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Masturbation et adiction.
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CDeX   |
Masturbation et adiction. | 14 | 30/09/12 à 11:57 |
Bonjour j'aimerais partager un avis avec vous quand a la masturbation, en particulier chez les mecs, mais egalement chez les filles.
Il est dit que les garçons se masturbe beaucoup, on ne peut pas vraiment tergiversé sur le sujet vu que bigbrother n'est pas parmi nous ^^'
Je me demande si ce masturber régulièrement, tous les jours voir plusieurs fois par jours est quelque chose de mal. Je m'explique.
Le sexe produit clairement une dépendance, que se soit seul ou a deux. Dépendance accrue, il faut le dire, par la faciliter a l’accès de site .... qui pourraient aider on va dire. Mais est-ce que cette dépendance est malsaine ?
Pour sur c'est peu-être pas très "classe" mais est-ce se sera pas toujours mieux que la boisson ou la cigarette et je ne sais quelle drogue encore ? Le jeux vidéo pourrai être mis sur le même débat.
Désolé si mon exposé est un peu chaotique, mais j'aimerais avoir votre avis sur le sujet : que pensez vous de la masturbation quotidienne.
Merci pour vos réponse, en espérant que le sujet sera pris au sérieux.
| Masturbation et adiction. | 1/14 | 30/09/2012 à 11:59 |
je sais que d'un point de vu chrétien, c'est pas top mais si c'est pire que les jeux ou cigarette je sais pas
bien à toi
bien à toi
| Masturbation et adiction. | 2/14 | 30/09/2012 à 12:53 |
On peut aussi ramener le débat sur celui qui polish sa caisse tous les jours.
L'addiction au lavage des mains.
L'addiction à la propreté.
L'addiction à être sociable...
Tout dépend de comment tu le vie personnellement, c'est sur que si tu te reproches ton addiction sans pouvoir la stopper c'est grave. Sinon passe par le sevrage ;)
Ou va voir un centre d’addictologie, et demande leurs de t'expliquer ce qu'il en pense
Mazhe
L'addiction au lavage des mains.
L'addiction à la propreté.
L'addiction à être sociable...
Tout dépend de comment tu le vie personnellement, c'est sur que si tu te reproches ton addiction sans pouvoir la stopper c'est grave. Sinon passe par le sevrage ;)
Ou va voir un centre d’addictologie, et demande leurs de t'expliquer ce qu'il en pense
Mazhe
| Masturbation et adiction. | 3/14 | 30/09/2012 à 13:25 |
Perso je me masturbais tous les jours à un moment.. pendant 2 mois. Donc je me suis un peu dégoûté moi même en fait, je trouvais sa un peu chelou.. Et c'est parti finalement tout seul.
| Masturbation et adiction. | 4/14 | 30/09/2012 à 13:45 |
Je me demande si on peut vraiment parler d'addiction. Bon bien sûr dans certains cas ça le devient, mais j'pense que la plus part du temps c'est plus une habitude.
Tant que t'arrives à te détacher de ton habitude, c'pas ce que j'appelle de l'addiction.
Pour donner un exemple, l'année dernière, dans une conversation idiote et sans fond, j'en étais venue à dire à un pote "Ben arrêtes de te masturber pendant une semaine, tu verras bien.". Il m'a regardée bizarrement en me disant "Mais... C'est pas possible."
Bah finalement, deux semaines plus tard, il a cessé pendant 40 jours pour le carême, (presque) sans aucune difficulté.
Du coup on peut dire que c'était juste une simple habitude... même s'il avait l'air de penser que c'était plus que ça.
Bref. En soi j'trouve que la dépendence c'est malsaint. Que ce soit celle ci ou une autre. Mais on va pas épiloguer.
Pour le coup, si on parle simplement d'habitudes, c'est pas comme l'alcool par exemple, qui représente un certain danger pour la santé.
Donc j'vois pas ce que ça a de mal tant que ça devient pas une réelle addiction.
Après chacun son truc ._.
Tant que t'arrives à te détacher de ton habitude, c'pas ce que j'appelle de l'addiction.
Pour donner un exemple, l'année dernière, dans une conversation idiote et sans fond, j'en étais venue à dire à un pote "Ben arrêtes de te masturber pendant une semaine, tu verras bien.". Il m'a regardée bizarrement en me disant "Mais... C'est pas possible."
Bah finalement, deux semaines plus tard, il a cessé pendant 40 jours pour le carême, (presque) sans aucune difficulté.
Du coup on peut dire que c'était juste une simple habitude... même s'il avait l'air de penser que c'était plus que ça.
Bref. En soi j'trouve que la dépendence c'est malsaint. Que ce soit celle ci ou une autre. Mais on va pas épiloguer.
Pour le coup, si on parle simplement d'habitudes, c'est pas comme l'alcool par exemple, qui représente un certain danger pour la santé.
Donc j'vois pas ce que ça a de mal tant que ça devient pas une réelle addiction.
Après chacun son truc ._.
| Masturbation et adiction. | 5/14 | 30/09/2012 à 14:45 |
Clo_rophyll : justement c'est ce que je me demandait; dans le cas ou ça devient une sorte d'addiction, une habitude un peu trop envahissante on pourrai dire aussi. Est-ce que se serai vraiment mal dans la mesure ou ça n'impacte pas la santé y la vie sociale ( à priori o_O ) ?
| Masturbation et adiction. | 6/14 | 30/09/2012 à 15:13 |
C'est sûr que ça impacte pas trop sur le reste de la vie, mais si c'est une réelle addiction et que la personne en question peut pas s'en passer, même une journée, voilà quoi, c'est pas supergigatropcool.
| Masturbation et adiction. | 7/14 | 30/09/2012 à 15:14 |
CDeX a écrit :
Clo_rophyll : justement c'est ce que je me demandait; dans le cas ou ça devient une sorte d'addiction, une habitude un peu trop envahissante on pourrai dire aussi. Est-ce que se serai vraiment mal dans la mesure ou ça n'impacte pas la santé y la vie sociale ( à priori o_O ) ?
LA définition de l'addiction c'est justement quand y a un impact sur la vie sociale et sur la santé psychique.
En gros pour faire simple, A et B ont la même sexualité débridée, passent des nuits entières sur internet à regarder des films pornos et à sa tripoter.
A le vit très bien, a des amis par ailleurs, va en cours, réussit ses examens, etc...
En revanche B se sent de plus en plus honteux. Il refuse toute sortie justement pour rester devant son ordinateur. Ses nuits blanches font qu'il décroche les cours, et se referme sur lui-même.
A sera considéré comme normal, B comme addicté.
Alors c'est très schématique, mais c'est pour expliquer que s'il n'y a pas d'impact sur la vie sociale et s'il n'y a pas de souffrance, il n'y a pas d'addiction.
Donc un type qui se tripote tous les jours mais qui vit une vie tout à fait saine ou quoi, c'est vraiment pas de l'addiction. Je crois même que de nos jours on appelle ça un ado normal.
Clo_rophyll : justement c'est ce que je me demandait; dans le cas ou ça devient une sorte d'addiction, une habitude un peu trop envahissante on pourrai dire aussi. Est-ce que se serai vraiment mal dans la mesure ou ça n'impacte pas la santé y la vie sociale ( à priori o_O ) ?
LA définition de l'addiction c'est justement quand y a un impact sur la vie sociale et sur la santé psychique.
En gros pour faire simple, A et B ont la même sexualité débridée, passent des nuits entières sur internet à regarder des films pornos et à sa tripoter.
A le vit très bien, a des amis par ailleurs, va en cours, réussit ses examens, etc...
En revanche B se sent de plus en plus honteux. Il refuse toute sortie justement pour rester devant son ordinateur. Ses nuits blanches font qu'il décroche les cours, et se referme sur lui-même.
A sera considéré comme normal, B comme addicté.
Alors c'est très schématique, mais c'est pour expliquer que s'il n'y a pas d'impact sur la vie sociale et s'il n'y a pas de souffrance, il n'y a pas d'addiction.
Donc un type qui se tripote tous les jours mais qui vit une vie tout à fait saine ou quoi, c'est vraiment pas de l'addiction. Je crois même que de nos jours on appelle ça un ado normal.
| Masturbation et adiction. | 8/14 | 30/09/2012 à 15:25 |
mdr j'adore la dernière phrase de dazzlious ^^
sinon son raisonnement me parait juste, je le partage
sinon son raisonnement me parait juste, je le partage
| Masturbation et adiction. | 9/14 | 30/09/2012 à 15:47 |
Ne mêles pas les jeux vidéos à ça, profanateur T_T
| Masturbation et adiction. | 10/14 | 30/09/2012 à 19:12 |
Merci Dazz pour ce point de vu. Mais comment on appellerai alors quelqu'un qui serai ... "accro ? " à quelque chose qui n’impacterai pas vie sociale ou sa santé ?
Est-ce la volonté na pas jouer un rôle la dedans ? Quelqu'un qui voudrai arrêter sans pouvoir ? Est-ce que dans ce cas on pourrai pas parler d'addiction ? Même si cela, encore une fois ui n’impacterai pas vie sociale ou sa santé.
Est-ce la volonté na pas jouer un rôle la dedans ? Quelqu'un qui voudrai arrêter sans pouvoir ? Est-ce que dans ce cas on pourrai pas parler d'addiction ? Même si cela, encore une fois ui n’impacterai pas vie sociale ou sa santé.
| Masturbation et adiction. | 11/14 | 30/09/2012 à 21:11 |
Arrêter une addiction est une question de volonté avant tout :/
Si tu t'en sens incapable seul, va faire comme Mazhe à dit : Go dans un centre d'addictologie
Si tu t'en sens incapable seul, va faire comme Mazhe à dit : Go dans un centre d'addictologie
| Masturbation et adiction. | 12/14 | 30/09/2012 à 21:46 |
CDeX a écrit :
Merci Dazz pour ce point de vu. Mais comment on appellerai alors quelqu'un qui serai ... "accro ? " à quelque chose qui n’impacterai pas vie sociale ou sa santé ?
Est-ce la volonté na pas jouer un rôle la dedans ? Quelqu'un qui voudrai arrêter sans pouvoir ? Est-ce que dans ce cas on pourrai pas parler d'addiction ? Même si cela, encore une fois ui n’impacterai pas vie sociale ou sa santé.
Si le type veut arrêter mais qu'il n'y arrive pas, en général c'est accompagné d'une souffrance psychique, et c'est un des critères de l'addiction comme je l'ai mentionné. Parce que si on veut arrêter en général c'est pour une raison. La plupart des gens qui vont consulter à cause d'un comportement addictif c'est parce qu'il ne peuvent pas se passer de ce comportement et que ça leur pose problème, à eux ou à leur proche dans la majorité des cas d'ailleurs.
A partir du moment où le type finalement est emprisonné dans quelque chose qu'il ne contrôle pas, on peut parler d'addiction. Dans le cas de la masturbation c'est quand même différent parce que c'est quand même lié à un besoin physiologique. Alors que les accros aux jeux d'argent ou au shopping pas du tout.
Après c'est une problématique compliquée, c'est bien pour ça que des chercheurs travaillent encore là dessus aujourd'hui, là concrètement je n'ai fait que donner la définition.
Merci Dazz pour ce point de vu. Mais comment on appellerai alors quelqu'un qui serai ... "accro ? " à quelque chose qui n’impacterai pas vie sociale ou sa santé ?
Est-ce la volonté na pas jouer un rôle la dedans ? Quelqu'un qui voudrai arrêter sans pouvoir ? Est-ce que dans ce cas on pourrai pas parler d'addiction ? Même si cela, encore une fois ui n’impacterai pas vie sociale ou sa santé.
Si le type veut arrêter mais qu'il n'y arrive pas, en général c'est accompagné d'une souffrance psychique, et c'est un des critères de l'addiction comme je l'ai mentionné. Parce que si on veut arrêter en général c'est pour une raison. La plupart des gens qui vont consulter à cause d'un comportement addictif c'est parce qu'il ne peuvent pas se passer de ce comportement et que ça leur pose problème, à eux ou à leur proche dans la majorité des cas d'ailleurs.
A partir du moment où le type finalement est emprisonné dans quelque chose qu'il ne contrôle pas, on peut parler d'addiction. Dans le cas de la masturbation c'est quand même différent parce que c'est quand même lié à un besoin physiologique. Alors que les accros aux jeux d'argent ou au shopping pas du tout.
Après c'est une problématique compliquée, c'est bien pour ça que des chercheurs travaillent encore là dessus aujourd'hui, là concrètement je n'ai fait que donner la définition.
| Masturbation et adiction. | 13/14 | 30/09/2012 à 22:20 |
@ Dazz : Si un personne ne souhaite arreter sans vraiment y parvenir il se peut que le seul problème qui se pose a elle soit d'ordre moral. La masturbation est comme tu dis liée a un besoin physiologique, mais peut poser et soulever des question d'ordre éthique chez certaine personne.
Ce problème peut n'être qu'un "soucis" de surface et n'être que superficiel, sans grande conséquence d'un point de vu extérieur. Mais sur le plan personnel, ce qui pourrai a paralysé la personne serai une perte d'estime de soit. Du coup le problème ne viendrai pas de son addiction, comme ça pourrai être le cas avec l'alcool et la santé ou le jeux et les dette, mais du fait que cette personne n'arrive pas assouvir sa volonté.
Or cela ne déborde pas forcément sur la vie sociale, on peut très bien caché une légère perte d'estime de soit sans soucis, sans compter que la personne n'y pensera même pas lors de sa "vie de tous les jours" Elle serai probablement juste attrister par ce constat le moment venu si je puis dire.
Ce problème peut n'être qu'un "soucis" de surface et n'être que superficiel, sans grande conséquence d'un point de vu extérieur. Mais sur le plan personnel, ce qui pourrai a paralysé la personne serai une perte d'estime de soit. Du coup le problème ne viendrai pas de son addiction, comme ça pourrai être le cas avec l'alcool et la santé ou le jeux et les dette, mais du fait que cette personne n'arrive pas assouvir sa volonté.
Or cela ne déborde pas forcément sur la vie sociale, on peut très bien caché une légère perte d'estime de soit sans soucis, sans compter que la personne n'y pensera même pas lors de sa "vie de tous les jours" Elle serai probablement juste attrister par ce constat le moment venu si je puis dire.
| Masturbation et adiction. | 14/14 | 31/12/2012 à 19:49 |
je pense que la masturbation quotidienne est touta fai normale pour les ados et moi meme je me masturbe une a plusieur fois selon les jour a sa va meme jusqua 5 fois par jours