Comme je me prélasse à en perdre le temps, je suis Violette,
Je suis le signe d'un printemps, qui peut être resplendira
Comme un vent de bonheur sur ma vie morose, qu'il admette
Souvent, je m'extasie sur la rose esthète qu'elle deviendra
Je le sais, elle fera son retour, comme tout les ans
Sourire aux lèvres rosies, embaumée de douceur, qu'attendais-je ?
Un spleen noirci et obsolète qui repartira dans son couvent
Ainsi peut-être comprendra t-il que je ne veux plus qu'il me protège
C'est lent et douloureux qu'il tend à éclore
C'est dans la brume de tes yeux que je m'endors
Savait-il que ce jour là il pleuvait de l'or ?
Sur un désordre invaincu, je reste en dehors
De tes charmes irrésolus, à elle ce trésor
Et à moi l'absolu, je dois oublier ton corps
J'ai haïe ton esprit au printemps dernier
Juste car je croyais que toujours il serait à mes côtés
Vague imposante, géant paradis
Un palmier indécent, cet arbre incompris
M'entoure, je suis seule.
Idiote incomprise, à en devenir veule
Ce n'est pas de la grande poésie, mais je vous assure que ça vient du coeur!
Eaux No Maths Aux Pré |
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17/03/2010 à 20:14 |
C'est déjà plus limpide que ton dernier texte posté.
Eaux No Maths Aux Pré |
2/6 |
17/03/2010 à 20:54 |
J'aime le titre
Eaux No Maths Aux Pré |
3/6 |
17/03/2010 à 20:57 |
J'aime bien.
Eaux No Maths Aux Pré |
4/6 |
17/03/2010 à 21:54 |
Je préférai l'autre moi, parce qu'au moins il y avait quelque chose à en tirer.
Là j'aime pas du tout. Ça vient du cœur peut-être, mais ça suffit pas malheureusement.
Eaux No Maths Aux Pré |
5/6 |
21/03/2010 à 13:33 |
Samoth a écrit :
Je préférai l'autre moi, parce qu'au moins il y avait quelque chose à en tirer.
Là j'aime pas du tout. Ça vient du cœur peut-être, mais ça suffit pas malheureusement.
Effectivement.
Eaux No Maths Aux Pré |
6/6 |
24/03/2010 à 20:51 |