Lettre à rêves

Quel âge avez-vous ?

Moins de 18 ans

18 ans ou plus

ValentinEden   Lettre à rêves 2 16/03/09 à 12:00

Ce soir, c'est ce soir ou jamais. Je pars, jamais je ne reviendrai. J'aurais pu, comme un château hanté, chercher ce qui m'eut, ici-bas poussé :

" J'en fais des rêves, j'en cauchemarde, j'en suis bouleversé, je t'aime. Ils sont des heures, des où oui, dans les rêves l'abstraction se meure, et la vie comme un cri, arrive me prendre aux entrailles, vient m'arracher le coeur, elle me réveille, je pleure. "

Et je me tourne, je retourne. Dans tous les sens, l'essence. Désaxés, comme une pièce manquée.


D'après vous, est-ce que cela vaut le coup de continuer ?

Lettre à rêves 1/2 16/03/2009 à 12:20
Par où commencer ?
Bah écoute, quand on lit, on a l'impression que t'as assemblé pleins de mots que tu devais trouver joli, juste comme ça, de manière aléatoire. Au final ça ne veut rien dire.
Et puis bon, moi ce genre de textes, même bien écrits, je trouve ça un peu chiant, ça c'est mon avis et c'est très subjectif.
Plus objectivement, ça part dans tous les sens, ça ne veut rien dire, on ne comprends pas, et au final, on ne sait pas à quoi ça mène.
" Ils sont des heures" ---> pas français
"J'aurais pu, comme un château hanté, chercher ce qui m'eut, ici-bas poussé " ---> je n'ai pas bien saisi en quoi un chateau hanté cherche ce qui l'a poussé ici bas, bon, admettons.
"Dans tous les sens, l'essence. Désaxés, comme une pièce manquée" ---> bon bah pareil, ça veut rien dire, désolée.
C'était un petit florilège, ya du boulot.
Lettre à rêves 2/2 16/03/2009 à 12:32
Effectivement, pour une personne qui lit ça sans être dans ma tête, c'est incompréhensible (comme voir HP 5 en film sans en avoir lu le livre).
Pour moi, ce ne sont pas que des mots qui sont jolis et assemblés de manière aléatoire, ce sont des mots sensés et qui, assemblés, forment quelque chose de cohérent. Seulement pour moi, donc.
Allez, viens dans ma tête, tu verras, c'est chouette.
Non, je vais t'expliquer où je voulais en venir :

Je fais souvent des rêves où la mort frappe l'entourage d'une personne à laquelle je tiens, où cette personne se fait (faire) du mal, je la défends, je dois en prendre soin. J'espère que tu me suis jusque là déjà. Et en me réveillant, je réalise que ce rêve m'a pris aux entrailles, j'en suis bouleveersé, et c'est une sensation, finalement, des plus merveilleuses, car j'étais utile dans ce rêve. Et j'aimerai rejoindre donc ce rêve, y vivre à jamais, même si je ne vois pas ce qui m'a poussé à rêver ça.

Merci d'avoir lu, j'espère que tu y vois un peu plus clair, même si, je l'admets, ce n'était pas forcément le vocabulaire à utiliser.
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