Moins de 18 ans
18 ans ou plus
Sleepless | Je ne suis rien sans toi - Lettre/forme | 1 | 01/08/08 à 01:23 |
Petite chose que j'avais écrit, je croyais que ça serait cool de le partager.
Aimez-aimez pas.
Qu’est-ce que c’est? N’est-ce que quelque baiser, n’est-ce que quelques fleurs?
Pardonner. Aimer, est-ce que quelqu’un a pu s’exprimer? Est-ce un aussi bon sentiment que l’on voudrait imaginer? Qu’est-ce que ce sentiment que tous voudrait partager? Je ne comprends pas.
Beaucoup de complications. Beaucoup de questions et de doutes m’envahis.
J’ai peur d’aimer. J’ai peur de trop aimer. J’ai peur de lui dire, même si je sais que je n’ai rien à cacher. Je suis sienne, et il est mien… Mais pourtant…
Ce sentiment est si controversé. Il amène bien des émotions. Bien des regrets et des peines. Bien des joies et des sourires. Comment le comprendre? Comment pouvoir l’employer à sa juste valeur sans avoir peur de perdre?
J’ai peur. Et je ne sais que je ne devrais pas.
Car quand tu pars, je pleure. Je pleure car tu me manques. Car je rêve de te sentir près de moi. Je ne suis rien sans toi. Est-ce que c’est de même pour toi?
Est-ce que toi aussi, tu ressens ça? Tu es plus que mon amour, tu es mon ange.
Tu es mon tout, celui qui me complète.
T’énerves-je?
Est-ce que mes défauts sont une ultime barrière à notre amour de se concrétiser? Regarde-moi, oh, je t’en prie.
Suis-je quelque chose pour toi?
Je t’en prie, sois honnête avec moi.
Je te lis. Je connais tes expressions.
Je sais quand tu es nerveux. Quand tu as peur et que tu as besoin de moi.
Est-ce que c’est assez quand je te prends dans mes bras? Est-ce que tu es bien? Est-ce que tu te sens bien quand je te dis que ça va aller? Que je suis là, et que tu ne seras plus jamais seul? Est-ce que ça te fait du bien?
Où tu utilises cette tendresse que je te donne pour te protéger?
M’aimes-tu comme je t’aime?
M’aimes-tu comme je t’aime?…
Est-ce que toi aussi, tu crierais à tout tête combien tu m’aimes?
Parce que je le ferais. Je suis si fière que tu sois près de moi. Que tu m’aimes.
Mais est-ce assez? Est-ce que c’est autant… Je ne sais pas ?
Est-ce que je devrais m’en faire?
Je n’en sais pas plus que toi. Je m’inquiète pour rien. Je capote pour des sottises. J’ai si peur de te perdre. Je ne le répéterai jamais assez. C’est trop vrai.
Je ne suis rien sans toi.
Je ne suis rien sans toi - Lettre/forme | 1/1 | 01/08/2008 à 09:08 |