De retour, je vais vous rédiger une note explicative sur la rébellion, la révolte, la musique et le capitalisme.
La rébellion que pratique angelrock correspond à une prétendue connaissance et à un désir d'autorité sur ce que doit être le bon rock contre la merde. Sur ce qu'est un vrai rockeur contre un pauvre con mercantile. Parallèle très méchant et déplacé>Hitler définissait ce que devait être le bon Allemand et s'est cru investi de l'autorité morale pour le définir et le sélectionner.<En vertu de cette rébellion, seul ce qui ne passe pas à la radio n'est pas mercantile, car ce n'est pas super connu et super médiatisé. Un geroupe qui agit ainsi ayant de fortes chances de se planter, il finira dans un triste bureau de fonctionnaire banal et ne jouera plus de musique. Il sera devenu productif et fera marcher l'entreprise France en ne jouant pas de musique. La rébellion d'angelrock est celle rêvée par le Baron et par Mme Parisot. Celle du productivisme et de l'efficacité sans apport extérieur de facteur dérangeant comme la musique.
Le mouv' en diffusant des groupes plus ou moins connus, et en lançant de jeunes talents, contribue à exciter la curiosité pour des groupes y compris qu'il ne diffuse pas. En cela, poasser le plus mercantile des groupes pourris est un acte de soutien pour les inconnus, car leur curiosité excitée et leurs sens en éveil, les amateurs de rock seront capables de recherchzer hors du mouv' des bons groupes.
Voilà mon point de vue, qui manifestement diffère de celui de l'autre capitaliste là, angelfuck ou @meset c'ewst ça?