil y en ai dotre !! lol