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tommymetale |
life |
7 |
20/09/06 à 21:23 |
Dans cette salle grande, triste et sombre, qui n’avait pas de meuble, où les murs étaient vert pale et où le sol était froid, où le carlage était blanc et glissant, on entendait les cris d’une femme, elle était allongée sur un lit. Elle était blonde, grande et très belle, à côté d’elle, il y avait un homme, grand, cheveux brun, carrure imposante.
Les cris de la femme s’intensifié son cœur battait de plus en plus fort, son marie lui tenait sa main en sueur. Le dr. a pris dans sa main une toute petite chose, un bébé, la femme venait d’accouché d’un garçon.
Elle regarda son bébé et lui murmura :
-Bienvenu au monde Loïc Richard Strague.
-Salut fils. Lui dit son père
-Il a t’ais yeux. Lui dit Maria sa femme.
-Oui. Dit Redmond le père de l’enfant
Deux jours suivis, notre petit Loïc monta dans la voiture de son père, elle était rouge de la marque Renaud. Ils le mirent dans la voiture, l’attachèrent et rentrèrent chez eus. Ils habitaient dans un petit quartier de Brest qui s’appelait Bellevue. Dans ce quartier ils y avaient beaucoup de magasins, le plus grand était le centre commercial du quartier, ils y avaient des bars délabrés, des grands immeubles, et des quartiers. Les parents de Loïc habitait dans le quartier de Champagne, en face du centre commercial il y avait le quartier Kergoat le plus pauvre des quartier de Bellevue ils y avaient de vieux immeubles, les gens qu’y habitait la étaient bizarre certain étaient des alcooliques, d’autre des drogué et ils y avaient des pauvres.
Le quartier de Champagne était grand, somptueux et très riches. Les enfants jouaient au foot toute la journée.
Les parents de Loïc habitaient à 35 rue de Champagne au dernier étage. Dans la maison, ils y avaient 8 pièces : le salon où ils y avaient une table basse et 2 canapés. Une cuisine avec une table et 4 chaises, des meubles. Le couloir qui traversé tout l’appartement. La chambre des parents était grandes avec
Une tapisserie pourpre, un grand lit, une télé, et un réveil. La chambre de Loïc était petite avec une tapisserie bleue, il y avait un berceau et des joués, les autres pièces étaient une sal de bain, un cellier et des toilettes.
-quelle journée ! Dit Maria et se mouchant.
-Ouai ces super, on forme une vrai famille. Dit Redmond, la plus belle du monde entier. Et le couple s’embrassa.
Le couple vivait des jours malheureux Redmond travaillait comme chauffeur de bus et sa femme Maria était femme au foyer. Loïc avait 10 ans, il avait les cheveux brun et les yeux bleus, il était de grande taille, il travaillait bien à l’école, avait des amis. Il était heureux.
Son père avait un grave défaut : comme il gagné beaucoup d’argent il l’es dépensés en alcool et en jeu, il en donnait peu à sa femme, donc elle pouvait rien acheter pour nourrir sa famille. Chaque soir Redmond rentrait soul de son travaille. Le couple se disputait, sa finissait soit en pleur ou en bagarres et Loïc pleurait durant ces disputes interminable.
Comme ses parents se disputaient, il ne voulait pas les ressembler plus tard, il jura :
-Jamais je ne boirai, jamais je ne me droguerai, et il finis en disant, Et je gagnerai bien ma vie, je te le promets Dieu. Et il alla dans sa chambre dormir.
Trois ans suivis, Loïc a 13 ans il est en 4eme au collège de Keralé, il a des amis qui sont violents, il a de mauvais résultas scolaires et malgré la promesse qu’il a fait, il suit ses amis dans l’alcool et la drogue. Sa mer est morte de raison
inconnue. Son père et lui vivent à Kergoat, tout son avenir à changer, il vient de la gâcher. Il vole, il fume, il fait comme ses amis.
Un soir de novembre, il se rent avec ses copain au centre commercial avec des armes factifs, ils décident de faire une blague en faisant un faux cambriolage.
-Sa vas être la plus bon tripe de toute not’ vie les mec. Dit Abdou un ami à Loïc. Abdou était grand aux yeux marron et aux cheveux court et noir.
-Ta raison Abdou. Dit Loïc.
-Ils vont faire dans leur froque les cons. Dit un autre jeune.
-Faites gaffe aux vigiles. Dit Abdou.
-Ok. Dit Loïc.
Ils rentrèrent dans le centre commercial discrètement, ils avancèrent dans les rayons, ils évitèrent les vigiles.
-A trois on saute sur la veille, on prend son sac, elle gueule et on sort nos gun ok ? Dit Abdou.
-Ok ! Disent les autres.
-On y va ! Dit Abdou.
Ils se lancèrent sur la vieille femme, lui volèrent son sac, et la prirent en otage.
-les keufs !!! Merde !!!! Vite cassons nous !!! Dit Loïc, mais trop tard les vigiles les prirent par surprise et ils furent en mené commissariat.
Le commissariat était grand, il y avait des policier partout et 3 cellules
-Vous êtes content de vous ? Dit un policier, si vous aviez 16 ans vous serez en tole p’tits brenleurs !
- Tu ne vas pas te la ramener toi ! Dit Abdou.
-Toi le magrébin tu va t’excusé toute de suite !
-Plus tôt crevé que m’excusé ! Dit Abdou.
-Je vais appeler vos parents et sa va chauffé pour vos matricules ! Dit le policier.
-Mon père va venir bourré. Dit Loïc.
Deux heurs plus tard, son père arriva, le ramena, ils eurent une discutions dans la voiture.
-Tu es content de se que tu as fait ? Lui dit son père.
-A ton avie. Dit Loïc
-T’es content.
-Ouai.
-Tu as intérêt à arrêter tes conneries, lui dit son père, t’as entendue ?
-ouai !
-Tu me répond pas comme sa ! Dit son père.
-C’est s’que tu dit quand t’es bourré.
-T’es comme ta mère.
-Elle ! Elle s’occupé de moi !
-C’était une traîné Ta mère ! Une pute ! Lui répondit son père.
-T’es qu’un con ! Tu n’as aucun respect pour ma mère ! Dit Loïc.
-Chuit bien cotent qu’elle soit morte ta mère !
-Quand je pense que tu la frappais à coup de bouteille ! Dit Loïc, t’es qu’un lâche !
-Je l’ai …non rien. Dit son père
-Tu l’as quoi ? Se demanda Loïc.
-rien, rien ! répondit son père, pardon, pardonne moi
-Je ne te pardonne pas. Termina Loïc.
Et ils se turent tout les deux.
-Redmond.
-Papa, interrompu Redmond, quoi ?
- Ta tué maman.
Redmond se leva et prit sa bouteille de wiski de sa marque préférer le black and White, et il dit,
-Ok, bon, il but une gorgée, c’était le 25 novembre 1996, je rentrait de mon boulot soul et quand je suis rentré ta mère se tenait devant moi, je luis est dit, il but une gorgé,
-Qu’est tu a à me regardé comme sa sal radasse ? Elle m’a dit, il but une gorgé.
-Profite de ta dernière bouteille, et j’lui est répondu.
-Quoi ? Tu veux des tunes ? Elle me dit,
-On n’a pas mangé depuis 4 jours parce que mon connard de mari ne fait que se soulé jour et nuit et qu’il ne pense pas à sa famille !
-Tagueul ! C’est moi le chef et tu va t’en prendre une petite salope ! Et je l’ai frappait et par ma surprise elle avait riposté.
-C’est la dernière foi que je te laisse me frappé, et la prochaine foi que tu le feras, j’te tus, ta compris ? Et je lui est dis.
-A ouai, fait tes prière tu va rejoindre ton Dieu.
-Allé viens jt’attend, j’en rêve chaque nuit car tes pas capable de gonflé ta p’tite queux pour me faire jouir !
-Crève, et je l’es frappé à coup de bouteille plusieurs foi et elle est morte.
Loïc était bouche baie devant ce qu’il venait d’apprendre, il était pale, les yeux sans expression presque en larme. Il dit à son père
-Tu es un monstre, tu me la caché et tu ause après se que ta fait de l’insulté.
-Quand !?
-Quand je parle d’elle
-Je l’admets, dit son père déçut.
-Il est trop tard pour l’admettre, dit son fils.
Il eut un grand moment de silence. Son père se leva, prit un couteau et il dit
-A toi de mourir fils.
-Tu veux un autre mort sur la conscience ? Dit Loïc avec une voix douce et légère
-Crève !
-Tu es horrible ! Ta femme et maintenant ton fils ! Tu me fais vomir ! Dit Loïc.
-Tagueul ! Tagueul ! Tagueul ! Tagueul ! Tagueul !
-Vis y ! Allé ! Qu’est t’attend ? Dit Loïc.
Mais Loïc avait lus dans les yeux de son père que il allai le faire, alors il prit discrètement la bouteille de wiski de son père et le frappas de toutes ses forces avec la bouteille.
-Haaaaaaaaaaaa !!!!!!!!!!!!! Putain tu vas me le payer !
Loïc prit le couteau de son père et s’en alla, avant d’ouvrir la porte d’entrée de son appartement il dit à son père
-Redmond, on aurait pus être une vrai famille si t’avait jamais
but, et il partit.
Loïc alla à une cabine téléphonique et appela la police, il leur dit
-Bonjour pouvez-vous venir vite !
-Qu’est se qu’il se passe ? Demandas le policier.
-Venez toute de suite ! Criat Loïc.
La police arrivat quelque minute plus tard, le policier demanda à Loïc se qu’il c’était passé, il lui répondit que son père lui avait avoué qu’il avait tué sa mer et que son père, ensuite, essaya de le tué mais il a dit qu’il a été plus rapide que lui et qu’il le blessa à coup de bouteille de wiski.
Le père de Loïc a été arrêté et l’affaire du meurtre de sa mère a été reprit car maintenant il y a un témoin auditif qu’y est Loïc.
La sal où avait eut lues le procès était très grande, il y avait plein de tableau au thème de la justice, la tapisserie était marron, il y avait plein de sièges, il y avait des avocats, des juges et des personnes de la famille de Loïc. La juge qui était assis au milieu se leva, elle était grande et elle avait les cheveux blancs et les yeux marron, et elle dit
-Bonjour, et essayez vous. Tout le monde s’assit, puis elle dit
La juré voudrait entendre l’accusé. C’était le père de Loïc l’accusé. Il n’avait pas pris d’avocat. La juge demanda au père de Loïc,
-Qu’avait vous à dire pour votre défense ? Il eut un grand moment de silence puis Redmond pris la poral,
-Je suis coupable du meurtre de Maria Strague et de la tentative de meurtre de Loïc Strague.
La juge fit les grands yeux, puis Redmond regardat son fils et lui dit
-Loïc pourras-tu me pardonné un jour ? Loïc lui répondit,
Non.
Et le juré prononça son jerdicte en disant qu’il était du meurtre Maria Strague et de tentative de meurtre Loïc Strague et qu’il était conmdané à 50 de prison ferme.
Maintenant Loïc après avoir vécus pendant 5 ans chez la famille Duple sa famille d’accueille qu’il a quitté à sa majorité. A 20 ans, il a un travaille, il travaille comme soudeur dans une entreprise de machine à laver.
Un jour, il alla chez le médecin pour ses problèmes respiratoires, il entra dans le cabinet médical on lui faisa des analyses, des exercices respiratoire, à la fin de ces analyses, le docteur lui dit :
-Vous avez les poumons qui sont bouchés par une couche noire de butane.
-Ce qu’il y a dans les cigarettes ? Demandas Loïc.
-oui, et qu’il y a dans certaines drogue, répondu le docteur, c’est très dangereux, sa peux se boucher, et on peux en mourir soit de crise cardiaque ou d’étouffements.
-d’accord.
-donc je vous conseil de ne plus consumé de tabac ou de prendre n’importe qu’elle drogue.
-oui docteur, dit Loïc, il se leva, prit son manteau et avant de sortir du cabinet le docteur lui demanda
-Es que vous vous drogué ? Et si vous voulez plus d’information allez voir un pneumologue
Loïc ne répondit pas et sortit se la pièce.
Il alla dans son appartement et réfléchit à son problème, il se dit si il pourrai dire non à sa drogue, qu’es se qu’il lui arriverait si il n’en sépare pas de sa drogue, mais il ne peux ignorer la douleur se son passé.
-Pourquoi moi ? Pourquoi moi Dieu ? Répond moi ! Exclama Loïc, aide-moi ! Je t’en suplis ! Je ne veux pas mourir ! Loïc attendait une réponse, après quelques minutes d’attente, il renonça à la foi qu’il l’avait quitté bien avant.
Quelques semaines passèrent sans que Loïc touche à la drogue, il était bien, plus de douleurs, il avait une grande forme, il aurait put mourir si il n’avait pas renonçait à la drogue.
Dix ans passèrent depuis cette période, Loïc a une femme et un enfant, il protège son enfant de tous se qui est drogue et alcool, en lui racontant ses histoires comme le soir ou il c’était battu dans un bar et avait envoyé un de ses amis à l’hôpital ou sa période délinquant ou bien le soir où il a eut un coma à cause de l’alcool dans une discothèque… il lui disait tous, il a nullement mentionné l’existence de son grand-père paternel, bref, il vivait des jours heureux.
Tout allait bien mais c’était une période de très courte duré, il avait beau être heureux, mais de l’argent il en avait peux alors sa femme le quitta pour un homme qui est plus riche et qui a un meilleur métier.
Il n’a pas supporté cette rupture il resta enfermé plusieurs jours, sa voisine trouvé sa bizarre, elle avait bot sonné sa ne répondait pas, alors elle demanda à son mari de défoncer la porte, quand cela fut fait, ils trouvèrent le cadavre de Loïc avec un sachet de cocaïne qu’il avait gardé car si un jour l’envie était trop forte, il en déduire qu’il est mort d’overdose.
On trouva aussi une lettre qui était la confession de Loïc où il était écrit :
Loïc Strague, Brest, le 5 décembre 2006
8 rue de Siam,
29600 Brest
Que celui qui trouve cette lettre la face passé à la famille Strague, j’écrit cette lettre pour demandé pardon des erreurs que j’ai faite dans mon passé, d’avoir été un drogué, d’avoir été un délinquant…
Papa quand tu lira cette lettre, je pense que tu auras un énorme soulagement d’apprendre que je te pardonne de se que ta fait dans le passé et que je t’aime et que je t’attend au ciel avec maman.
Fils tu viens d’apprendre une chose que je t’es caché depuis ta naissance, sache que je n’es jamais oublié ta venus au monde et voici le secret : tu as un grand père qui s’appelle Redmond mais je t’en dit pas plus.
Je vous aime ma famille, je vous attends au paradis.
Loïc
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1/7 |
20/09/2006 à 21:25 |
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2/7 |
14/07/2012 à 01:24 |
Je l'ai lu =D ! C'est écrit avec plein de fautes, il y a un énorme manque de réalisme, on ne s'attache pas du tout au personnage qui est beaucoup trop tragique. Cependant, c'est à mourir de rire, j'ai adoré xD !!!
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3/7 |
14/07/2012 à 01:29 |
Et j'ai oublié de préciser, âme sensible, s'abstenir
. Le langage utilisé est grossier
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4/7 |
14/07/2012 à 02:08 |
Je pensais que ça parlerait de Life, de Keith Richards. Ben non, déception.
Pas grand chose à dire, si ce n'est que c'est bourré de fautes d'orthographe, mal écrit, avec une histoire un peu branlante et un personnage peu attachant.
life |
5/7 |
14/07/2012 à 02:17 |
J'espère qu'une maison d'édition se balade sur SE et qu'elle remarquera ce chef-d'oeuvre. Si si, sérieusement. Mais bon, si c'est une histoire branlante, ça fera au moins plaisir à quelques personnes.
life |
6/7 |
31/07/2012 à 17:27 |
Moi j'ai bien aimé!
C'est vrai qu'on ne s'attache pas au personnage et que tu fais beaucoup de fautes mais l'histoire est intéressante et tu écris dans un bon style pas beaucoup de personnes y arrivent.
life |
7/7 |
31/07/2012 à 18:00 |
Je me suis arrêtée à "-Il a t’ais yeux."
Peut-être que je tenterai une prochaine fois...