Bonjour chers SEiens
Je vous propose de faire un topic consacré aux révisions du bac... .
Chacun inscrit une date importante avec l'événement qui correspond.
Ou une définition d'une notion de philo
Ou n'importe quoi qui pourrait être utile au bac...
A la fin ca devrait faire une énorme fiche de révisions, et je pense que ca peut vraiment être utile .
A vos claviers
Le BAC !! Jouez le jeu ! |
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05/06/2010 à 11:56 |
9 novembre 1989: Chute du mur de Berlin.
Le BAC !! Jouez le jeu ! |
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05/06/2010 à 12:00 |
J'mettrais bien toutes mes fiches de Pascal, Beckett, Homère & Laclos, mais ça risquerait d'être long tellement elles sont complètes...
Dommage pour vous.
Le BAC !! Jouez le jeu ! |
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05/06/2010 à 12:01 |
tu peux pas faire... une synthèse ?
Le BAC !! Jouez le jeu ! |
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05/06/2010 à 12:06 |
bon, je vais être sympa pour les terminales ES, je voue donne une partie de mes anciennes fiches de révisions...
A
Actions collectives = - agir ensemble : action en commun, concertée et coordonnée.
- agir pour une cause : revendications et/ou défense d’une « cause ».
Amortissement = rapport entre la valeur de l’investissement et le nombre d’année d’utilisation. => Usure du capital.
Accélérateur = une augmentation de la demande entraîne une augmentation plus que proportionnelle de l’investissement.
Autofinancement = part de l’investissement que l’entreprise va financer par ses propres ressources. Il va dépendre du niveau de l’EBE.
Anomie = situation de dérèglement social qui se caractérise par l’absence ou l’insuffisance de normes sociales qui permettent de réguler l’activité sociale.
Assurance = c’est seul ceux qui y on t contribué qui s’ouvre des droits.
Assistance = solidarité entre ceux qui ont les moyens de contribué à la protection sociale et ceux qui en ont besoin.
B
Bien de production = C’est ce qui reste une fois que la production est terminée (réutilisable). => Capital fixe.
C
Changement social = transformation d’une partie ou de l’ensemble du système social. Transformations au niveau de :
- la stratification sociale (mobilité sociale, changement des PCS …).
- Modèles culturels (ordinateur, télévision, vacance …).
- Mode d’organisation (35h, congés payés…).
Croissance économique = c’est une augmentation soutenue pendant une ou plusieurs longues périodes d’un indicateur de dimension, le produit global net en terme réel. En général on utilise la variation annuelle de PIB.
Conflits du travail = conflits qui portent essentiellement sur la redistribution des richesses, la lutte contre le partage de la valeur ajoutée, la reconnaissance de l’intérêt d’une profession, l’amélioration des conditions de travail et de rémunération, la conquête du pouvoir d’état …
Capital humain = ensemble des qualifications et des compétences qu’un individu peut valoriser sur le marché du travail.
Coefficient multiplicateur = VA/VD
Culture = c’est l’ensemble et des normes caractéristiques d’une société.
Croissance potentielle = croissance que le pays devrait avoir.
Croissance extensive = augmentation de la quantité des facteurs de production.
Croissance intensive = augmentation de la productivité (augmentation du gain de productivité).
Capital physique = achat de biens et services.
Capital technologique = ensemble des connaissances applicables à la production.
Compétitivité hors-prix = gain de part de marché du fait d’une meilleur qualité des produits (= compétitivité de qualité).
Croissance exogène = croissance qui résulte de l’accumulation du facteur travail et capital et du progrès technique, mais sa contribution n’est pas expliquée.
Croissance endogène = en fonction des choix des différents agents économiques qui contribuent à la croissance. Elle est auto-entretenue et dépend de l’accumulation des savoirs passés qui proviennent du système économique et social. Elle explique le progrès technique, il résulte de la croissance passée.
Consommation intermédiaire = ensemble des biens et services qui sont détruis au cours du processus de production. =>Capital circulant.
Croissance interne = interne à l’entreprise. Lorsque l’entreprise va mettre en place des investissements productifs en particulier matériels et immatériels. Lorsqu’elle investit, elle augmente son stock de capital, son objectif étant d’augmenter sa production => croissance.
Croissance externe = elle rachète une autre entreprise (fusion, acquisition) ou elle prend des participations (actions) dans le capital d’une autre.
Combinaison productive = proportion de capital et de travail nécessaire à la production. Il peut y avoir une complémentarité ou une substituabilité.
- complémentarité = les facteurs de productions sont complémentaires c'est-à-dire qu’il existe une combinaison productive pour chaque niveau de production.
- Substituable = il existe plusieurs combinaisons productives pour un même niveau de production. (ex : remplacement du capital par du travail et vice versa …).
Coût du travail = salaire + cotisations sociales.
Coût du capital = achat + amortissement (entretien).
Croissance = croissance auto-entretenue qui dépend de l’accumulation des savoirs passés => Elle provient des comportements des agents économiques et sociaux.
Contrat de travail = convention par laquelle un individu va mettre sa force de travail à la disposition d’un employeur sous la subordination de laquelle il se place moyennant un salaire.
Contrat à durée indéterminée (CDI) = la durée du travail est indéterminée sauf faillite ou faute grave…=>Contrat non précaire.
Compétences = ensemble des savoirs et savoirs être des employés. Ex : autonomie, connaissances requises…
Contrats implicites = il y a un accord tacite employeur/employé. L’ouvrier va recevoir toujours la même chose mais on va le payer moins pour avoir une prime de risque sur la stabilité du salaire.
Chômage (BIT) = il faut être sans emploi et en rechercher un mais également être disponible.
Chômage keynésien = les entreprises ne vont pas produire en cas d’excès d’offre sur les deux marchés car la demande effective est insuffisante.
Chômage classique = il va se traduire par une économie soumise à la contrainte de rentabilité. Il y a des couts trop importants qui empêchent les entreprises d’être compétitives (les salaires augmentent plus vite que la productivité).
Communauté = c’est un groupe social qui va être caractérisé par un très fort sentiment d’appartenance, cela se traduit par des liens affectifs durables (tradition, filiation, hérédité …).
Conscience collective = ensemble des croyances et des sentiments communs à la moyenne des membres d’une société.
Conflits sociaux = expression antagonismes ouverts entre les individus ou groupes pour la recherche, la possession et la gestion des biens matériels ou symboliques.
Contrôle social = il va permettre au groupe de réguler les comportements pour qu’ils soient conformes aux normes et valeurs.
D
Développement = c’est la combinaison des changements sociaux qui la rende apte à faire croitre durablement et cumulativement son produit réel global.
Désinflation = augmentation moins rapide des prix.
Déflation = diminution des prix.
Développement durable = faculté des hommes à répondre aux besoins présents sans compromettre la possibilité pour les générations futures de répondre à satisfaire leurs besoins.
Division du travail = division des tâches en tâches simples et répétitives.
Diffusion = commercialisation de l’innovation par la société.
Détour de production = renoncer à une production immédiate d’un bien de consommation pour fabriquer un bien de production qui doit permettre de créer plus de biens de consommation. C’est une dépense d’aujourd’hui dans le but d’augmenter la production de demain.
Demande (globale) = consommation des ménages + investissements + exportations.
Demande anticipée = c’est un ensemble de prévisions fait par les entreprises sur le niveau futur de la demande (c'est-à-dire sur le niveau futur des investissements). Demande anticipée = demande effective.
Demande effective = demande anticipée des biens de consommation et de production.
Division sociale du travail = répartition des rôles au sein de la société.
Division technique du travail = répartition des tâches au sein de l’entreprise.
Division horizontale = on divise les tâches complexes en tâches simples, répétitives et courtes.
Division verticale = séparation entre l’exécution des tâches et la conception des tâches réalisées par les ingénieurs.
Demande de travail = offre d’emploi.
Déviance = tout comportement qui transgresse les normes, les règles de la société est appelé comportement déviant, et ce comportement va faire l’objet d’une sanction négative.
Délinquance = transgression des normes juridiques qui donne lieu à une sanction juridique.
Dépenses sociales réelles = dépenses consacrées à la protestion sociale quelque soit les modalités de financement.
Dépenses sociales nettes = dépenses brutes – impôts.
E
Excédent Brut d’Exploitation (EBE) = part qu’il reste à l’entreprise après les salaires et les impôts payés.
Economie d’échelle = diminution du coût unitaire de production en augmentant les quantités produites.
Économies de marché : les actions des différents intervenants sont rendues cohérentes grâce au marché par le système des prix.
Externalités = ce sont les effets positifs ou négatifs qui résultent d’une activité d’un agent économique sur un autre agent. Elles ne sont pas prises en compte par le marché.
Efficacité marginale du capital = c’est le espéré de l’investissement.
Effet de massue = rentabilité économique < au taux d’intérêt, c'est-à-dire que les sommes empruntées rapportent moins que ce qu’elles coûtent alors la rentabilité financière diminue.
Effet de levier = situation dans laquelle les actionnaires ont intérêt à ce que les entreprises s’endettent pour financer les investissements. => Rentabilité économique > au taux d’intérêt. Il y a effet de levier car le taux de profit réalisé va être supérieur au coup de capital emprunté => augmentation de la rentabilité financière.
Effet d’apprentissage = les entreprises vont accumulées du savoir et savoir faire par expérience, donc la productivité va augmenter et le coût de production diminue (théorie de la croissance endogène)
Emploi = combinaison des éléments sociaux et juridiques qui institutionnalisent la participation des individus à la production de biens et services socialement valorisés. Emploi = travail + cotisations sociales.
Emploi atypique = s’oppose au CDI. Il correspond au emploi précaire comme les CDD, l’intérim, les contrats à durée indéterminée à temps partiel …
F
Formation Brute de Capital Fixe (FBCF) = elle mesure l’investissement. C’est la valeur des biens durables acquis pour une durée d’au moins un an pour participer au processus de production.
Fordisme technique = organisation du travail qui s’appuie sur le taylorisme avec comme plus le convoyeur mécanique et la standardisation.
Fordisme social = à une consommation de masse correspond une production de masse.
Flexibilité = politique de gestion de la main d’œuvre mise en place dans les entreprises pour adapter la production et l’emploi correspondant aux fluctuations rapides de la demande.
G
Groupe de pression = rassemble des personnes physiques ou des personnes (c’est à dire des entreprises ou associations diverses) pour défendre des intérêts communs auprès des personnes et des institutions chargées de prendre des décisions. Ils peuvent être analysés comme un mode d’expression démocratique, même si leurs actions posent des questions, puisque leurs actions visent le plus souvent à contourner les institutions habituelles d’exercice de la démocratie.
Grève = action collective caractérisée par la cessation du travail. Elle a été considérée comme un délit de coalition par la loi le chapelier de 1791. Elle fut autorisée en 1864. La reconnaissance de la grève a eu pour effet de canaliser les conflits afin d’éviter les débordements.
H
I
Inflation = augmentation soutenue et durable du niveau général des prix.
Indice de Développement Humain (IDH) = il permet de mesurer le niveau de développement (humain). C’est la moyenne de trois critères : niveau de vie, niveau d’éducation, espérance de vie. Il est comprit en o et 1 : inférieur à 0.5 le niveau de développement est faible, de 0.5 à 0.8 le niveau de développement est moyen, supérieur à 0.8 le niveau de développement est fort.
Individualisme = c’est le fait que l’individu va s’émanciper de son groupe d’appartenance ou de sa classe d’appartenance. C’est le constat historique que l’individu devient plus indépendant du collectif.
Invention = production de connaissances nouvelles.
Innovation = application de l’invention à des fins productives et commerciales. Elle peut être de produit et/ou de procédé.
Innovation de produit = mise au point et commercialisation d’un nouveau produit et/ou amélioration d’un produit déjà existant.
Innovation de procédé = mise au point de nouvelles méthodes de production ou amélioration des anciennes, ou amélioration de la diffusion.
Innovation incrémentale = amélioration de produit / de procédé de petite ampleur (ex : portable => amélioration de la qualité photo).
Innovation radicale = innovation de grande ampleur qui va induire une multitude d’innovations incrémentales.
Innovation technologique = innovations de produits et de procédés.
Innovation organisationnelle = innovation qui touche à la fois à l’organisation de l’entreprise et du marché.
Intensité capitalistique = degré d’utilisation du facteur capital dans la production. Elle se mesure avec le facteur capital.
Investissement de capacité = il est directement créateur de travail et à une augmentation de capital correspond une augmentation du facteur du travail.
Investissement de remplacement = il va se traduire par l’achat de nouveaux matériaux et va également être un investissement de productivité car le progrès technique va améliorer les capacités productives des vieilles machines.
Investissement de productivité = il va consister à remplacer du travail par du capital donc il est destructeur d’emploi. Il va à long terme créer de nouveaux emplois avec plusieurs mécanismes. L’entreprise va être plus compétitive ce qui va lui permettre de créer de nouveaux emplois. Les investissements de productivité peuvent détruire leurs emplois dans leurs secteurs et en ajouter dans d’autres.
Investissement immatériel = c’est l’achat de capital fixe qui va poursuivre trois objectifs : capacité, productivité, remplacement (ou renouvellement).
Investissement immatériel (en intelligence) = ce sont des dépenses en formation, en publicité, en équipement informatique, R&D (Recherche et développement), c'est-à-dire toutes les dépenses qui visent à augmenter la production autre que celles réalisées en capital fixe.
Investissement = flux venant accroître le capital. Achat de bien de production.
Identité = c’est la définition de soi par soi, mais c’est aussi, et surtout la définition de soi par les autres et pour les autres.
Individualisation = processus qui fait que l’individu va s’émanciper de son groupe d’appartenance.
Institutionnalisation = fait que les relations sociales conflictuelles vont être peu à peu organisée afin de leur donner un caractère plus prévisible et apaisé. C’est la condition pour accéder au champ politique pacifié.
Individualisme particulariste = recentrage sur l’individu, sur ce qui lui est proche, plus concret. Il construit un lien social plus concret, de proximité (voisinage …). C’est le repli communautaire qui peut remettre en cause la cohésion sociale.
Individualisme universaliste = fait que chaque individu à les mêmes droits.
Individualisme négatif = il résulte d’un manque de lien social économique, social ou politique.
Institution (au sens sociologique) = c’est un ensemble d’organisation, de normes, de règles, de pratiques sociales durablement établies qui a un triple objectif : celui de socialiser, contrôler, réguler.
J
K
L
Loi des rendements décroissants = elle signifie que la productivité marginale du capitale n’est plus rentable.
Logique du don / contre-don (≠ logique marchande) = la logique du don implique le contre-don. L’échange crée du lien social, ceci se passe en dehors du marché.
M
Multiplicateur d’investissement = relation entre investissement et production.
Variation de la production = m × variation de l’investissement
(m = coefficient multiplicateur = 1 / (1 – C) => C = propension à consommer).
Marché primaire = il correspond à un niveau de salaire élevé qui donne des perspectives de carrière, de promotions, présence syndicale => conditions plutôt bonnes. Il regroupe la main d’œuvre la mieux qualifiée qui va être fidélisée.
Marché secondaire = il regroupe des emplois précaires, une main d’œuvre peu qualifiée sans perspective de carrière, pas beaucoup de présence syndicale …. La main d’œuvre est plus flexible car le licenciement est plus facile.
Marché interne = il permet un mécanisme de répartition de la main d’œuvre. Il désigne l’ensemble des postes, affectations, rémunérations négociés à l’intérieur de l’entreprise. Il y a une déconnexion du marché du travail.*
Marché externe = Il se passe à l’extérieur de l’entreprise. Il correspond au marché du travail flexible.
Mouvement social = pour parvenir à ce statut de mouvement social, une action ou mobilisation collective doit remplir trois conditions :
- Principe d’identité : l’acteur se donne une identité à travers un projet commun qui vise à mettre en place une autre organisation sociale et pas seulement une revendication ponctuelle.
- Principe d’opposition : le mouvement définit clairement un adversaire.
- Principe de totalité : l’objectif du mouvement est le changement social, la volonté d’agir sur l’historicité.
Mouvements sociaux = action collective + identification d’un adversaire + répertoires d’actions collectives.
N
Niveau de vie = quantité de biens et de services dont dispose un ménage en fonction de son revenu.
Norme = règles implicites ou explicites qui transforment les valeurs en modalités de conduite (ex : politesse).
NMS (Nouveaux Mouvements Sociaux) = ce sont dans les années 1960/1970 des mobilisations isolées, qui se différencient des conflits dit traditionnels concernant le partage de la richesse. Leurs caractéristiques communes sont :
- leur souplesse institutionnelle et leur refus de se « bureaucratiser ».
- leurs revendications moins axées sur la croissance des richesses, et plus en termes de mode et de qualité de vie (écologie, régionalisme…).
- Leur méfiance à l’égard de la récupération « politique » par les appareils partisans.
- Leur base, plus mixte d’un point de vue social, moins lié à l’appartenance de classe sociale.
- L’inventivité de leur mode d’action.
Ceci les distingue des mouvements anciens.
O
Oscillateur = combinaison entre le mécanisme de l’accélérateur et du multiplicateur.
Organisation du travail = ensemble des arrangements mis en œuvre au sein de l’entreprise pour tirer avantage de la spécialisation des tâches et des compétences des travailleurs.
Offre de travail = demande d’emploi.
P
Produit Intérieur Brut (PIB) = il permet de mesurer la richesse crée à l’intérieur du territoire. Il se calcule avec la somme des valeurs ajoutées.
PIB par habitants = la croissance du PIB par tête mesure l’évolution du niveau de vie moyen par habitants.
Produit National Brut (PNB) = il mesure la valeur ajoutée des entreprises nationales qu’elles soient sur le territoire ou non.
Parité de Pouvoir d’Achat (PPA) = la parité du pouvoir d’achat est utilisée pour comparer le revenu par habitants dans plusieurs pays. On va corriger les fluctuations de change pour prendre en compte uniquement ce que les monnaies permettent réellement d’acheter dans un pays.
Pauvreté = Etat d'une personne (ou d'un ménage) caractérisé par un manque (absolu ou relatif) de ressources, matérielles ou non (revenu, savoir, considération, etc.) pouvant déboucher sur une marginalisation de la personne vis à vis du groupe ou de la société.
Pauvreté monétaire = insuffisance de ressources monétaires au-dessous du seuil de pauvreté.
Pauvreté absolue = la pauvreté absolue concerne les personnes qui ne disposent pas des ressources qui leur permettraient de satisfaire leurs besoins essentiels.
Pauvreté relative = la pauvreté relative concerne les personnes qui ne disposent pas des ressources qui leur permettraient de consommer ce qui paraît "normal" dans une société donnée, à un moment donné.
Paradoxe d'Anderson : Le diplôme des enfants peut être assez nettement supérieur à celui de leurs parents sans que leur statut social le soit.
Prix constant/réel : prix corrigé de l'inflation.
Productivité = elle mesure l’efficacité des facteurs de production. Elle est égale à : quantités produites / facteurs utilisés.
Plu value = c’est le fait que le travail produit plus que ce qu’il ne coûte.
Polarisation : une fragmentation de la population en deux groupes distincts, très éloignés, chacun à une extrémité de l'échelle sociale.
Professions et catégories sociaux-professionnelles (PCS) = C’est une nomenclature qui représente l’ensemble de la population classée en un nombre restreint de catégories qui représentent chacune une certaine homogénéité sociale en s’appuyant sur la profession.
Progrès technique = ensemble des éléments qui permet d’améliorer les méthodes de production et d’augmenter la productivité. Il se définit comme étant l’élément qui augmente la production sans que varie les quantités de facteur de production utilisées.
Processus de destruction créatrice = on dit que les nouvelles innovations vont détruire les anciennes méthodes et/ou produits et donc vont créer des nouveaux produits qui vont être source de croissance.
Profitabilité = différence entre la rentabilité financière et le taux d’intérêt.
Propension à consommer = part du revenu consacrée à la consommation.
Propension marginale à consommer = sert à mesurer la variation de la consommation en fonction de la variation du revenu.
Propension marginale à importer = part du revenu qui sert à acheter des produits étrangers.
Paupérisation = phénomène ou les pauvres deviennent encore plus pauvres.
Protection sociale = c’est un ensemble de mécanismes et d’institutions, fondée sur l’idée d’une solidarité nationale, garantissant des ressources aux individus qui subissent des risques sociaux. C’est donc un ensemble de dispositifs mis en place pour assurer et aider les individus confronter confrontés aux risques sociaux (maladie, chômage, vieillesse, famille). Elle a donc des objectifs matériels (permettre aux individus de survivre) et sociaux (réduire les inégalités).
Prélèvements obligatoires = impôts + cotisations sociales.
Q
Quantité de travail = variation de la durée du travail + croissance de l’emploi.
Qualifications = ensemble de savoirs et de savoirs faires validés par un diplôme ou acquis sur le terrain.
R
Richesse = abondance de biens et de services.
Recherche et Développement (R&D) = investissements immatériels multipliés qui consistent à créer des innovations et qui permettent de gagner en productivité.
R = découverte de produit.
&
D = amélioration des produits existants.
Rente de monopole = surprofit réalisé du fait de la situation de monopole.
Recherche fondamentale = sans but de commercialisation.
Recherche appliquée = dans un but de commercialisation.
Rationalisation : processus qui se développe au cours du temps et qui accorde à la
rationalité une place de plus en plus grande.
Rationalité en valeur = l’individu va agir en fonction de son système de valeur (ex : capitaine qui coule avec son bateau).
Rationalité en finalité = rationalité économique, on agit en comparant le coût et l’avantage.
Rentabilité = comparaison entre le profit obtenu et le capital engagé. C’est la capacité d’un capital à obtenir un revenu. Elle a deux types :
- Rentabilité économique : EBE / capital (propre ou emprunté).
- Rentabilité financière : rentabilité des fonds propres (= capital engagé par les actionnaires = fonds propres). Capacité des fonds propres à générer un revenu => rentabilité des actionnaires.
Réglementation = ensemble de mesures qui ont pour objectifs de protéger le salarié et encadrer la relation employeur et employé.
Risques sociaux = probabilité qu’à un évènement de survenir indépendamment de ma volonté de l’individu. Il va causer des dommages (perte de l’emploi …) et il va donc falloir se protéger. Pour cela, il va y avoir des prestations sociales d’assurance ou d’assistance.
Répartition primaire = c’est le partage de la valeur ajoutée entre ceux qui participent directement à la production.
Redistribution = correction de la répartition primaire selon des critères sociaux. Il en existe deux formes :
- Redistribution verticale = elle se fait des riches vers les pauvres. Elle a pour objectifs de diminuer les inégalités, réduire la pauvreté et l’exclusion, assurer une plus grande justice sociale.
- Redistribution horizontale = elle s’effectue des actifs vers les retraités, des malades vers les biens portants, des célibataires vers les familles… Elle a pour objectifs d’assurer un revenu de « remplacement » lorsque les individus se trouve fac à un risque social.
Revenu Minimum d’Insertion (RMI) = créé en 1989, il vise, comme son nom l’indique, à la fois à fournir un revenu minimum et à favoriser l’intégration sociale. Il s’agit d’un revenu versé aux adultes de plus de 25 ans dépourvus d’autres ressources.
Revenu de Solidarité Active (RSA) = il doit se substituer au RMI et à l’allocation de parent isolé (API) afin de rendre le retour à l’emploi plus rémunérateur que le maintient dans l’assistance.
.
S
Salariat = fait de vendre sa force de travail en échange d’un revenu (salaire).
Salaire d’efficience = relation positive entre le salaire et la productivité. L’entreprise va fixer un salaire optimal qui a pour objectif de motiver les employés dans leur productivité. En cas de récession, l’entreprise ne va pas diminuer les salaires (car diminuerait la productivité) donc elle licencie.
Salaire d’équilibre = les travailleurs n’aiment pas l’incertitude donc ils veulent limiter les risques de fluctuation du salaire. Dans ce cas un accord est passé avec l’employeur, en échange le salarié va accepter un niveau inférieur de salaire par rapport à la productivité. => Rigidité des salaires sur le marché du travail car ils ne fluctuent pas en fonction de l’offre et de la demande.
Société salariale = elle repose sur le statut social du salariat, c'est-à-dire que le travail salarié va être source d’intégration, de possession de droit … Elle va donc protéger les individus contre les risques sociaux (chômage, maladie, vieillesse …).
Socialisation = ensemble de normes et de valeurs incorporé par un individu.
Socialisation primaire = incorporation de normes et de valeurs de base de la société.
Socialisation secondaire = elle va permettre à l’individu d’intégrer des normes et des valeurs spécifiques.
Société (ou état social) = elle repose sur des relations contractuelles fondées elles-mêmes sur le compromis des intérêts particuliers et rationnels.
Sociétés modernes : sociétés qui naissent de la révolution industrielle à partir du début
du 19ème siècle.
Société traditionnelle = société dans laquelle les individus sont très attachés au groupe par la tradition. (Holisme => l’individu n’existe pas sans le groupe).
Solidarité = elle va se jouer de deux manières :
- lien horizontal = intégrer en favorisant la relation entre les individus.
- lien vertical = degré d’adhésion des individus au groupe / à la société.
Solidarité mécanique = caractéristique des sociétés traditionnelles. Les individus sont socialement peu différenciés et la conscience collective est forte. Elle repose essentiellement sur la ressemblance et le sentiment d’appartenance au groupe. Ceci est possible car le volume de la population est faible de densité sociale (intensité du lien social horizontal). La société va reposer sur la division sociale du travail.
Solidarité organique = caractéristique des sociétés modernes. Elle repose sur l’interdépendance des individus spécialisés (division sociale du travail). La densité sociale est forte.
Syndicat = groupe de représentant des salariés qui ont pour objectifs la défense de ceux-ci.
Sanction = c’est un acte qui, soit souligne l’accord avec un comportement/une attitude, soit qui montre le désaccord du groupe. C’est une construction sociale positive ou négative selon si la société ou le groupe approuve ou non le comportement jugé.
Stigmatisation = elle se définit par la possession d’un attribut (infirmité physique ou morale, appartenance à un groupe …) susceptible de jeter le discrédit sur celui qui en est le porteur. Elle ne vient pas de l’attribut en soi, mais de la distance entre la réalité physique ou morale d’un individu, son identité réelle et l’identité qu’attends la société, le groupe.
T
Taux de variation = [(VA – VD) / VD] × 100
= (coefficient multiplicateur – 1) × 100
Taux de marge = part de l’EBE dans la valeur ajoutée.
= (EBE / valeur ajoutée) × 100
= part de la valeur ajoutée qui rémunère le facteur capital.
Taux d’autofinancement = (épargne brute / FBCF) × 100
Taux d’intérêt = c’est le prix du capital emprunté. C’est la rémunération qu’un créditeur retire de son prêt = loyer de l’argent.
Taux de rentabilité = Rapport entre un revenu et le capital engagé pour obtenir ce revenu. Pour une entreprise, on calcule le taux de rentabilité en comparant l'EBE (qui mesure approximativement les profits) au capital engagé (c'est-à -dire, schématiquement, les capitaux engagés pour financer l'activité productive).
Théorème de Schmidt = « la compétitivité d’aujourd’hui fait les profits d’aujourd’hui, les profits d’aujourd’hui font les investissements de demain, et les investissements de demain font les emplois d’après demain. ».
Travail = activité qui consiste à créer des richesses.
Toyotisme = organisation du travail qui s’appuie sur des ateliers flexibles et sur la polyvalence des ouvriers. Il est basé sur le juste à temps et la priorité à l’aval.
Taylorisme = organisation du travail fondée sur deux divisions du travail : verticale et horizontale.
Théorie de l’étiquetage = d’après elle, il y a plusieurs étapes à la construction d’un être déviant :
1/ transgresser une norme
2/ être désigné publiquement comme ayant transgressé une norme ou une règle.
3/ l’individu adhère à son étiquette et se conforme à ce comportement comme le juge les autres.
U
V
Valeur = ce sont des idéaux collectifs qui orientent l’action des hommes en société.
Valeurs matérialistes = elles font référence au bien-être et aux besoins matériels.
Valeurs post-matérialistes = elles font référence à la qualité de vie, l’autonomie des individus, à l’identité …
Valeur ajoutée = ensemble des richesses.
= chiffre d’affaire – consommations intermédiaires.
Variance = transgression des normes tolérée par la société.
W
X
Y
Z
Le BAC !! Jouez le jeu ! |
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05/06/2010 à 12:09 |
Juin 1948 - Mai 1949 : Blocus de Berlin
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1949 : Création de l'OTAN (Organisation du Traité Atlantique Nord)
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05/06/2010 à 12:10 |
1953-1964 : Khrouchtchev, dirigeant de l'URSS
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05/06/2010 à 12:11 |
1954-1962 : Guerre d'Algérie
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05/06/2010 à 12:11 |
1960-1963: Kennedy, président des États-Unis
1962-1975 : La "détente"
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05/06/2010 à 12:11 |
13 août 1961 : Construction du Mur de Berlin
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05/06/2010 à 12:12 |
1980-1988 : Reagan, président des États-Unis
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05/06/2010 à 12:12 |
1985-1991 : Gorbatchev, dirigeant de l'URSS
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05/06/2010 à 12:13 |
3 octobre 1990 : Réunification de l'Allemagne
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05/06/2010 à 12:13 |
1991 : Éclatement de l'URSS et accession à l'indépendance aux états la composant
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05/06/2010 à 12:14 |
Et une pizza super complète , une !!
Création de la Belgique : 1830
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05/06/2010 à 12:15 |
Définitions en philosophie :
La fin du droit est-elle l'absence de conflit ?
Fin : 1°) arrêt – cessation – terminaison
2°) but – finalité – ce qui est visé
Médiat : est médiat ce qui passe par l'intermédiaire de quelque chose pour atteindre son but.
Immédiat : est immédiat ce qui l'atteint directement.
État de Nature : c'est l'état de l'humanité en dehors de toutes organisations sociale et politique. C'est un état fictif, théorique, c'est une hypothèse de travail pour mieux réfléchir sur la nature de l'homme.
L'Etat : c'est le pouvoir fort, l'autorité souveraine au dessus du corps social. C'est l'ensemble des organes juridiques, administratifs et répressifs d'une société.
Arbitraire : ce qui n'a aucune justification mais qui dépend seulement de préférences personnelles imprévisibles ---> absence de justice.
Politique : vient du grec polis (cité) = art de gouverner les hommes.
Devoir : obligation morale d'accomplir ou non certaines actions, en conformité avec la conscience morale.
Contrainte : force extérieure qui nous pousse à agir contre notre volonté. On se soumet à une contrainte car on y est forcé. On ne peut pas faire autrement. D'où l'idée de nécessité et d'absence de choix. La contrainte supprime la liberté.
Obligation : exigence intérieure qui nous pousse à nous plier à un devoir auquel on pourrait très bien se soumettre. L'obligation suppose la liberté.
Autonomie : c'est le plus au degré de liberté.
De auto (soi-même) et nomos (loi) : capacité à se déterminer soi-même à penser/agir selon des règles que la raison s'est librement prescrite à elle-même.
Autonome : qui se gouverne par ses propres lois.
Attention : ces règles doivent être universalisables.
Légalité : c'est la stricte conformité aux droits établis.
Légitimité : elle renvoie à la conscience morale. Est légitime ce qui me semble juste en conscience et qui ne va pas forcément dans le sens de la loi.
Droit positif : ensemble des lois établies dans une société donnée et à un moment donné. Ces lois sont toujours particulières et relatives à un pays.
Droits de l'homme : ce ne sont pas des lois mais des principes universels qui concernent l'homme en général, qui constituent un idéal de justice.
Universel : valable partout et toujours pour tous les éléments d'une totalité donnée.
Général : valable pour un groupe donné et non pour tous les êtres.
Particulier : valable pour pour une partie de la totalité.
Singulier : valable pour un individu.
Cause : raison d'être de quelque chose, c'est l'origine d'un processus.
Fin : finalité, ce qui est visé.
Nécessaire : ce qui ne peut pas ne pas être, ou ce qui ne peut pas être autrement ---> nécessité.
Contingent : c'est le contraire de nécessaire : ce qui peut ne pas être, ce qui peut être autrement.
Possible : ce qui peut être.
En fait : ce qui effectivement, ce qui est dans les faits, actuellement.
En droit : ce qui devrait être mais qui n'est pas forcement dans les faits.
Impératif moral catégorique : commandement que l'on se donne à nous-mêmes tel que l'on puisse vouloir qu'il devienne une loi universelle.
Impératif hypothétique : c'est un commandement qui est soumis à une condition.
Minorité : état de ceux qui ne sont pas autonomes mais qui sont soumis à une direction étrangère à eux-mêmes.
Le langage et la pensée :
Langage : faculté générale d'expression de la pensée et de communication.
Langue : forme particulière que prends la faculté du langage dans une communauté donnée.
Ensemble de signes qui appartiennent en propre aux sociétés déterminées. Elle est acquise au prix d'un long apprentissage.
Parole : manière personnelle d'investir la langue. C'est une entreprise individuelle.
Dialogue : échange argumenté d'idées qui permet de construire en commun, c'est à dire avec l'autre, un raisonnement suivi et ordonné.
Altérité : le caractère de ce qui est autre.
Philosophie : amour de la sagesse.
Persuader : avec les sentiments, il n'y a pas l'usage de la raison.
Convaincre : avec des arguments, montrer et prouver un point de vue.
Exprimer : faire sortir de soi, faire passer un sentiment, une pensée vers l'extérieur.
Concept : notion générale formée par abstraction qui permet d'unifier la diversité des phénomènes.
Intuitif : ce qui relève de l'intuition, c'est à dire d'une vision simple et immédiate, sans médiation ; de qui relève d'une connaissance immédiate.
Discursif : ce qui relève d'une démonstration, ce qui ne peut s'atteindre au terme d'un parcours logique comprenant plusieurs étapes. Il ne peut s'appréhender que médiatement.
Le travail a t-il une valeur morale ?
Loisir : désigne aujourd'hui un ensemble d'occupations auxquelles l'individu s'adonne de son plein gré pour se divertir, se délasser, pour développer sa participation sociale, ses connaissances/aptitudes après s'être libéré de toutes obligations sociales, familiales ou professionnelles.
La religion :
Dogmatisme : une attitude d'esprit intransigeante ; la position dogmatique consiste à affirmer la possibilité d'atteindre le vrai avec une certitude absolue qui ne peut être remise en cause.
Dogmes : vérités que l'on nous demandera d'admettre sans doute possible.
Scepticisme : consiste à remettre constamment en doute.
Religion : ensemble de croyances et de rites qui sont propres à une communauté donnée, et qui sont orientés vers quelque chose de divin.
Rites : pratiques collectives ou individuelles qui sont réglées et qui organisent les grands moments de l'existence.
Sacré : c'est la propriété que l'on donne à certaines choses. Idée de vénération, à l'égard de quelque chose qui nous dépasse, de respect, d'adoration, nécessite des précautions.
Profane : littéralement : devant le temple. Le domaine du profane est celui du courant, celui qui ne nécessite aucune précaution.
Hippias majeur :
Mnémotechnique : grande capacité à mémoriser.
Maïeutique : art propre de Socrate qui consiste à poser des questions pour amener les gens à réfléchir.
Dialogue aporétique : qui se termine par une aporie.
Aporie : difficulté non surmontée.
A t-on raison d'accuser la technique ?
Technique : ensemble de tous les moyens et de tous les procédés inventés par les hommes dans le but d'aménager et de transformer leur condition d'existence.
Progrès technique : évolution des techniques ---> constatable objectivement.
Progrès de l'humanité : progrès moral de l'humanité, amélioration de la société.
Conscience : du latin cum scienta = accompagné de savoir. Être conscient, c'est agir, sentir, penser et savoir qu'on agit, sent, pense ---> conscience réflexive.
Philosophie spéculative : philosophie purement théorique.
Idéal cartésien : mettre la technique au service de la vie
Désir : mouvement qui nous porte vers un objet présumé source de satisfaction.
L'histoire : 1°) la connaissance du passé humain. L'étude du passé par l'historien.
2°) le devenir historique de l'humanité dans sa totalité et qui englobe le passé, le présent et l'avenir. C'est l'ensemble des évènements qui ont eu lieu, qui ont lieu, et qui auront lieu.
Présumer : présupposer, tenir pour probable. On présuppose quelque chose quand on ne peut pas le constater ou fournir des preuves irréfutables.
Peut-on se mentir à soi-même ?
Mentir : dissimuler, déformer ou taire une vérité dans le but de tromper l'autre.
Conscience : c'est la connaissance plus ou moins claire qu'un sujet possède de ses états et de ses actes.
Pré conscience : c'est tout ce qui n'apparaît pas clairement à la conscience mais qui est susceptible de devenir à un moment ou l'autre conscient.
Censure : c'est un sorte de gardien dans notre psychique qui refoule certains désirs inadmissibles, certaines pensées moralement inconvenantes et qui les empêche d'accéder à la conscience. Elle fait barrage à certaines pensées et les empêche de devenir consciente.
Refoulement : c'est l'opération inconsciente par laquelle certains désirs, pensées sont maintenus dans l'inconscient. Ces désirs ne sont pas admis à paraître à la conscience car ils ne sont pas présentables, ils ne conviennent pas aux exigences de la censure.
Inconscient : système constitué de contenus refoulés, c'est à dire de désirs, tendances qui ne peuvent pas accéder à la conscience en raison de la censure.
Mauvaise foi : l'homme de mauvaise foi finit par croire lui-même à son mensonge parce qu'il veut y croire, cela l'arrange d'y croire. Il veut avoir foi en ce qu'il raconte.
Inconscience : irresponsabilité ; être inconscient, c'est ne pas évaluer les dangers ou les conséquences de sa conduite. Ce terme à une connotation morale.
Inconscient : contient les faits psychiques refoulés, qui comme tels et livrés à eux-mêmes, sont incapables de devenir conscients.
Quel besoin avons-nous de l'Art ?
Art : avant le XIXième siècle, l'Art désigne toutes activités productrices en général. Tout ce qui n'est pas créé par la Nature mais créé par l'homme est de l'Art. L'Art peut désigner la technique en générale. Production désintéressée.
Technique : désigne aujourd'hui la science appliquée, c'est à dire tous les procédés d'action et de fabrication qui appliquent un savoir scientifique et qui visent l'utilité, la rentabilité ---> production intéressée.
Plaisir esthétique : ce qui peut être senti comme beau.
Plaisir sensible : ce qui plaît aux sens ---> relatif à chacun.
Agréable : est agréable ce qui provoque un plaisir sensible.
Beauté libre : pour Kant, c'est la beauté qui ne sert à rien. Elle n'a aucune au fonction que le beau car elle ne fait intervenir aucun concept de fonction, elle est pure.
Beauté adhérente : beauté esthétique mélangée à l'utile.
Utile : est utile ce qui satisfait un intérêt immédiat ou un besoin d'ordre matériel.
Bon : le bon est ce que l'on approuve en fonction d'une valeur liée à un jugement de la raison.
Talent : possède un certain savoir-faire, habilité car apprentissage d'une méthode.
Génie : pour Kant, le génie ne se réduit pas à une simple prouesse. C'est la différence entre l'artiste et l'artisan. Le génie est celui qui innove, qui ne se contente pas d'appliquer des règles toutes faites. C'est celui qui invente une nouvelle manière, un nouveau style. L'originalité est sa première qualité. Sa production est consciente et volontaire contrairement au fantaisiste.
Fantaisiste : il produit quelque chose sans même savoir ce qu'il fait et donc ne peux pas servir de modèle.
Peut-il y avoir des dons dans une société d'échange ?
Donner : c'est se dessaisir de quelque chose sans en attendre de gain en échange.
Don : consiste à se dessaisir de quelque chose sans esprit de gain, en vue de créer ou de rétablir l'échange/l'alliance à un autre niveau que marchand.
Ou : toutes prestations effectuées sans garantis de retour en vue de nourrir ou de recréer le lien social.
Chrémastistique : c'est la recherche du profit, l'art d'acquérir, de chercher à augmenter sa capital par le commerce, la spéculation.
Alliance : relation non intéressée sans garanti de retour.
Contrat : intéressé, préécrit.
Le bonheur vient-il du plaisir sans mesure ?
Désir : mouvement qui nous porte vers un objet présumé source de satisfaction.
Plaisir : satisfaction du désir ; sensation agréable liée à la satisfaction d'un besoin ou d'un désir.
Hédonisme : désigne toute doctrine qui met le plaisir au centre de l'existence.
Intempérance : absence de modération.
Peut-on tout démontrer ?
Démontrer : c 'est argumenter pour tenter de convaincre.
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1884 – 1885 : Conférence de Berlin : les puissances coloniales fixent les règles de partage des colonies.
1936 : Dernière conquête coloniale réalisée par l’Italie en Ethiopie.
7 décembre 1941 : Attaque de Pearl Harbor.
Juillet 1944 : Conférence de Bretton Woods. Création d’un nouveau système monétaire international.
1944 : Droit de vote des femmes.
Février 1945 : Conférence de Yalta, rassemblant Staline (URSS), Roosevelt (Etats- Unis), et Churchill (Angleterre). La fin de la guerre est réglée: les discussions ont porté sur la fin de la guerre et le sort de l’Allemagne après la guerre.
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Avril – juin 1945 : Conférence de San Francisco : Création de l’Organisation des Nations Unis (ONU).
Juillet – août 1945 : Conférence de Postdam. Roosevelt, mort le 12 avril 1945, est remplacé par Truman (Etats- Unis), Attlee (Angleterre) remplace Churchill, non réélu au élection, et Staline représente toujours l’URSS. La conférence règle le sort de l’Allemagne, et décide les « 3D » : dénazification, décartellisation, et démilitarisation.
1945 – 1946 : Procès de Nuremberg. Tribunal international où sont jugé les hauts dignitaires nazis.
1945 – 1949 : Mise en place des démocraties populaires : Staline applique le communisme dans les pays occupés par l’armée soviétique.
6 et 9 août 1945 : Bombardements atomiques sur Hiroshima et Nagasaki. Le monde découvre la terreur de la bombe atomique.
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2 septembre 1945 : Capitulation du Japon.
Octobre 1945 : Création de la sécurité sociale en France.
5 mars 1946 : Discours de Fulton. Churchill, ancien Premier ministre anglais à cette époque, cite la formation d’un « rideau de fer » entre l’Occident et l’URSS.
16 juin 1946 : Discours de Bayeux, prononcé par De Gaulle. Il se montre hostile à la IVe république.
Octobre 1946 : Référendum sur la constitution, la IVe république est lancée.
1947 : Début de la guerre froide.
1947 : Création du GATT (Général Agreement on Tariffs and Trade), qui favorise le libre- échange en abaissant les tarifs douaniers.
Mars 1947 : Doctrine Truman (Etats- Unis) : Il faut aider les pays financièrement pour les empêcher de « tomber » dans le communisme. Ce qui se traduit par le plan Marshall. Aide économique et militaire.
Juin 1947 : Lancement du plan Marshall : aide des Etats- Unis proposé aux pays pour leur reconstruction.
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Septembre 1947 : Doctrine Jdanov (URSS) en opposition à la doctrine Truman : le monde est divisé en deux camps opposé, un camp impérialiste (Etats-Unis) et un camp démocratique (URSS) selon Jdanov.
1948 : La déclaration universelle des droits de l’Homme à Paris affirme le droit à l’éducation, à la sécurité sociale, au travail, à la santé, et à la culture.
14 mai 1948 : Proclamation par Ben Gourion de la création de l’Etat d’Israël.
1948 – 1949 : Blocus de Berlin : Staline bloque toutes les issus de Berlin- Ouest. Les Etats- Unis s'oppose à ce blocus par un pont aérien.
1949 : Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN).
Juillet 1949 : L’URSS met fin au monopole atomique des Etats- Unis, et possède sa première bombe atomique.
Septembre 1949 : La Chine continentale devient communiste avec Mao Zedong.
1950 : Début du maccarthysme : chasse au « espion » communiste. Plusieurs condamnation à mort.
25 juin 1950 : La Corée du Nord dominée par le communisme envahit la Corée du Sud.
1951 – 1953 : Deux lois d’amnistie annulant certaines condamnations, liées à la seconde guerre mondiale, dans le but de vider les prisons.
5 mars 1953 : Staline meurt.