Le jour ou j'ai grandit :

Quel âge avez-vous ?

Moins de 18 ans

18 ans ou plus

bookgirl59 Le jour ou j'ai grandit : 23 18/03/09 à 18:02

Avant propos : Je précise que c'est une oeuvre entierement fictive , toute ressemblance avec des personne réelle serait le fruit du hasard .
Ps : Mon orthographe laisse a désiré , et cette histoire a plus de deux ans Coucou


Je n'avait pas vue la voiture :

Une grosse berline gris métallissé qui fonçé droit sur moi .

Mes mains se sont levé dans un geste futile pour me protégé .

Boum .

Puis le choc , la douleur me traversat de plein fouet , je m'en rendit a peine compte avant de sombré dans un brouillard noir .

Je sombrait .

Un temps passait il ne me parut ni long ni court .

C'était comme si quelqu'un avait mit ma vie sur 'pause' ;

Je ne ressentait alors plus rien . Une nappe de plomb obstrué mes yeux , mes membres me semblait encore un élèment étranger de mon corps , ils semblaient si lointain , pourtant :

J'entendait des voix , un tempo lent qui se voulait rassurant :

- Elle peut se reveillé n'importe quand , aucun de ses organes vitaux n'a été touché , cela dépend maintenant plus que d'elle ...

- Mais si elle ne se reveille jamais ? Si elle ...la voix de son interlocutrice se brisa .

Je reconnut sans peine celui de 'ma mère' , encore une fois ,fidéle a elle meme , elle se comportait en victime .

- Reina est 'tout' ce qu'il me reste a présent , pleurnichait t'elle entre deux hoquets .

- C'est votre fille ? demanda le docteur . ( si je ne reconnut pas la blouse blanche a cause de mes troubles visuel , par contre 'la voix profonde du toubib , sexy et viril vous pensez bien ...)

- Non , elle est d'un précedent mariage de mon mari décedé aujourdhui dit l'interresée tout feignant de se mouché .

( qu'est ce que je disait ! )

- Escusez moi , de l'indiscrétion de ma question , c'est la procèdure habituelle , s'escusat'il .

J'entendit un bruit de papier froissé :

- Signé ici .

Leurs voix me parurent de plus en plus faible , ma tete bourdonna étrangement et pour la seconde fois le vide m'aspira .

***************

Je pensé demeuré seule , dans ma chambre d'hopital pendant de longs moments -cela m'aurait angoissé habituellement - mais la je n'en avait cure ...

Mon état s'amélioré , constamment je perçevait des voix , celle du médecin un dénommé Fronz qui ne faisait pas dans la dentelle quand la situation s'en pretait ; les agents de service et 'surtout les plus distrayantes qui soient les stagiaires ( les plus nunuches aussi ) payé plus pour leurs réferances (deja douteuse) que les compétances basique exigé ....Au moins pouvait t'elles se targuait de detenir le record des plus longues discussions ennuyeuse ....Malheureusement les bavardages idiot semblait avoir deteint sur l'ensemble du service feminin et a assez haute voix pour que je les comprenne .

Encore est t'il que L'exercice devenait difficile au bout de cinq minutes ; je retombai souvent dans le néant plus angoissant a chaque fois ce qui me deplaisait de plus en plus .

Un matin trés tot ou le soir trés tard , je perçut un changement d'athmosphère .

Et ne tardait pas a en découvrir la cause ...

La voix , la plus criarde des deux une certaine 'sabine' me parvint :

- Il est 'trop beau , brun la vingt ou vingt cinq ans , une fossette et en plus .

Sa voix retomba dans les aigus tellement fort que je revait de me bouchait les oreilles '( et de ligoté la volaille ) .

- Il est riche !

- Oui , mais il n'ai pas marié ? s'inquiéta aussitot la seconde , un debit grave suspicieux . .

- Non Béa , je te dit ! il ne fait que passé , rend visite a la gamine , puis 'il' s'en va ! .

Il 'il' toujours 'il' qui était't'il justement ?

Cette question m'obsédait et je n'était pas sure de le découvrir de sitot puisque , Mr Franz arriva en cet instant et houspillat les imprudentes.

La gamine c'était moi , plusieurs fois les vipères caquetèrent sur mon dos en me décrivant de 'banale' .

Un argument que je ne pouvait guère réfuté .

Cheveux chatains clair , yeux marrons , petite de surcroit , je n'avait rien de particulier qui me vallait les visites d'un parfait étranger .

Ou peutetre été t'il un généreux donateur de l'hopital ? .

A bout de nerfs ( et surtout d'arguments )

je me résolut a cédé au gouffre .

Mon esprit serait plus clair , sans doute aprés une longue nuit de sommeil .



( premier chapitre voulé vous la suite ? oeuvre écrit en 2007 .

par moi H.D


Pour la suite :

- Chap. 2 : Post 3
- Chap. 3 : Post 5, 7 et 8
- Chap. 4 : Post 16
- Chap. 5 : Post 17, 18 et 19
- Chap. 6 : Post 20
- Chap. 7 (fin) : Post 21

Mello

Le jour ou j'ai grandit : 1/23 18/03/2009 à 18:07
Très beau et j'attend la suite avec impatience ^^.
Le jour ou j'ai grandit : 2/23 18/03/2009 à 18:10
Pouah, bourré de fautes. C'est pas pour rien que les relectures sont nécessaires.
Et c'est niais et assez superficiel.
Je n'aime pas.
Le jour ou j'ai grandit : 3/23 18/03/2009 à 18:14
Je répéte que je ne suis pas prof de français Rire

Justement j'ai des problemes d'orthographe c'est pas de ma faute Langue qui pend

Mais c'est romantique mais tu verra l'heroine est trés cynique aussi comme moi une obominable romantique Coeur qui bat

voici la suite attention trés court c'est 'lui le visiteur qui parle en fait :


Lui :

Au plus il l'a regardé , plus il voulé la protégé ; sa main caressa son visage d'enfant endormie .

Visage pale , lèvres entrouverte , presque éclipsé par une rangée de dents perle .

La masse obscure de ses cheveux elle lui faisait pensé a quelqu'un ...

Une bouche rieuse étiré par un doux souvenir une petite fille semblable a celle ci

Blonde comme les blés , un penchant attendrissant pour les puddings et le sucre roux qu'elle dérobé en cachette .

Reina , sa petite soeur , celle qui dans la violence de ses derniers jours le hanterait j'usqua la mort .

Mais qu'il accepté , parce que chacun de ses moments sombres étaient supplanté par un sentiment de bonheur proche du desespoir on ne renie pas un ange sauf si l'on veut courir le risque de se damné pour l'éternité .

Il le savait , meme le compte en banque richement approvisionné ' au cas ou 'pour cette petite inconnue ne rattraperait ses erreurs ni les mines grimaçantes du fantome de son assasin qui pourrissait dans un cloaque de boue .


Le jour ou j'ai grandit : 4/23 18/03/2009 à 18:15
Y'a pas besoin d'être prof de français pour maîtriser la langue.
Le jour ou j'ai grandit : 5/23 18/03/2009 à 18:18
3 ème chapitre :
( lui ) encore ( désolé pour l'orthographe , je fait ce que je peux , mais c'est génétique


- Gachis .murmuré les infirmières en l'examinant sur son passage .

la jeune fille endormie .

S'il venait la voir autant c'est qu'il aimait la voir immobile ,

Son visage d'une paleur de cire tranchait sur le drap rèche et blanc de l'hopital ;

Avec ses long cheveux aux reflets cuivré et or répandu sur l'oreiller , elle lui évoqué une princesse en exil .

Ce qui n'était pas sans lui rappelé les contes de Grims que sa mère lui lisait dans sa petite enfance ; et plus tard adolescent il dévora en cachette a la lumière d'une lampe torche ' l'odyssée . Les aventures d' Ulysse l'avait impressionné .

Personne n'aurait pu croire a le voir :

Sérieux et concentré dans ses études , avoir quelques joie a lire autre chose que les notes trimestrielle de son bulletin apparaissait aux étudiants aussi incongru qu'imaginé Owen Starks , le plus jeune diplomé de Darthmouth finir éboueur .

Owens regarda sa montre en soupirant : 8h32 .

Sa reunion avait lieu a 9h00 , il valait mieux etre a l'heure .

Meme en étant président du comité il se devait d'etre ponctuel .

Il jeta un dernier regard vers sa protégée .

Qu'elle paraissait vulnérable endormie !

Il aurait pu la contemplé des heures durant .
(Very Happy la suite tout de suite )
Le jour ou j'ai grandit : 6/23 18/03/2009 à 18:21
Ben moi je fait l'exception si tu n'aime pas tant mieux ; tous les gouts sont dans la nature , qu'est ce que tu aime alors ?

MEME si j'ai écrit les chapitres pour ma prochaine 'oeuvre je veux des avis )
Le jour ou j'ai grandit : 7/23 18/03/2009 à 18:26
Ce jour la , le soleil brillé a travers les stores baissé de l'hopital Covs , les murs blancs m'apparaissait moins lugubre qu'auparavant maintenant que j'apperçevait le décor rassurant .

Depuis combien de temps était je endormie ?

Qui viendrait le Week end porté des fleurs sur la tombe de mon père comme j'en avait l'habitude ?

En parlant de fleurs , je me redressé au maximum de mes capacités a l'aide de mes coudes ; des lys , des glailleul, rose , tournesol , beaucoup de pensées aussi revetait de leur couleur ; violet , bleu vif , jaune oeuf , blanc mordoré , rouge passion , l'espace des visiteurs .

Il y avait assez de fleurs pour ouvrir une boutique de fleuriste .

Mais pour moi cela ressemblé plus a un salon mortuaire :



Cette seule idée suffit a me donné des frissons , avant que je m' aperçoive de la réelle source :

Pouah , qui avait ouvert la fenetre ?

Des picotements désagréable parcourirent mes jambes .

J'ouvrit les yeux péniblement .

La chambre été dezerte , je n'entendait que le bip irrègulier de mon poul qui trahissait mon état .

Un tuyau m'obstrué les narines , j'eu a peine la force de l'arraché .

Mes bras été lourds et d'un vilain gris beige , ma tete me tourné désagréablement comme si j'était resté trop sur des montagnes russe ( l'adrenaline en moins cependant )

Mon dos me semblait plaqué contre le matelas trop mou .

Beurk , beurk ! .

Etait ce moi qui avait de si vilaine jambes ?

Recroquevillées , elles portaient les traces de vilaines echymoses bleuatre et beige semblable a celle de mes bras neanmoins moins importante .

Ma tete allait un peu mieux , une betonneuse en marche aurait surement fait de plus gros dégats que la souffrance de resté immobilisé comme percluse de rhumatisme .

Je pijotai la tete d'un millimetre en aperçevant un cordon blanc relié a une manette.

Je tendit la mains en pressant le bouton et en priant pour que l'infirmière de garde puisse me donné de l'aspirine ou un anti douleur .

Cinq minutes plus tard , une femme d'un certain age apparut un plateau dans la main.

- Euh bonjour , bafouillai je en prenant une grande inspiration .

Il me couté de parlé , mais au moins j'étais sur qu'on me comprendrait .

L'infirmière manqua de basculé et posa le plateau sur le lit , en s'époumonant a une personne derrière la porte .

- Docteur Fronz , La petite est reveillée .

S'ensuivit un long interrogatoire serré qui manqua de me rendre folle :

-Le poul est régulier ?

-Pas de traces de la commotion cérebrale ?

-Quand sa mère vient t'elle la voir ,?

- Jeudi , mmh , il faut interdire les visites , elle est trés vulnérable répondit le medecin en observant mes jambes d'un air soucieux .

j'eus le droit de voir son immense moustache grisonnante se fendre dans un maxi sourire ( spécial père noel ) tandis que l'infirmière ( qui semblé plus vieille maintenant que je l'examinait ) a peine moins reluisante , farfouillé dans un classeur metallique avec une frénesie exaspérante .

On me posait a moi aussi une série de questions ce a quoi je baillait en réclamant de l'aspirine .

Une impressionnante quantité de dents taché de nicotine ( l'avant garde du cauchemard d'un reste de poulet avarié peutetre ) exalée une odeur forte a reveillé un mort ( je m'étonné alors de ne m'etre pas reveillé plus tot ) derrière l'imposant derrière du medecin l'infirmière se hata de me tendre un gobelet en plastique .

J'eu le plaisir de voir une pastille se dissoudre en crépitant comme des bulles de champagne .

Je bus religieusement le remede en feignant l'envie de dormir .

On m'injecta une forte doses d'anti douleurs et je dormit d'un sommeil peu profond , ayant peur de retourné dans le monde noir ou aucune notion du temps n'existait .

Les jours s'écoulèrent tranquillement malgrés la visite prochaine de ma belle mère , rien ne pouvait entamé ma bonne humeur meme les sarcasmes désobligeants qui trainait sur mon compte .

Enfin j'avait hate de pouvoir utilisé mes jambes , j'arriverait au moins a faire ma toilette seule et pourrait librement d'utilisé les WC autant que je le voulait sans avoir a demandé et patienté de longues minutes .

Bien sur il y avait la télé , mais n'en étant pas une fan inconditionnelle ,je préféré encore me plongé dans les revues médical rébarbatifs vantant tous le mérité de Mr Fronz le 'the' medecin des snobs et ces methodes révolutionnaire .

A la fin j'apprit que le medecin 'covs' été en fait le meilleur toubib du comté et ses tarifs beaucoup trop élevé pour la bourse de ma belle mère ( pour peu qu'elle ai crevé le plafond de son compte en banque pour autres choses que des fringues et séances chez le psy ) .

Se serait t'elle rapellé qu'elle devait subvenir aux besoins de la fille de son défunt mari ? .



J'eu la réponse Dimanche trois jours avant la venue de ma belle mère ( et seule famille , malheureusement ) .



( la mère de l'heroine est morte , sa belle mère veut se faire appélé 'maman ' vous comprendrait par la suite .
Le jour ou j'ai grandit : 8/23 18/03/2009 à 18:37

La suite ( toujours des fautes d'orthographes mais je continue , tant pis pour ceux qui n'aiment pas le sirop moi , je déteste pourtant j'en fait !)

C'etait l'aprés midi .
L'hopital grouillé de monde , la famille se deplaçait pour la grand mère mourante , ( pourvu qu'elle les mettent sur son testament ) . Des enfants accidentées veraient leurs parents , les infirmières névrosé la semaine n'aurait d'autres tache que d'apporté des muffins et du thé sur un plateau .

La ville été petite et en conséquence peu d'accidents arrivé, il y avait six hopitals dans les deux villes voisines , 'Hopital Covs pouvait se permettre d' abritait le gratin de la socièté aisé .

Dans le batiment edifié il y a une vingtaine d'année Tout été soigneusement restauré , entretenu , si d'autre hopitaux avait une odeur javelisé , l'hopital Covs pouvait se permettre l'exclusivité de dérogé a cette régle ( sous la forme d'un généreux pot de vin bien sur ) il sentait la cannelle et la vanille , disposait de sa propre chaine fleuriste Spécialisé , et un air d'opéra sortait des enceinte invisible a l'oeil nue déversant des sopranaux et tenors a longueur de journé tel un judeboxe géant .

Je venait de finir une revue en baillait nerveusement en ébouriffant encore plus mes cheveux chatains tout ébouriffé ( a cause de l'oreiller ) .

La porte s'ouvrit et quelqu'un pénetra dans la pièce .

Je sursautai en relevant les draps sur ma chemise lègère instinctivement .

Le regard verdatre brillait ( en dépit des stores clos ) un feu mordoré brulait et tut la phrase stupide qui m'avait traversé l'esprit .

Les mains longues et fine chassa une poussière imaginaire sur le costume noir que l'inconnu portait .

Une veste noire impeccablement coupé soulignait sa carrure athlétique j'avait l'impression d'avoir la reencarnation d'Apollon devant moi et j'en avait le souffle coupé .

L'instant d'aprés , je ne doutait plus de l'existence de cupidon qui venait d'embroché avec 'toutes' ces flèches mon pauvre coeur .

Incapable de soutenir son regard je baisait les yeux en croisant les doigts pour ne pas mourir ( ou du moins rougir ) .

- Tu es Reina n'ai ce pas ? me demanda une voix ferme mais douce .

Je relevai les yeux en beant d'étonnement encore une fois j'avait l'impression d'etre un lapin de garenne prit dans des phares de voiture , pourtant il me fallait réagir ! .

- Qui etes vous ? demandai je d'une voix bizarrement étranglé .

- Qui est tu ? me réponda t'il d'une voix égale en dévoilant une fossette a faire chaviré les coeurs les plus réticents .

- Euh je suis , euh une patiente de Mr Fronz et vous ?

- La raison pour laquelle tu es dans ce lit rit t'il en s'asseyant a mes cotés .

- Quoi ? m'écriait je en me dépétrant des draps .

- Oui c'est moi qui ai aidé ta belle mère a payé les frais médicaux dit t'il en retrouvant le serieux .

- Ah ben , merci .

Je regardait ailleurs génée , il fallait que je retrouve mon calme et mes moyens .

-Je suis venue voir comment , tu allait tu n'a pas trop chaud ? tu veux que je mette la clim ? demanda t'il en me regardant l'air soucieux .

Quelle tete avait je ? A mon avic valait mieux feindre .

- Euh , oui , merci mais je vais bien .

En disant cela je jettait des regards affolé vers la porte ou été l'infirmière ?

- J'espère que tu va mieux , aprés avoir frolé la mort dit sa voix etrangement pleine d'une émotion contenue .

- Je ne peux pas resté longtemps , si tu a besoin de quoi que ce soit appele moi finit t'il par annoncé alors que nous étions silencieux .

Il me donna une petite carte cartonné avec son prénom , nom et numéro de telephone .

A laquelle je n'adressait pas un regard mes doigts effleurèrent brièvement ses doigts il se détourna et aprés m'avoir jetté un sourire il disparut derrière la porte .

Mon coeur mit quelques secondes a se calmé et j'embrassit le rectangle de papier inconsciemment les mots me venant tout seuls :

Merveilleux , merveilleux , merveilleux .

En voyant les splendides orchidées rose qui tronait dans le vase sur ma table de chevet je faillit me précipité dessus .

Finalement je prit une fleur et tripoté la tige machinalement en lisant ses coordonnées :

Owens Sparks

Président du congrés de Washington .

( je vous mets pas le num du telephone il est a moi ah , ah )



La journée se passa sobrement , je restait distraite .

Dans la chambre 12 , Reina Van de Walle été tombé amoureuse .

H.D

Rire
Le jour ou j'ai grandit : 9/23 18/03/2009 à 18:38
bookgirl59 a écrit :
Ben moi je fait l'exception si tu n'aime pas tant mieux ; tous les gouts sont dans la nature , qu'est ce que tu aime alors ?


Ce qui en vaut la peine.
Le jour ou j'ai grandit : 10/23 18/03/2009 à 18:47
Frosties a écrit :
bookgirl59 a écrit :Ben moi je fait l'exception si tu n'aime pas tant mieux ; tous les gouts sont dans la nature , qu'est ce que tu aime alors ?Ce qui en vaut la peine.



Ce n'ai pas une réponse .

Je doit devrait écrire du dramatique , sangs , larmes , gorre , humour ?

Mais je ne changerait pas de registre pour autant tant que ça me plait , que j'ai cette passion pour écrire qui me fait vivre tout va bien .

Par contre je suis conscience que cette forme d'écriture est bonne pour le divertissement , un jour peutetre ' reference au titre ' et ce n'ai pas romantique comme une histoire :
Une jeune fille qui tombe dans le coma se reveille tombe amoureuse d'un etranger , elle croit l'aimé et lui ? Si ça finissait dans un bain de sang ? si cette obsession qui le dévoré lui ferait commettre l'irreparable ?

JE NE SAIT PAS A L'AVANCE CE QUI ADVIENDRA DE MES PERSONNAGES ? JE ME LAISSE PORTER


Et vous ?
Very Happy
Le jour ou j'ai grandit : 11/23 18/03/2009 à 18:50
je doit y allé envoyé moi un message si vous voulez la suite !

merci a tous ! Wink
Le jour ou j'ai grandit : 12/23 19/03/2009 à 00:36
Je trouve l'histoire niaise au possible, et l'orthographe laisse vraiment à désirer.

L'ensemble est assez mauvais, je n'aime pas.
Le jour ou j'ai grandit : 13/23 19/03/2009 à 08:50
Puisque tu dis toi même que tu as des problèmes d'orthographe, pourquoi n'utilise pas un des ces outils formidables qu'on trouve sur les PC : les correcteurs ?
Si tu as firefox tu peux même en intégrer certains directement dans ton navigateur, il y a même plus à corriger le texte sous word puis faire après un copier coller.
Le jour ou j'ai grandit : 14/23 19/03/2009 à 09:33
moi jaime bien et m'en fiche de lortographe, ne les ecoute pas et continu d'ecrire des romans si tu aime ca, en tout cas vivmen la suite, encore bravo
Le jour ou j'ai grandit : 15/23 19/03/2009 à 11:33
Salut !
Je continuerait a écrire quoi que vous disiez j'écrit depuis toujours , je le ferait j'usqu'a ma mort ...

Au moins je sait que cela plait a des personnes .

Vous avez tord : La difference est le sel de la vie .

En plus je vous rappelle j'ai commencé cette histoire a 14 ans .


Mais j'aime ce que je fait au moins , j'ecrit ce que je voudrait lire :

une jeune fille qui se trouve banale , qui a perdu son père - le seul etre qui l'aimé au monde ....
une belle mère tyrannique qui passe ces journées a faire du shopping et soudain

Owens Sparks ; le type meme de l'homme parfait : jeune , beau , romantique ( argh!)

Pourtant il a un passé lourd ....


Attention oui l'heroine en ai amoureuse , mais lui ?

Je sait que pleins de gens n'aiment pas les trucs a l'eau de rose , moi la première pourtant , il en ressort du romantisme a chaqe phrase , je déteste les fins baclé ou malheureuse , la je ne sait pas comment sa va ce terminé :

Avis a ceux qui détestent les trucs 'ils s'embrasserent tout en sachant que ce baiser serait le dernier '
fuyez Mauvais ange

Quand a l'orthographe : je vous ai prévenue ! Ma correctrice attitré ne s'occupe que de mes romans de papier , pire , malgrés le fait que je lis énormément l'orthographe ne s'arrange pas !!!
Pour la correction automatique , mouais , malheureusement je suis trés paresseuse ! la plpart du temps je ne fini jamais mes histoires , mais celle ci a une fin ( il me reste deux chapitre a écrire )
Donc si vous n'aimez pas , je ne vous retiens pas Wink
Le jour ou j'ai grandit : 16/23 19/03/2009 à 11:42
Nouveau chapitre : qui s'appelle échec :

Les jours suivirent sans que le mysterieux inconnu ne reviennent .

Bizarrement exaspéré ( parce que j'étais soit disant trop faible pour telephoné avait dit l'infirmière blonde d'une voix mielleuse )

J'attendait pour la première fois de ma vie avec plaisir la visite de ma belle mère parce que j'étais sure qu'elle en saurait plus que moi .

Connaissant son gout immodéré pour la drague et le flirt , il paraissait évident que j'étais sur la touche tant que 'belle maman' été dans les parages .

Le jeudi arriva , je mordillait nerveusement mes lèvres et me redressait pour la cinquième fois quand elle entra .

D'une démarche calquée sur celle de Naomi Campbell et avec toute la classe de Carla bruni , elle s'assit en croisant ses jambes sur le matelas creux .

- Alors sa va ma puce ? , Tu n'as pas trop mal , je suis désolée d'arrivé si tard mais tu sait le medecin n'a pas voulu que je vienne avant alors ...

L'air géné , elle secoua , sa crinière de cheveux - qui je l'avait remarqué été teinte en blond - ce qui ne me surprenait pas .

Elle m'expliqua qu'elle avait finalement choisit cette couleur blonde doré pour ne pas trop faire Nympho .

Je cachai mon dégout en prenant ma tete dans les mains , tandis qu'elle interrompait son monodialogue en demandant d'une voix faussement inquiète si j'avait besoin de quelque chose ( en réalité , elle semblait folle de rage de ne pas pouvoir debattre sur le denier sac chanel qu'elle avait acheté )

- Un peu d'eau , s'il te plait demandai je d'une petite voix .

Elle sembla étonnée de ma soudaine politesse ( j'avait pris l'habitude de ne pas la remercié ) et elle m'apporta un verre d'eau en grimaçant , en voyant une maille de son collant filé dans sa précipitation .

Son tailleur lissé pour caché l'accroc , elle soupira lourdement pendant que je prenait tout mon temps pour boire mon verre .

( en fait je reflichissait au moyen de présenté ma requete )

- Euh , Jacqueline ( j'avait prit l'habitude de l'appelé ainsi bien qu'elle aurait préféré m'entendre l'appelé maman )

- Oui trésor ? demanda t'elle en rebordant mon drap d'un geste impatient .

- Je sait que sa ne me concerne pas , mais comment sa se fait que Mr Spark soit au courant de....( j'hésitai sur les mots ) mon état ?

- Oh tu n'ai donc pas au courant ? L'accident qui a eu lieu sur la route a eu lieu au meme moment que M'r Sparks passait , il a été un des premiers a te secourir ; il a eu tellement peur pour toi ma chérie , le pauvre garçon .

Alors que c'était rigoureusement interdit, elle alluma une cigarette en continuant :

- Lui aussi a eu quelqu'un qui a eu un accident de voiture il y a longtemps , sa petite soeur d'aprés ce qu'on m'a dit ...

- Ah oui ? demandai je en insistant sur les mots .

- Oui , oui Reina Sparks , tuée dans un accident de la route precisa t'elle souriante en me regardant d'un air complice ( qui m'ecoeuré )

N'ai ce pas extraordinaire chérie ? Elle s'appelé Reina comme toi .

Interdite je regardait le parc visible par la fenetre pour caché mon émotion .

- Tu aurait ton portable sur toi ? Demandai je brusquement .

- Oui , mais ..

Je prit l'appareil en appuyant frnénétiquement sur les numéros j'avait eu le temps de l'apprendre par coeur puisque j'avait relu son mot une cinquantaine de fois de suite depuis .

J'attendit le coeur battant ' Mr Sparks est en reunion dit la voix froide et impersonnelle : Désiré vous laissé un message ?

- Non .

Déçue je rendit le portable en affectant la fatigue .

Ce qui n'échappat pas a ma belle mère qui rit dans un gloussement de poule avant de partir dans les aigus :

- Tu l'as deja rencontré , pas vrai ? Voyons ma chèrie il est trop vieux pour toi , il ...

- Silence , je dors sifflai je en cachant ma tete sous l'oreiller blanc .

Le regard de teigne de ma 'pseudo mère 's'eteignit et c'est d'une voix sourde qu'elle me laissa a mon sommeil et a mon échec
Le jour ou j'ai grandit : 17/23 19/03/2009 à 12:01
Rassurez vous j'ai faillit vomir en l'écrivant c'est un peu niais et tragique-comique du coup a la fin j'ai faillit pleuré de rire ...

La si vous détesté 'fleur bleue ' courez aux Wc Mauvais ange

Chapitre 5 ( nouvelle visite )

Je comtemplai le plafond en gémissant , encore ces maudits cauchemars ! .

Au moins la monotonie de mes journées se trouvait désagréablement brisé les reves n'ont pas beau tenir de la réalité j'y croyait au moins .

Aprés le départ de Jaqueline j'avait eu tout le loisir de savourer mon échec .

Non seulement je ne saurait pas quand je reverait 'Owens' mais en plus j'étais confiné dans cette chambre une semaine encore .

D'aprés de récente radio , aucun bobo n'était a déploré je n'était plus dans la 'phase observation' mais plutot dans celle ' guérison' .

Je reprenait des forces avec la nourriture infecte ( puisque dietetique ) que proposé l'hopital , la ou la recommandation ' Mangez 5 fruits et légumes par jour été scrupuleusement suivit a la lettre.

Pour un peu , j'aurait vendu mon ame pour un snikers glacé géant .

Un plat de pate bolognaise aussi pensait je en regardant mon assiette de coquillette 'light' en train de refroidir .

Je reduisit en miettes une partie du repas , mangea le fromage et la petite compote de pomme du desert en quatrième vitesse .

En feignant le sommeil quand l'infirmière chargé des plats repas revint le cherché .

J'aurait aimée pouvoir courir dans le parc de l'hopital , mais sa aussi ce n'était qu'un beau reve ...

Triste a dire mais je bondissait de mon lit dés que quelqu'un se présentait dans ma chambre .

J'usqu'a ce que ....

Owens revienne ....

C'était trois jours aprés sa première visite , il arriva un bouquet de lys a la main .

Qui trouva rapidement sa place attitré l'un dans le bocal prévu a cet effet l'autre a coté de moi sur le lit .

- Comment allez vous ? demande - je la première .

- Bien , il y a pas mal de travail que je doit bouclé dans un delais limité mais sa va .

Il bailla largement , mais je n'y laissa pas prendre la plus grande politesse aurait été que je le renvoie , mais.... non d'un chien j'avait juste un ou deux milliards de questions a lui posé .

- Couché vous a coté moi alors proposai je aimablement en reculant un peu de mon coté .

- Quoi s'offusqu'a t'il en me regardant d'un air bizarre

- Ben oui si vous etes fatigué , moi je me suis deja reposé precisai je un peu géné .

Bon grés , mal grés il obtempera et s'allongea de tout son long sur le lit étroit quand une minute passa en silence et qu'on aurait pu entendre les mouches volé s'il y en avait eu je regardait son visage d'ange endormi .

IL avait l'air crevé , des cernes marqué ses yeux .

J'avait pitié de lui mais en meme temps , je mourrait d'envie de l'embrassé .
( pourquoi j'avait ces idées malsaine dans un hopital ! ? °)
Saisit d'une inspiration , j'inclinait la tetel a laissant reposé contre sa clavicule ( en priant pour qu'il me croit endormie )


Trés vite je me laissait guidé par une envie soudaine de ne plus faire semblant , et la sombré dans le royaume de Morphé .



A mon reveil , je sentais quelque chose tiede et a la fois humide .

J'ouvrit les paupières :
Cela ne pouvait etre qu'un reve , pensait je brusquement devant la vision qui s'offré a moi :
( beurk !)

Il ne dormait plus ses lèvres étaient contre ma joue et des gouttes humides tombaient de son visage en rigole et se perdait dans son pull over noir et mes cheveux .

Il murmura :

- Reina .

- Tout va bien répondit je doucement d'une voix que j'espérait ferme .

- Non , tu es morte . dit sa voix brisé de petit garçon que je découvrait pour la première fois .

- Non , je suis la chut. je posai un doigt sur ses lèvres et retiré mèches a mèches ses cheveux cachant ses yeux .

- Qui es Reina , ta petite soeur ? Demandai je a ses yeux clos

Alors lentement ses lèvres s'ouvrirent pareilles a des pétales de rose s'épanouissant au soleil et il se livra :




suite bientot ...je déteste les coupures mais comme c'est une coupure de deux minutes Wink
Rolling Eyes Embarassed N'empeche je suis super bien la , du coup on va me prendre pour une dingue 'romans 'rose' alors que je suis en fait une une sadique ! bah je me console en me disant que vous aussi vous avait toujours voulu des moments pareils 'avoué ' Mauvais ange
kikou a marianne ,am3 , ...
la prochaine maj sera love , puis la fin beaucoup moins ..
Le jour ou j'ai grandit : 18/23 19/03/2009 à 12:13

( ps je sait que sa belle mère a dit que Reina est sa petite soeur , mais franchement vous l'auriez cru une bonne femme pareille ! ? )

- Oui , finit t'il par avoué en me regardant fixement .
- Je , je ne sait pas quoi te dire bredouillai je en sentant le feu de mes joues ( qui a mon avis devait se voir a des kilomètres a la ronde et proclamé en néons 'bouhbouh , elle est amoureuse de cet homme ! )

- Ne dit rien alors , Reina été ma petite soeur ; elle venait d'avoir seize ans , et m'en voulait mortellement , j'avait cru la protégé , c'était encore une petite fille a mes yeux , alors que pour d'autres 'hommes' ( il cracha se mot presque avec fureur ) , elle représentait un gibier de choix a rajouter a leurs tableau de chasse . Comment Reina aurait pu tombé dans les bras de ses goujats ? Elle si vive si belle , qui riait a en perdre haleine qui semblait etre nait pour etre aimé et non pas se ronger les sangs , perdre l'envie de sourire de rire .

A devenir 'ce' spectre au visage defait sursautant au moindre coup de télèphone que j'avait eu la merveilleuse idée d'en installé la ligne dans chaque pièce de la maison par orgueil comme par vanité , meme .

Il se leva soudainement , les traits torturé par une souffrance que je ne pouvait comprendre , mais ressentir l'étendue de ce chagrin ancien qui ne disparaitrait pas complétement , une blessure purrulante de mauvais souvenirs .

Alors je me levai a sa suite en lui faisant face , sans réfléchir je lui prit ses mains , un peu calleuse entre les miennes, ses ongles portait la marque du chagrin , rongé .

- Tu lui ressemble beaucoup dit sa voix soudainement rauque en regardant d'un drole d'air nos mains unis .

Owens se rapprocha de moi et insctinctivement je fit de meme , jamais mon coeur n'avait battut a une telle vitesse , je pouvait etre sure que lui aussi entendé la chamade du mien penché sur moi de façon a ce que nos corps soit aussi unis qu'ils l'aurait été si la nature l'aurait permis , je goutait a présent la saveur nouvelle de ses lèvres .

J'avait beau savoir que le temps viendrait de mettre fin a ce baiser, , je le repoussait en déployant des trésor d'imagination , resserré ma prise sur son torse , bougé au moment meme ou il semblait vouloir s'arreter .



Malheureusement , il parvint ( je n'eu aucune idée de quelle façon dont il s'y été prit ) il me repoussa doucement , pour mieux m'enlacé l'instant d'aprés son souffle d'homme soulevant mes cheveux .

( note de l'auteur 'je vais dégobillé , j'avait quatorze ans , mais franchement !!!! )


A mon tour de soupiré au moment ou il ouvrit la bouche je sut que c'était peutetre le dernier moment que nous partagions .



- On ne devrait pas , commençat t'il a chuchoté en regardant mal a l'aise , les murs blanc .

- NON je refuse , déclarait je d'une voix forte .

- Quoi ?

Je reconnut la stupefaction dans son ton , je sourit contre ses levres encore empreinte de notre baiser et l'embrassa de toute la passion dont , je pouvait , tachant de lui faire ressentir , - physiquement- parlant ma passion pour lui .


Rolling Eyes Langue qui pend Je vais réellement etre malade .... Very Happy Mais bon , rappel aux auteurs de fictions , ça arrive a tous , mais bon la j'étais vraiment dans la période 'déprime ' pas de copain , donc 'substitution ...

C'est ça le truc génial quand ont écrit ont peut tué tous le monde si on le désire ou les faire vivre 'le happy end de nos reves '
Le jour ou j'ai grandit : 19/23 19/03/2009 à 12:23



Pourtant je savait que cela ne suffirait jamais , trop de différences entre nous :

L'age , le statut social , nous .

Sans un mot il defit la corde de nos mains enlacé , je ne bronchait pas quand il se leva et s'eloigna du lit pour s'installé sur la chaise en bois dur prévu pour les visiteurs .



-Je suis désolée , on ne se connait pas beaucoup je suis trop jeune , tu es adulte responsable et je..... t'aime lançait je de but en blanc en regardant les stores faute de courage .

Il me regarda , pas comme un homme regarde une femme , je l'avait compris bien assez tot il allait me dire que notre baiser été une erreur et qu'il valait mieux oublié tout ça ....parce que je devinait 'tout a présent , pourtant ma decision d'en avoir le coeur net chavira net devant son regard vert vif qui semblait caressé mon visage .

Il été mon astre , je devrait me contenté d'etre une étoile - une etoile filante peutetre , un souvenir qui grossirait les rangs de ses 'sans doute ' nombreuse conquetes ' .

- Tu croit que je ne t'aime pas ? Demanda t'il soudainement .

Mes joues s'empourprerent et je me raclé discretement la gorge -génée -, il en profita et prit mes mains dans les siennes .

Quiconque aurait agit de tel manière en aurait souffert l'instant d'aprés d'un cuisant souvenir - j'avait prit quelques leçons de boxe avec mon père , pas de quoi devenir championne , mais assez pour me defendre contre les garçons trop entreprenants .
Devrait je l'utilisé sur lui ?

Sauf que c'était lui , l'exception , le seul qu'il comptat assez pour que j'oublie le triste sort qui m'attendait sans lui - mon repére .



- Je suis désolé , je ne voulait que tu en vienne a des conclusions hatives , - tu es comme , comme 'elle balbutia t'il .

Il s'affaissat sur mes genoux et pleura - du moins je le crus - parce que l'instant d'aprés il avait les yeux aussi secs que d'habitude , c'était moi qui devait contenir mes larmes a présent .

- Un jour , je t'aimerait - je t'en fait le serment me jura t'il sur un ton desepéré .



Sauf que moi je n'en pouvait plus :

- Je ne sait pas , peutetre si tu m'aime vraiment - dans ce cas ' je soulignait ce mot en ayant l'impression d'etre une de ses crétines dans un telefilm debile a l'eau de rose , tu pourra m'attendre quand j'aurait , dix huit ans la on pourra....

-D'ici la ...chuchota t'il

- Tu devra te contenté de gardé le secret , ne plus me voir , ni ne me telephoné ni énonçait je en sentant un etau se resserré dans mon coeur .

- Ne plus t'aimé ? T'effacé de ma mémoire cracha t'il comme une insulte se levant brusquement .

- Tu aimes ta soeur , je suis 'elle' c'est la seule chose que je peux te refusé et que tu as demandé expliquai je appréhendant sa réponse .

- Tu croit que je l'aimé tout court ? dit t'il en s'accoudant a la fenetre les yeux vrillé sur un point a coté de moi .

- Je ne sait pas - tu es si , non je ne peux pas , pourquoi nous devrions oh je suis perdue !

Cette fois je pleurniché pour de bon .

Un long moment passa avant que je sente son torse

contre moi .

Nos jambes se chevauché presque une position erotique - dans n'importe quel lieu ou personne differente , or nous n'étions pas ces personnes .

Nos respirations se rejoignirent une derniere fois , pour un dernier adieu .

Je sentait mon coeur se fissuré , ma vue se brouillé , une sensation de lourdeur qui tapait avec la force d'un marteau piqueur sur mon crane ...

- Qu'est ce que ...

Mes levres n'obeirent pas a mon cerveau dans un terrible efort , je forçait mes yeux a se rouvrir -bizarrement les tenir longtemps ouvert me semblait difficile voir impossible .

Le regard d'owen c'était ces meme yeux d'il y a un quart d'heure ?

J'en gardait un souvenir net - la douceur de ses prunelles , la sincerité du seduisant propriètaire auxquelles il appartenait .

Un tigre de bengale - sauvage - entété aurait semblé plus doux que son expression dure - calculatrice qui verifié un objet transparent anormalement pointu , vide ...

je reconnut la l'aiguille d'une seringue , avant que la implacable vérité ne m'apparut , je cédé au néant ...

- Pourquoi ? POURQUOI ? Je connaissait l'affreuse réalité , la vraie :

Il ne m'avait jamais aimé , j'étais une pale copie de celle qui avait choyé , protégé ......




Note de l'auteur : ceci n'ai pas la fin plus que deux chapitres , j'adore

Coeur etre sadique , vous croyez voir le denouement heureux , non car ce qui me différencie c'est que je ne perd jamais la réalité des yeux , quand Owens devient un dangeraux psychopathe j'adore !! mais rassurez vous il reste toujours la redemption ...
Le jour ou j'ai grandit : 20/23 19/03/2009 à 13:32
Chapitre 6 ( avant dernier )

Note de l'auteur : J'ai la fin en tete , mais j'ai la conclusion a vous faire part :

Ne vous fiiez jamais aux apparences , qu'un homme soit beau , gentil , généreux , tendre , fidèle .

Peut se révélé le pire des serials killer , j'adore mon heroine , mais a travers cette histoire , il faut reconnaitre que malgrés vos méfiances , ce n'ai jamais suffisant .

Vous trouvez mon héroine stupide ?

Vous avez raison , une stupide fille qui révé d'amour , de sincérité , au fond de reconnaissance ....dont la seule faute et de porté un prénom évocateur , d'etre un ange ...

voici la suite ....

Mauvais ange



Un , deux , trois !!
Mes yeux se sont ouverts ..
Je le regretté a présent ...
Maintenant je prenait conscience des liens qui entravé mes poignets ...
Ma prison m'apparaissait comme Owens m'avait paru au premier abord :

Les boiseries sombres de la pièce étaient presque entierement dissimulé derrière un élègant canapé crème , un splendide piano a queue de pie , le feu qui ronronné dans la cheminé n'arrivait pas réchauffé mes membres gelé ..

Au moins les murs offrait une vue interressante sur les obsessions de leur propriétaire :

Sur tous les portraits : une petite fille souriait :
Je devinait -malgrés mes maigres connaissance en la matière - :
Qu'elle était jolie , et encore ce mot été un éphemisme
Son visage été doux , un ovale parfait encadré d'une chevelure blond foncé ..
Ses yeux , nos yeux , avait la meme couleur identique : cannelle
Elle arborait un sourire rayonnant de vie .
Au fur et a mesure que la petite fille grandissait , on aperçevait une gravité nouvelle dur ..
Sur les dernières esquisse ou elle devait avoir a peu prés mon age -soit quatorze ans- , son sourire semblait fané - forcé .

En compagnie de son grand frere qui ne devait pas avoir plus de dix sept , dix huit ans ,

Lui aussi je ne le retrouvait pas , son geste qui pouvait passé pour fraternel - enlaçant les épaules de sa soeur , son regard ne regardait pas directement l'objectif - il semblait le traversé - oui deja a cette époque Owens été adulte - posé , calculateur .(.je grelottait en le constatant ) :
machiavelique .

************************************************************

Le temps , vous ne pouvez pas imaginez la valeur du temps en étant seule , enfermé , terrorisé ...

Comment les gens pouvaient t'ils se croire tellement important la haut ?

J'attendait la mort ..

Je 'l'entendait ' presque venir a grands pas .

Je ne pouvait fermé les yeux : c'était trop tard ...

Il était la devant moi , les yeux fixé sur moi pareil a ceux de la photo :
envieux , décidé , fou presque .

Malgrés moi , mon rythme cardiaque s'accelera :

Il tenait pas d'arme ...j'aurait préféré ....

Cela aurait clair , propre , limpide dans mon imagination ..

J'usqu'a ce que je remarque dans sa main droite :

Une seringue .

Owens s'approcha de moi , faisant claqué une paire de gants en plastique blanc .


J'avait deja envie de vomir ..

Je me débattu comme une mouche prise dans le filet d'une araigné..

Dans ma tete tout été brouillé , j'ouvrit la bouche pour hurlé .je ne pouvait pas ..


Pourquoi ?

Je retentait l'experience a nouveau ....

Impossible .

Mon bourreau me regarda calmement , posa ses doigts dans un geste tendre sur ses propres lèvres et fit un mouvement qui me fit comprendre que plus jamais je ne pourrait chanté , rire , murmuré , me disputé avec ma belle mère , inventé une excuse quand j'avait oublié de faire un devoir en classe .

J'était muette pour l'eternité .


Plus rien .

Pas un son , un liquide transparent jaillit de ll'embout et m'éclaboussa .

Au meme moment quelque chose éclata dans la pièce : un bruit sourd, des voix d'hommes :


- Vous etes en état d'arrestation , vous avait le droit de gardé le silence tout ce que vous diré pourra etre retenu ....
Je n'en entendit pas plus , je perdit connaissance , pourtant je savait maintenant que de ce sommeil la je me reveillerait ...


Voila : Note de l'auteur tout a l'heure l'épilogue ..

J'espère que quelques personnes apprécieront a sa juste valeur cette ' demi fin ' vous verrez Reina une dernière fois ...mais Owens plus jamais ..vous aurait de ces nouvelles c'est tout ..


H.D











Recommande ce site a tes ami(e)s | Aller en haut

Partenaires : Énigmes en ligne