Et j'y pense. J'y repense comme une douleur incurable. La plus grosse douleur de ta vie, tu t'en rappelles ? Je vis avec ce poids, cette masse depuis des jours, des heures, des minutes a lutter contre cette torture. C'est comme si t'avais ce truc dans ton cœur, une sorte d'épée fatale que seul eux peuvent retirer, que seul toi peut subir. La sentir percer ton cœur, et la fluidité de la lame glisser contre les parois transpercées. Elle effleure et écorche tes poumons. Ton souffle s'essouffle. Tu tombes, littéralement par terre, tu te tiens au pied de la table autour de laquelle la plat de tomate est tombé dans ta chute libre. Tu commenceras a paniquer. Et tu la sens, cette saloperie, cette substance parcourir tes veines. Cette pression intérieure. Cette implosion qui n'attend que le moindre petit choc, la moindre petite persécution morale et sentimentale. Et tu expulseras ton affliction dans ces larmes bouillantes coulant le long de ta joue irritée par les années précédentes. Cette goutte d'eau contaminée, salée, goût amertume. Tes larmes acides. C'est bon hein ? Tu les rejettes pour mieux les re-bouffer. Tu souffres pour mieux re souffrir. Et tu tombes dans ce cercle vicieux se refermant sur toi. Et tu plonges dans le gouffre s'approchant de plus en plus vers toi. Toxic. T'as mal. Partout, et tu restes affalée par terre espérant trouver la sortie, espérant exterminer tout ce venin de ton corps. Espoir. Tu l'attends encore. Tu l'espères encore. T'y penses, t'y repenses comme si t'y avais jamais pensé, pour mieux te ronger, pour que ta culpabilité infondée soit omniprésente. Faux regrets. Alors, quand t'as fini de cracher toute ton amertume, usée par la torture et l'effort inutile, tu t'effondres complètement par terre. T’as beau crier personne t’entend, personne ne veux t’entendre. t’as beau pleurer, tu videras jamais les larmes de ton corps. T’as beau vouloir taper, exprimer ta douleur celle ci se re-propulsera sur tes os battant piteusement le sol. T’as beau appeler celui qui peut refermer la blessure et t’en isolé, il répondra pas. Il te laissera moisir et pourrir dans ta case. T’as beau faire semblant d’oublier, c’est toujours la. Tu souffres. Depuis toujours. Tu cherches, tu trouves pas ce quelqu’un qui te comprendra. Tu pourris de l’intérieur.
Faites gaffe a vous. Les un des autres.
[Texte] Douleurs incurrable. (brouillon) |
1/8 |
18/07/2008 à 15:28 |
J'aime pas. J'ai pas du tout accroché. Pour tout dire, je n'ai même pas lu jusqu'à la fin.
Champagne!
[Texte] Douleurs incurrable. (brouillon) |
2/8 |
18/07/2008 à 15:42 |
Règle numéro un : Rien ne sert de donner son avis si la lecture du texte n'a pas été faite jusqu'au bout.
En gros, même si vous n'appréciez pas à mi-parcours, il faut tout de même terminer sa lecture, c'est la moindre des choses avant de dire ce qu'on pense de cela.
Sinon, pour en revenir au texte. Il y a quelques fautes à corriger.
C'est pas mal dans le genre. (même si le tutoiement fait parti du genre de style qui m'horripile).
[Texte] Douleurs incurrable. (brouillon) |
3/8 |
18/07/2008 à 15:55 |
Parcequ'il y a des règles pour donner son avis maintenant?
Même si c'était le cas, je fais un peu ce que je veux...
[Texte] Douleurs incurrable. (brouillon) |
4/8 |
18/07/2008 à 16:33 |
C'est pas une règle mais une question de crédibilité.
Et oui, tu fais bien ce que tu veux, je n'ai pas dit le contraire. (toujours sur la défensive les gens, c'est fou).
[Texte] Douleurs incurrable. (brouillon) |
5/8 |
18/07/2008 à 16:38 |
J'ai tout lu, j'ai rien comprit. Donc je ne vais pas dire que j'aime pas vu que là, j'ai vraiment rien capté.
[Texte] Douleurs incurrable. (brouillon) |
6/8 |
18/07/2008 à 22:31 |
HERZ TOT -> J'aime mettre les gens dans un brouillard
enfin bon, mon texte n'a pas d'histoire, tu interprètes comme tu veux =D. Merci d'avoir lu
Champagne -> merci quand même.
Frosties -> Mon premier texte que tu trouves
pas mal. =D Et pourtant j'aurais pensé que celui-ci t'aurais paru encore moins bon que les autres. Merci pour ton avis, ça fait plaisir =), venant de toi.
merciii a voous
d'autres ?
[Texte] Douleurs incurrable. (brouillon) |
7/8 |
19/07/2008 à 13:09 |
Je le trouve quelconque, enfin, ce n'est pas péjoratif, je veux dire par là que c'est impersonnel et ça se sent.
Mais la forme est bien.
[Texte] Douleurs incurrable. (brouillon) |
8/8 |
19/07/2008 à 16:13 |
Voui, c'est très impersonnel =) belle déduction^^
merci.