Medley littéraire...

S U N S H I N E

Medley littéraire...

23

25/08/09 à 13:56

Afin de combler les pulsions de mes lecteurs assidus et mes critiques pertinents ; je propose en ce début d'après-midi un très ancien texte (presque une semaine d'âge) plus linéaire et poétique.

- Albert, chéri, tu pues, dit Leslie.
Ce savant, qui était d’ailleurs un bon homme, avait été volé par sa femme.
Les hommes sont souvent plus forts en raison de leur puissance musculaire.
Où qu’on portât le regard, c’était l’agitation.
- Touchez là, mon cousin.
- Il a la main heureuse, disait Druot, il a une bonne intuition de ces choses.
- C’est minuscule ! a sottement remarqué Lil. Combien ça mesure ?
- Grand dadais ! Si au moins vous preniez avantage de la situation !
On peut jouir avec sa peau.
Mais il refusa, décidé à partir tout de suite.
On peut penser que toutes ces circonstances, ajoutées au vent, portèrent aussi l’incendie dans certains esprits.
J’eus alors conscience que je venais de toucher un point sensible chez ce petit monde.
Charlie ne manqua pas de s’en rendre compte.
Aurais-je du me montrer plus prudente, plus réservée ?

La fascination apparente de Ruess pour le capitaine Nemo a entretenu les spéculations d’un certain nombre de ces mythographes.
Il symbolise mon enfance, si on peut qualifier d’enfance ce que j’ai vécu.
Désillusionnée avant l’âge, je dégueule sur la facilité des sentiments.
Jadis on se mettait des rubans sur la tête.
Mais ces trois enfants, je les avais connus, je les avais vus de mes propres yeux, c’était tout à fait différent.
Elle est devenue complètement folle.
Assise là, les pieds dans le giron de mon aïeule, je commençai à douter de la réalité de mon expérience.
Pourquoi irais-je me coller à des tuyaux alors que je vous ai le long de mon ventre ?
Baiser passait le temps. La petite mort, c’est le nom que lui donnaient les Français.
Pour un lycéen, le bac, c’est pareil que la pub à la télé, le froid en hiver, la dinde à Noël ou les flatulences après un gigot-flageolets : pas moyen d’y échapper.
Veuillez installer des piles neuves.
C’est pour tuer ce soir le directeur des ateliers.
Dis-lui que cette pauvre madame Bussell a eu une attaque cardiaque.
Du coup, maintenant, je leur dis au revoir avant même de leur dire bonjour.

Et pour me confronter à mes potentiels rivaux, je vous invite à la composition de votre propre medley.
Les meilleurs seront sélectionnés pour la finale par SonyaScarlet (ou La_Voix, si elle passe par ici...)
Les règles sont adaptables pour les simples d'esprit (soyez bénis) :

- Prenez un livre.
- Prenez un autre livre.

Vous avez maintenant deux livres, et c'est bien.

À présent, videz votre bibliothèque. Mettez le souk sur votre bureau, voire sous votre bureau, et extrayez la substance créative, le fruit grammatical, l'or linguistique qui s'y trouve.

Inch'allah.

Medley littéraire...

21/23

26/08/2009 à 02:07

Frosties a écrit :

Karach0u a écrit :

SonyaScarlet a écrit :

Ca se répète par rapport aux autres textes.
Et t'es pas sélectionné pour la finale.

Re-pouet.



Ca s'appelle un lien baka. Mais pourquoi te faire du mal ainsi? Ça sent le refoulé, tu te sens pas capable de faire aussi bien, ça te frustre ? On vient pas t'emm*rder sur ton rossignol Roméo.


Ouhlala, mais tu vas aller taper ta crise ailleurs la miss.
Déjà ton insulte pourrav' en japonais (genre elle se croit bilingue, t'sais), tu te la gardes pour touah. Ensuite, tu baisses d'un ton parce qu'envoyer des piques à une personne seulement parce qu'on est pas en accord avec son avis, il n'y a rien de plus bas.
D'autre part, il n'attaquait en rien l'auteur du topic, son post étant plus pétri d'humour que de haine. Tu devrais sérieusement penser à te calmer et à prendre les choses avec un peu de recul ( ce qui est plutôt facile derrière un pc, nan ?).
Inutile de monter sur ses grands chevaux et aussitôt traiter l'autre de benêt et le rabaisser.



Désolée, c'était hyper violent ce que j'ai écrit...