Voila c'est une histoire que j'ai lu sur un site de témoignage ya pa longtps, j'ai trouvé sa assé hummm chokan voir horible oué jcroi ke c le mot donc jvou laisse lire (c un peu long mé sa en vo le cou) :
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Bonjour ; je m’appelle Guillaume et j’ai 17 ans (je sais, ce n’est pas très original, mais pas fait exprès). Je suis homosexuel, même si j’ai toujours du mal à l’avouer. Je ne sais pas pourquoi je livre mon témoignage ; sûrement parce que j’ai besoin de parler, d’évacuer un peu ce qui me hante nuit et jour, ce qui me rend triste et me fait pleurer la nuit, ce qui me déprime et me dégoûte, ce qui fait que maintenant je n’arrive plus à me regarder dans la glace et que je me trouve méprisable, et ce qui fait que j’ai essayé de me suicider et que je n’en ai encore parlé à personne.
Comme je l’ai déjà dit, j’ai 17 ans et je n’ai jamais rencontré d’homosexuel de ma vie. Il y a trois ans maintenant, je suis tombé amoureux d’un garçon (appelons-le H.) ; c’était en Troisième, et si j’avais conscience que je n’étais attiré que par les garçons, j’étais loin de me représenter en tant qu’homosexuel : non pas que j’avais des doutes, mais tout simplement que je n’y pensais pas. Je savais que je préférais les garçons, mais je ne voyais pas plus loin ; et avec le recul, ce n’était pas plus mal...
Bref, je suis tombé fou amoureux de ce garçon, H. , dont je me suis fait un ami ; jamais alors je n’aurais osé aller plus loin. Malheureusement, à la fin de la Troisième, il est parti dans un autre lycée que moi ; j’ai cependant réussi à garder contact et on se voyait de temps en temps pendant les vacances. En deux ans, je n’ai jamais réussi à l’oublier ; car même si je ne le voyais pratiquement jamais, je n’arrêtais pas de penser à lui. Et puis, en Terminale, surprise, il a changé de lycée, est venu dans le mien et même jusque dans ma classe. Au début, c’était comme si le plus beau de mes rêves se réalisait : il était dans ma classe, il se mettait à côté de moi pour tous les cours, et enfin on devenait les meilleurs amis du monde, même si moi, j’espérais plus...
J’ai nagé dans le bonheur total jusqu’au mois de Décembre ; mais comme chaque jour j’étais encore plus fou de lui que la veille, ça devenait de plus en plus lourd à porter ; je n’arrivais pas à me limiter à de l’amitié, je l’aimais et je voulais le lui dire...
Le soir des vacances de Noël, j’ai craqué : je lui ai tout avoué sur MSN, parce que je n’aurais jamais osé lui dire en face.
Il l’a très très très mal pris.
Au début il a cru que c’était une blague et il ne voulait pas me croire.
Quand il a vu que je m’entêtais, il a commencé à comprendre et il s’est mis à m’insulter. Il m’a dit que je le dégoûtais, que j’étais « gore », « dégueulasse », « contre-nature », et surtout qu’il « avait les boules », et puis il s’est déconnecté.
Comme vous pouvez l’imaginer, je n’ai pas dormi de la nuit, je me sentais mal, j’ai pleuré pendant des heures, j’avais envie de vomir, envie de mourir, envie de me suicider.
Autant toutes les remarques homophobes, même de vos proches, peuvent vous glisser dessus et vous être indifférentes, autant quand elles viennent de celui pour qui vous auriez tout donné, jusqu’à votre âme, jusqu’à votre vie, alors elles vous arrachent le cœur.
Je n’ai rien pu avaler le lendemain ; en début d’après-midi, il s’est reconnecté, et là ça a été encore plus dur. Choqué par ce que je lui avais dit, H. l’avait répété à un copain que nous avions en commun ; ils s’étaient connectés ensemble, et faisaient une sorte de psychanalyse dans mon dos.
Moi je ne voulais pas que ça se sache ; j’essayais de parler à H. en privé, mais lui se complaisait à rapporter tout ce que je disais à son copain, avant de me forcer à parler devant lui. J’ai eu le droit à toutes sortes d’insultes, du classique « pédé » (que je continue à voir comme une insulte) jusqu’aux phrases du genre « eh, faut que t’ailles dans les vestiaires des filles en sport », bref, ce genre de plaisanteries ; moi je suppliais vainement H. de ne pas répéter ce que je lui avais dit, et lui, au contraire, disait qu’ « il fallait que ça se sache » et semblait prêt à le crier au monde entier.
J’étais complètement anéanti ; je n’aurais jamais cru qu’un ami aussi proche puisse être salaud à ce point ; et quand la personne que vous aimez le plus au monde vous dit que vous lui donnez envie de vomir, eh bien ça vous coupe l’envie de vivre. _Sur la fin H. ne voulait même plus me parler.
Je me sentais plus mal que jamais ; pour moi, la douleur morale que j’éprouvais était pire que toute torture physique.
J’ai avalé dix boîtes de médicaments au moins ; j’ai avalé pilule sur pilule jusqu’à tirer au cœur et j’ai continué encore et encore, plus d’une centaine en tout, de n’importe quoi, des médicaments pris au hasard, je voulais mourir, je voulais crever.
Et je suis parti à vélo de chez moi, j’espérais sûrement que les médicaments m’assommeraient assez pour que je me paye un camion en pleine face, et je continue de penser, parfois, que ça n’aurait pas été plus mal. Alors évidemment, j’ai pris au maximum des nationales avec beaucoup de circulation, mais à part quelques nausées et des étourdissements, les médicaments n’avaient aucun effet.
Consciemment ou non, j’ai fini par m’arrêter à la médiathèque, où j’ai retrouvé un de mes amis, à qui j’ai tout confié, et qui, j’ai cru, ne l’a pas mal pris et m’a remonté le moral.
Rentré chez moi, j’ai été malade pendant trois jours à cause de toutes ces pilules que j’avais ingurgitées ; comme je ne mangeais toujours rien, ma mère s’inquiétait, et la convaincre de ne pas appeler le médecin n’a pas été chose facile, mais l’idée qu’on puisse me prescrire d’autres comprimés me donnait encore plus envie de vomir.
J’ai passé les vacances de Noël dans la dépression la plus totale ; j’ai dû paraître désagréable à bien des gens, mais qu’y a-t-il de plus dur que d’afficher un sourire et de parler de la pluie et du beau temps, quant toute votre âme et tout votre corps aspirent au désespoir le plus profond ? Pourquoi vivre, si ce devait être sans H. ? Pourquoi vivre, si je n’inspirais plus que haine et dégoût à celui qui était pour moi toute ma vie ?
Bref, sinistres vacances, qui présageaient une rentrée encore pire. H. et moi devions nous voir pendant les vacances ; naturellement, tout avait été annulé à l’annonce de mon homosexualité ; il parlait même d’arrêter les TPE (travaux personnels encadrés) que nous faisions en commun. Mais c’est à la rentrée que j’ai réalisé avoir perdu à tout jamais son amitié : alors qu’avant, nous passions toutes les journées ensemble, maintenant il parlait à tout le monde sauf à moi. En cours, il se prenait d’un subit intérêt pour le livre du voisin, fût-il mal placé à l’autre bout de la table, alors que celui que je lui présentais était sous ses yeux.
Il n’y a qu’aux repas qu’il ne pouvait m’éviter ; mais même alors il trouvait le moyen pour qu’à tout prix nous ne soyons pas seul à seul ; il évitait et refusait le dialogue. Que dire du subit intérêt qu’il prit pour les filles, au point que pas une ne pouvait passer devant lui sans qu’il donne son opinion sur elle, sinon que ça me faisait souffrir encore plus, car avant il n’en parlait pratiquement jamais...
J’ai voulu lui parler en tête-à-tête : tout ce qu’il me dit alors, c’est que j’étais vraiment dégueulasse, qu’il fallait que je me trouve une copine, et que je me trompais, qu’il n’avait rien changé dans son comportement. Ce qu’il disait surtout, c’est qu’il fallait que je change, que je devienne hétéro, que j’arrête de le kiffer : j’ai compris plus tard qu’il craignait pour sa réputation. Il voulait que les rumeurs (dont il était la cause) cessent de circuler, que surtout on ne puisse pas le prendre pour un pd. Il voulait en quelque sorte que je fasse un « coming-in » auprès des deux ou trois personne qui savaient que j’étais homosexuel.
Je ne l’ai pas fait. J’ai voulu lui expliquer que devenir hétéro était aussi difficile pour moi que de demander à un Noir de devenir blanc ; il m’a ri au nez.
Alors il a commencé à faire des allusions pernicieuses à mon homosexualité : dès que l’occasion se présentait, il se plaisait à s’écrier à n’importe qui « Eh, dégage, je suis pas pd moi ! », devant moi de préférence, et bien fort pour que j’entende. Dans mon dos, il faisait des remarques que les gens ne comprenaient pas, disait par exemple que je pouvais toujours faire antiquaire, et riait de ses plaisanteries.
Et moi, malgré cela, et même si je faisais tout pour arrêter, vraiment tout, je l’aimais encore. Et j’en souffrais d’autant plus.
Il y a une semaine, je me suis décidé à ne plus lui parler et à l’éviter jusqu’à ce qu’il vienne mettre les choses au clair ; je l’évitais les midis, dût-il se retrouver tout seul pour manger : moi, je ne mangeais pas du tout. En cours, je me plaçais ostensiblement à l’autre bout de la classe, alors que nous étions d’habitude côte à côte. J’attendais sa réaction. J’espérais une réaction : j’avais vraiment besoin de lui parler. Il n’en a eu aucune. Il m’ignorait superbement.
J’étais de plus en plus tout seul ; en fin de semaine, j’ai appris qu’un de mes prétendus « amis », en qui j’avais eu confiance, avait répété à quasiment toute la classe que j’étais « pd », et sans épargner les détails. Le vendredi, la veille des vacances, pas une personne de ma classe ne m’a dit bonjour. J’ai eu droit à toutes sortes de réflexions dans mon dos : exemple au hasard, en cours de SVT, le professeur demande, en rapport avec la lignée humaine, quel fut après l’australopithèque le premier représentant du genre « homo » : et là j’entends crier derrière moi mon nom : c’était tellement facile, toute la classe était écroulée de rires. Dans la cour, des types que je connaissais à peine, me demandaient d’un air menaçant ce que j’avais à les regarder, alors que j’avais à peine levé le regard sur eux.
Bref, j’aurais passé la journée entièrement seul si une amie -la seule qui me reste- ne m’avait soutenu du mieux qu’elle pouvait le midi.
Ce n’est que le soir, sur MSN, que H. s’est enfin décidé à me parler. Sur MSN, la moitié des pseudos de mes contacts étaient faits pour se foutre de ma gueule : du genre « Paraît que c’est cho entre PD et H. !!! » « A quand le coming out devant toute la classe ? I want to die I fly with the suicide », « Eh, Steevy, c quand la gaypride ? mdr », etc.
Et là, la première chose que H. m’a dite, c’est que j’étais un « fils de pute ». On a parlé pendant deux heures ; à la fin, désemparé, je suis parti. Je ne lui ai jamais demandé qu’une chose : qu’on reste amis.J’ai argumenté pendant des heures, j’ai tout essayé, je suis passé par la colère, par les sentiments, je lui ai rappelé comment, avant, nous étions les meilleurs amis du monde. Mais que répondre à la haine, quand elle est injustifiée ? Que répondre à l’homophobie ? Il n’a pas arrêté de m’insulter du début jusqu’à la fin (il avait commencé assez doucement avec son « fils de pute ») ; j’ai appris plus tard qu’en même temps il copiait-collait notre conversation à un « copain » et se foutait de ma gueule dans mon dos. Puis il a tout enregistré et fait circuler la conversation en entier à ses contacts.
Voilà, j’en suis là : j’ai tout perdu, tous mes amis, toute ma réputation, je n’ai gagné que le mépris de mes camarades de classe, et la haine pure et simple d’un garçon que j’ai eu le tort d’aimer un peu plus qu’il ne faudrait...
Il y a une heure à peine, j’ai appris, sur MSN, que H. et mes deux meilleurs amis ont été au restaurant et au cinéma ensemble, alors qu’avant nous ne faisions rien sans être tous les quatre réunis. Maintenant, je n’existe plus. C’est un de ces deux « amis », qui pour mieux me provoquer l’a écrit en lieu et place de son pseudo sur MSN : « c’était trop bien la pizzeria et le ciné avec H. !!! » Pure méchanceté. Je ne lui ai jamais rien fait. Il voulait me faire mal, il a réussi.
C’est le point où j’en suis. Il y a quatre jours, j’ai voulu me taillader les veines avec des lames de rasoir. Manque de volonté, de détermination, je n’ai réussi qu’à faire rosir l’eau du bain et à barbouiller une serviette toute propre ; mais j’ai compris comment il fallait faire. Je ne sais pas si je le referai ; je ne sais plus si j’ai vraiment envie de vivre.
J’ai malgré tout pris un peu de recul avec H., même si je continue de l’aimer ; c’est ce recul qui me permet d’en parler, avec la froideur et l’indifférence de la douleur. Je ne souhaite à personne ce qui m’est arrivé et ce qui continue de m’arriver ; sans doute certains ont eu à subir pire : en témoigne le taux de suicide élevé chez les jeunes homosexuels. Je ne sais pas si, bientôt, je ne vais pas venir grossir ce taux, un infime point de plus dans les statistiques, vite oublié et rayé de toutes les mémoires...
Que ceci constitue alors un adieu, la marque de mon passage... Je m’excuse auprès de tout le monde, auprès de H., à qui je n’ai pas su parler, auprès de mes amis, s’ils veulent encore bien l’être... J’espère que vous saurez mieux profiter de la vie que moi, et vous souhaite tout le bonheur que j’ai eu le tort de vouloir, que j’ai eu le tort de demander, et que je n’aurai jamais...
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Voilà. Vraiment horrible cette histoire...
Histoire d'un jeune ado... |
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26/10/2005 à 13:08 |
Pf rien qu'en voyant le titre je savais déjà que c'était un texte pour nous appitoyer sur le sort d'un ado homosexuel qui s'ennuyait, alors il a écrit une petite histoire, et ont voit tout les annimaux qui foutent plein de
partout... Bref c'est génial, je me demandais simplement si vous en aviez pas marre de tout le temps faire les opprimés ? Et si on mettait un truc pareil sauf qu'a la place de l'homo on mettait un hetero qui s'est fait violé par 3 homos ? C'est tout aussi probable.
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26/10/2005 à 13:50 |
Je c pas comment des gens peuvent etre mechant a ce point... cette histoir ma tro choker... ces gens étaient ses meilleurs amis... sur ki compter... si on peu pas dire a son meilleur ami ce kon rescent pour lui... j espere ke cette personne ne fera pas de connerie... sa serai dommage.... Personne ne merite sa... il voulait faire part de ses sentiment... il s'est retrouver seul...
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26/10/2005 à 14:07 |
moi aussi je trouve ca dégue, mais je pense que au moins H aurait du lui dire, je suis pas PD, on reste ami point final.
Mais bon on vit tous des histoires similaires, et faut s'entraider je pense.....
Personellement j'ai aussi des copains homophobes et a mon avis je ne leur dirai jamais ce qu'il en est... aprés avoir entendu ca....
snif...
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26/10/2005 à 20:33 |
...Y'a deux truc...
Soit il est gay et il l'aime aussi..mais il veux pas se l'avouer..donc pour se protéger il fait l'homophobe..comme une bonne parti des homophobe à mon avis..
Soit..c'est un gros con écoeurant..c'est un salop...ça m'énèrve..personne ne dervrai à avoir à subir ça!!...
J'opte plus pour le deuxième choix...mais c'est pas le seul gros con dans l'histoir...tout son lycée devrai se flinguer!
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26/10/2005 à 20:53 |
Narcisse> C'est peut-être parce que de tels faits se produisent souvent qu'il y a autant de témoignage d'homos.
Quant à moi, si un hétéro venait à subir la même chose de la part d'homos, il aurait droit à toute ma compassion. Mais je crains que coincé dans le carcan de tes petites certitudes apprises, tu n'aies retenu de la compassion que le début (en oubliant la faute d'orthographe).
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26/10/2005 à 21:15 |
REVOLUTION!!!!!!!
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26/10/2005 à 22:01 |
J'en ai les larmes aux yeux...Putain...J'ai trop la haine contre ces putain d'homophobes!! Qu'est-ce que ça peu leur foutre qu'on soit homo?
Franchement, H. si je l'avais devant moi je sais pas ce que je lui ferais mais il serait mal baré! Je comprends pas que des gens puissent être aussi méchant, haineux et sans pitié! Je suis dégouté de la râce humaine pour le restant de ma vie...
Franchement, je suis de tout coeur (comme vous tous je pense) avec le gars qui à écrit ce texte. Il à fait fait passer énormément de sentiments, de sensibilité. C'est vrai que je le comprends, après tout ce qu'il a vécu c'est dur de reprendre goût à la vie, ça c'est sûr, mais c'est en s'assumant et en gardant la tête haute qu'il arrivera à aténué toute ces choses. J'éspère qu'il ne se suicidera pas, car il m'a tout l'air d'être un garçon bien et j'éspère qu'il trouvera son bonheur car je pense qu'il le mérite.
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27/10/2005 à 14:57 |
TERRIBLE ce témoignage...
et ça doit faire réfléchir ceux qui répondent parfois un peu trop rapidement et avec moquerie aux topic du style : "je suis amoureux de mon meilleur copain, comment lui dire ?"
Chaque fois que des personnes de SE nous infroment de leur coming out et que ça se passe super bien, je me réjouis : c'est comme une petite victoire... mais la route semble encore longue
Courage et solidarité !
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27/10/2005 à 15:18 |
Moi, j'ai trouvé sa bouleversant, émouvant bref....bon c vrai ke si il met osn suicide a exécution, H sera surement ravi, mais comment peut-on etre auusi dégeulasse (je parle de H) !!!!!Pfffff.......
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27/10/2005 à 16:11 |
arnaud89=> Ce genre de texte n'est qu'illusion, fait pour interpeller les gens de façon à aller de l'avant et faire accepté quelque chose à travers le registre pathétique, tout comme le faisait Victor Hugo pour la peine de mort. Par conséquent dire que c'est déguelasse et tout ça sert à rien puisque c'est le but et il est largement atteint grace au surplus de mots choquants, qui font réagir le lecteur.
Cependant, ont a compris, des histoires dans ce genre là t'en trouve partout, et déjà pas mal sur ce site, c'est pas la peine d'en mettre encore. Je ne blâme pas le texte, simplment les gens qui viennent dire "Hoo c'est trop tristes, ces enculés d'homophobe" qui ne relevent vraiment pas le niveau, à la rigueure ils s'abaissent à etre comme les homophobes.
Et puis pour en revenir au texte, il avait cas mieux choisir ses amis, lorsque dans mon college j'ais dis à tout mes amis que j'avais une attirance pour les mecs, ils l'ont tous bien pris, c'est des amis, ce dont le gars parle c'est des copains voir connaissances.
C'est peut-etre aussi un appel à mieux réfléchir et à mieux connaitre vos amis au lieu de jouer au poker. A force de répéter toujours les memes histoires sur le même sujet ça en devient vraiment lassant...
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27/10/2005 à 18:30 |
C'est bien horrible comme histoire mias sa arrive a pleins de gay et sa je comprends pas pourkoi il y a des gens ki n'accepte pas les gay.C'est dégelas
KISSS
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27/10/2005 à 23:27 |
C pas très joyeux cette histoire..... Vive la cruauté humaine... Sa fé des ravages............................................................................ ..........................................................................................................
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53/54 |
28/10/2005 à 00:29 |
Narcisse >> excuse moi mais l'homophobie des gens c'est pas la chose ki se remarqe le plus c'est d'ailleurs le sujet que on préfère éviter justemen en raison des éventuelles réactions négatives des gens.
On peut apprécier énormément, etre vrémen ami avec elle et pour autant etre en totalemen désarc sur certaine chose surtout, le homophobie c'est racisme pure et dur poru ma part et ceci implik ke du jour o lendemain une personne que vous croyez etre votre ami peu se retourner contre vous.
Alors je pense que ton truc là pas vrai ami marchin ca n'a aucun sens, tout le monde n'a po la chance d'avoir qui le resteron en dépit de ce ke vous etes, ce n'est po mon cas non plu, mais ne fais po des généralités avec ton vevu.
Histoire d'un jeune ado... |
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28/10/2005 à 01:06 |
NARCISSE:comment tu peux savoir s'il t'aimeront encore quand il apprendrons que t'es gay alors que tu l'a pas encore di;tu le dis et si ils acceptent ce sont de vrais amis pas avant.Moi par exemple,et ben j'ai dit ce que je suis à 4 personnes,3 personnes l'ont accepté et 1 autre pas vraiment,au début quand je lui ai di elle voulait plus me parler,ça l'avait "choqué" et maintenant elle m'insulte alors je lui parle plus et voilà c'est fini,et je rappelle qu'avant c'étais une super amie,mais bon les gens...
aussi cette histoire n'est peut etre pas vrai mais elle est basée sur des fait réel et ça change rien que la victime soit homo ou hétéro.