Mes poemes

Quel âge avez-vous ?

Moins de 18 ans

18 ans ou plus

Yuna44 Mes poemes 22 18/07/12 à 15:01


1 Petite fille entend des cris de douleurs,
Elle se demande qui pleure.
Elle va voir,
A l’entrebâillement de la porte elle peut apercevoir ;
Sa maman allongée,
En bas de l’escalier.
Roué de coup,
Elle ne tient plus debout.
Petite fille ce met à pleurer,
Ne la voyant plus bouger.
Elle a peur pour elle,
Elle ne se rappelle même plus de comment elle s’appelle.
Petite fille ce demande qui lui as fait ça,
Sans imaginé que c’est son papa.
Il lui dit de retourné au lit,
Et elle fait ce qu’il lui dit.
Elle repense à sa maman,
Mais elle finit par s’endormir doucement.
Ce matin sa maman n’est pas venue la réveiller,
Petite fille commence à la chercher.
Mais elle ne la voit pas,
Il y a seulement son papa.
Elle cour le voir,
Elle lui demande pourquoi sa maman étais comme cela hier soir.
Il lui dit quelle étais fatigué,
Et qu’ils ont dû l’hospitaliser.
Petite fille a du mal à le croire,
Et le lui fais savoir.
Elle le voit s’énerver,
Mais elle ne pensait pas qu’il allait la frapper.
Elle tente de se relever
Et le regarde bien attrister.
Elle a compris,
Et a peur que sa mère ne soit plus en vie.
Elle demande à son père,
De calmer sa colère.
Elle lui pose des tas de question,
Sur le pourquoi de ses actions.
Il ne répond pas,
Elle insiste tout bas.
Il prend l’enfant,
Et la tape brutalement.
Petite fille est assommée,
Petite fille est incapable de bouger.
Entre deux coups de poings,
Il lui dit que sa mère est très loin.
Elle tente de reprendre ces esprits,
Mais elle ne réagis.
Elle se laisse faire,
Par celui qui lui a servis de père.
Car c’est la seule manière,
De retrouver sa mère…


2 Ce regard vide,
De cette fille impavide.
Ses yeux souillés
Par les larmes qui ont trop longtemps coulé.
Ces cernes qui s’approfondissent,
Par les nuits blanches qu’on causait ses préjudices.
Son sourire asservi,
Me rappelle que son bonheur a été banni.
Les morceaux de son cœur,
Sont ici comme ailleurs.
Elle vous a tout donné,
Et vous en avez profité.
Avec vous elle a été généreuse,
A cause de vous elle est malheureuse

3 Ce monde s’étains peux à peux,
C’est pour cela que sur mes joues il pleut.
Nous sommes désespérants,
A tout baser sur les jugements.
Nous n’avons plus aucun respect,
Pour ceux qui sont tout près.
Nous nous obstinons à vouloir ce fonder,
Alors que notre vrais personnalité ;
Ce construit qu’auprès de ceux qui nous on aimer
Et qu’on a trop longtemps négligé.
Chaque minute nous rapproche un peu plus de la fin,
Allons vivre notre destin.
Allons oublier notre lendemain.
Et allons réfléchir à tous ceux à qui on aurait du tendre la main,
Au lieu de les laisser seule dans leur coin.
Réveillez-vous !
Regardez-vous !
Je sais qu’au fond de chacun Il y a un être bien.
Laissez le entrer dans votre vie en permanence,
Pour qu’enfin ce monde avance !

4. D'un coté,
Une fille bien entourée.
Qui ne sais même plus avec qui parler,
Tellement bien encadrer.
Elle se moque bien,
De toutes celles seule dans leur coin.
Elle se fiche de tout,
Tant que tout le monde est à son cou.
Elle ne ressent même pas de pitié,
Pour cette jeune fille en train de pleurer.
Elle n’ose même pas regarder,
Cette fille qui afflige tant de pitié.
Elle se moque bien,
De ce qui a pu la rendre si mal en point.
Elle ne s’imagine même pas,
Marcher un jour dans ses pas.
Elle ressent du dégout,
Pour cette fille qui la fixe debout.
Elle ne s’intéresse qu’à elle,
Tant qu’elle a des gens sous ses ailes...

De l’autre coté,
Cette fille bien cachée.
Elle non plus ne sait pas à qui parler,
Car personne ne veux de cette « coincée ».
Elle passe ses semaines,
A essayer d’essuyer sa peine.
Le peu de gens qui vienne auprès d’elle,
L’oublie dès qu’ils n’ont plus besoin de ses ailes.
Elle sourit malgré sa peine,
Elle aimerait déverser sa haine.
Es trop demander d’être simplement aimé ?
Elle ce dis à présent que ce monde n’a plus de place à lui donné…

Ce cauchemar peux arriver à qui que ce soit,
Alors s’il te plait t'ai toi.
Si tu n’as pas le courage de l'aider,
Fais au moins l’effort de ne pas l'insulter


5 Je le savais,
Je le voyais.
C'était écris,
Mais j'ai tout laissé dans l'oubli.
J'ai fermé les yeux,
Et maintenant c'est trop tard pour te dire adieux.
Si j’avais écouté mon cœur,
Je ne ressentirais pas cette rancœur.
Je savais,
Que tu partirais.
Je savais,
Que je m'en voudrais.
Il y avait des indices,
Mais maintenant tu es au font du précipice.
Pourquoi ai-je tout ignoré ?
Et avancer tête baissée ?
Je t'ai laissé sauter,
Sans même m'en préoccuper.
Je ne te pensais pas capable
Et maintenant je me sens coupable.
Je sais bien que ce poème,
N'est que blasphème.
Car malgré mes regrets,
Jamais je ne te reverrais.


6 Si tu regardais à l’intérieur de mes yeux,
Tu verrais que dans mon cœur il pleut.
Si tu t'intéressais un peux a moi,
Peut-être verrais-tu que je ne suis pas celle que tu croies.
Si tu prenais le temps de voir qui je suis,
Peut-être ne te serais-tu pas enfuit.
Si tu m'avais dit la vérité,
Si tu ne m'avais pas mentis sur ce que je croyais réalité.
Ce soir-là mes larmes n'aurais pas coulé.
Si seulement tu m'avais vraiment aimé,
Je ne serais pas la a me lamenter.

7
0n peux dire que je suis folle,
0n peux dire que je ne le suis pas.

0n peux dire que je n'en vaut pas la peine,
0n peux dire que l'on m'aime.

0n peux dire que je passe ma vie dans la mélancolie,
0n peux dire que c'est grâce à elle que je sourie.

0n peux dire que je me drogue,
0n ne peux pas dire que je ne me drogue pas.

0n peux me demander à quoi,
Je répondrais, à toi.

Et voila pour le moment (: Des avis ?

Mes poemes 1/22 19/07/2012 à 00:08
lol ses maren sa sonn parail à la fain dé frase 2eme lol
Mes poemes 2/22 20/07/2012 à 16:08
c'est joli Papillon
Mes poemes 3/22 20/07/2012 à 17:58
j'adore Smile
Mes poemes 4/22 22/07/2012 à 02:47
Alors, pour commencer, sache que je n'ai rigoureusement rien contre toi Yuna44, mais puisque tu as le courage de poster certaines de tes créations et que tu nous demandes notre avis, tu t'exposes au feu des critiques et je ne vais pas m'en priver. Maintenant, passons dans le vif du sujet. Ah et oui, je préviens, ça va être long. On commence par le numéro 1.

Tout d'abord, ce qui me paraît primordial même si j'ai l'impression d'être de plus en plus seul dans ce cas, on va commencer par le basique et corriger les fautes d'orthograhe...

1. Petite fille entend des cris de douleur,
Elle se demande qui pleure.
Elle va voir,
A l’entrebâillement de la porte elle peut apercevoir ;
Sa maman allongée,
En bas de l’escalier.
Rouée de coups,
Elle ne tient plus debout.
Petite fille se met à pleurer,
Ne la voyant plus bouger.
Elle a peur pour elle,
Elle ne se rappelle même plus de comment elle s’appelle.
Petite fille se demande qui lui a fait ça,
Sans imaginer que c’est son papa.
Il lui dit de retourner au lit,
Et elle fait ce qu’il lui dit.
Elle repense à sa maman,
Mais elle finit par s’endormir doucement.
Ce matin sa maman n’est pas venue la réveiller,
Petite fille commence à la chercher.
Mais elle ne la voit pas,
Il y a seulement son papa.
Elle court le voir,
Elle lui demande pourquoi sa maman était comme cela hier soir.
Il lui dit qu'elle était fatiguée,
Et qu’ils ont dû l’hospitaliser.
Petite fille a du mal à le croire,
Et le lui fait savoir.
Elle le voit s’énerver,
Mais elle ne pensait pas qu’il allait la frapper.
Elle tente de se relever
Et le regarde bien attristée.
Elle a compris,
Et a peur que sa mère ne soit plus en vie.
Elle demande à son père,
De calmer sa colère.
Elle lui pose des tas de questions,
Sur le pourquoi de ses actions.
Il ne répond pas,
Elle insiste tout bas.
Il prend l’enfant,
Et la tape brutalement.
Petite fille est assommée,
Petite fille est incapable de bouger.
Entre deux coups de poing,
Il lui dit que sa mère est très loin.
Elle tente de reprendre ses esprits,
Mais elle ne réagit.
Elle se laisse faire,
Par celui qui lui a servi de père.
Car c’est la seule manière,
De retrouver sa mère…

Une fois ce "petit" travail terminé, je n'ai même plus le courage de corriger la ponctuation, qui en aurait bien besoin pourtant... Si besoin, il est toujours possible de me MP, je donnerai ma version sans souci, mais admettons que je t'offre "le luxe de la marge de manoeuvre" pour la ponctuation, étant donnée la difficulté de se mettre d'accord sur la ponctuation qui convient. Je te fais aussi grâce (du fait de mon immense mansuétude) des caractères spéciaux, c'est un forum et pas un livre ou un recueil de poèmes. Bien, tout cela étant fait, je pense qu'après la forme, nous pouvons passer au fond...

Alors très bien, tu pars du point de vue de la petite file, sans jamais la nommer ; c'est un procédé comme un autre, pas de problème. Comme je l'ai dit, ton utilisation de la ponctuation casse tous tes effets, mais peu importe. Je pense qu'il est inutile d'utiliser des mots comme "entrebâillement", "apercevoir", "rouer", etc. qui sont beaucoup trop élaborés pour une petite fille, donc pour le point de vue que tu adoptes. Utilise des mots simples, tu avais bien commencé. "Mais elle finit par s'endormir doucement" : c'est ridicule et "décrédibilisant". Comment veux-tu qu'une fillette s'endorme tranquillement après avoir vu sa mère s'effondrer devant elle ? Pas de cauchemar, pas de nuit blanche, seulement une pensée avant de se coucher ? Ensuite, elle était fatiguée, et ils ont dû l'hospitaliser ? Mon Dieu, le pire menteur du monde n'irait pas chercher une raison aussi risible. "Et le lui fait savoir" : encore une phrase trop sophistiquée pour le point de vue que tu adoptes. En plus, la fillette met en doute son père et lui dit clairement ? Tu imagines un peu la situation ? "Et le regarde bien attristée" : mais m...ince, une petite fille ne dira jamais qu'elle a un regard attristé... Un regard triste oui, qu'elle est triste oui... Mais là on a l'impression qu'elle a pitié de son père, et c'est la réaction d'un adulte, pas d'un enfant. Ensuite, le fait que son père la frappe la fait craindre pour la vie de sa mère ? Son père vient de la frapper, et la première chose à laquelle elle pense ce sont les conséquences possibles de l'attitude que vient de manifester son père devant elle, mais extrapolée à l'extrême la veille à l'encontre de sa mère ? C'est encore une fois ridicule. Aucun enfant ne craint naturellement pour la vie de ses parents, et aucun n'irait imaginer que l'un deux ait pu tuer l'autre. "Elle lui pose des tas de questions sur le pourquoi de ses actions" mais où est-ce que tu vas chercher tout ça dans la tête d'une petite fille ? "Il ne répond pas, elle insiste tout bas" : encore une réaction d'adulte ! L'enfant n'a strictement aucune raison de baisser le ton à ce moment-là, et ne le fait le plus souvent que pour plaisanter ou sur ordre de ses parents. "Elle tente de reprendre ses esprits" : ... oO. Je n'insiste pas, je l'ai déjà trop dit. "Mais elle ne réagit" : une formulation trop complexe, le "pas" manque à l'appel. Et sur la fin, elle est assommée, quasi-inconsciente, et "elle se laisse faire", et elle arrive à penser qu’elle va retrouver sa mère ? Même pas à essayer de survivre ? Elle n’a aucune idée de l’endroit où sa mère est, et elle « renie » son père que la veille encore elle adorait ? Je vis peut-être au Moyen-Âge, mais dans mon monde les gamins ne font pas ça ni aussi vite, ni aussi jeunes. Retrouver sa mère… Elle n’a probablement même pas encore conscience de la mort, et elle songerait déjà au paradis ? Ca me laisse, disons, perplexe.

Voilà voilà pour le premier poème, la suite dans le deuxième épisode, et je suis tout aussi ouvert à la critique que je la pratique avec plaisir !
Mes poemes 5/22 22/07/2012 à 02:47
Yogara a écrit :

Alors, pour commencer, sache que je n'ai rigoureusement rien contre toi Yuna44, mais puisque tu as le courage de poster certaines de tes créations et que tu nous demandes notre avis, tu t'exposes au feu des critiques et je ne vais pas m'en priver. Maintenant, passons dans le vif du sujet. Ah et oui, je préviens, ça va être long. On commence par le numéro 1.

Tout d'abord, ce qui me paraît primordial même si j'ai l'impression d'être de plus en plus seul dans ce cas, on va commencer par le basique et corriger les fautes d'orthograhe...

1. Petite fille entend des cris de douleur,
Elle se demande qui pleure.
Elle va voir,
A l’entrebâillement de la porte elle peut apercevoir ;
Sa maman allongée,
En bas de l’escalier.
Rouée de coups,
Elle ne tient plus debout.
Petite fille se met à pleurer,
Ne la voyant plus bouger.
Elle a peur pour elle,
Elle ne se rappelle même plus de comment elle s’appelle.
Petite fille se demande qui lui a fait ça,
Sans imaginer que c’est son papa.
Il lui dit de retourner au lit,
Et elle fait ce qu’il lui dit.
Elle repense à sa maman,
Mais elle finit par s’endormir doucement.
Ce matin sa maman n’est pas venue la réveiller,
Petite fille commence à la chercher.
Mais elle ne la voit pas,
Il y a seulement son papa.
Elle court le voir,
Elle lui demande pourquoi sa maman était comme cela hier soir.
Il lui dit qu'elle était fatiguée,
Et qu’ils ont dû l’hospitaliser.
Petite fille a du mal à le croire,
Et le lui fait savoir.
Elle le voit s’énerver,
Mais elle ne pensait pas qu’il allait la frapper.
Elle tente de se relever
Et le regarde bien attristée.
Elle a compris,
Et a peur que sa mère ne soit plus en vie.
Elle demande à son père,
De calmer sa colère.
Elle lui pose des tas de questions,
Sur le pourquoi de ses actions.
Il ne répond pas,
Elle insiste tout bas.
Il prend l’enfant,
Et la tape brutalement.
Petite fille est assommée,
Petite fille est incapable de bouger.
Entre deux coups de poing,
Il lui dit que sa mère est très loin.
Elle tente de reprendre ses esprits,
Mais elle ne réagit.
Elle se laisse faire,
Par celui qui lui a servi de père.
Car c’est la seule manière,
De retrouver sa mère…

Une fois ce "petit" travail terminé, je n'ai même plus le courage de corriger la ponctuation, qui en aurait bien besoin pourtant... Si besoin, il est toujours possible de me MP, je donnerai ma version sans souci, mais admettons que je t'offre "le luxe de la marge de manoeuvre" pour la ponctuation, étant donnée la difficulté de se mettre d'accord sur la ponctuation qui convient. Je te fais aussi grâce (du fait de mon immense mansuétude) des caractères spéciaux, c'est un forum et pas un livre ou un recueil de poèmes. Bien, tout cela étant fait, je pense qu'après la forme, nous pouvons passer au fond...

Alors très bien, tu pars du point de vue de la petite file, sans jamais la nommer ; c'est un procédé comme un autre, pas de problème. Comme je l'ai dit, ton utilisation de la ponctuation casse tous tes effets, mais peu importe. Je pense qu'il est inutile d'utiliser des mots comme "entrebâillement", "apercevoir", "rouer", etc. qui sont beaucoup trop élaborés pour une petite fille, donc pour le point de vue que tu adoptes. Utilise des mots simples, tu avais bien commencé. "Mais elle finit par s'endormir doucement" : c'est ridicule et "décrédibilisant". Comment veux-tu qu'une fillette s'endorme tranquillement après avoir vu sa mère s'effondrer devant elle ? Pas de cauchemar, pas de nuit blanche, seulement une pensée avant de se coucher ? Ensuite, elle était fatiguée, et ils ont dû l'hospitaliser ? Mon Dieu, le pire menteur du monde n'irait pas chercher une raison aussi risible. "Et le lui fait savoir" : encore une phrase trop sophistiquée pour le point de vue que tu adoptes. En plus, la fillette met en doute son père et lui dit clairement ? Tu imagines un peu la situation ? "Et le regarde bien attristée" : mais m...ince, une petite fille ne dira jamais qu'elle a un regard attristé... Un regard triste oui, qu'elle est triste oui... Mais là on a l'impression qu'elle a pitié de son père, et c'est la réaction d'un adulte, pas d'un enfant. Ensuite, le fait que son père la frappe la fait craindre pour la vie de sa mère ? Son père vient de la frapper, et la première chose à laquelle elle pense ce sont les conséquences possibles de l'attitude que vient de manifester son père devant elle, mais extrapolée à l'extrême la veille à l'encontre de sa mère ? C'est encore une fois ridicule. Aucun enfant ne craint naturellement pour la vie de ses parents, et aucun n'irait imaginer que l'un deux ait pu tuer l'autre. "Elle lui pose des tas de questions sur le pourquoi de ses actions" mais où est-ce que tu vas chercher tout ça dans la tête d'une petite fille ? "Il ne répond pas, elle insiste tout bas" : encore une réaction d'adulte ! L'enfant n'a strictement aucune raison de baisser le ton à ce moment-là, et ne le fait le plus souvent que pour plaisanter ou sur ordre de ses parents. "Elle tente de reprendre ses esprits" : ... oO. Je n'insiste pas, je l'ai déjà trop dit. "Mais elle ne réagit" : une formulation trop complexe, le "pas" manque à l'appel. Et sur la fin, elle est assommée, quasi-inconsciente, et "elle se laisse faire", et elle arrive à penser qu’elle va retrouver sa mère ? Même pas à essayer de survivre ? Elle n’a aucune idée de l’endroit où sa mère est, et elle « renie » son père que la veille encore elle adorait ? Je vis peut-être au Moyen-Âge, mais dans mon monde les gamins ne font pas ça ni aussi vite, ni aussi jeunes. Retrouver sa mère… Elle n’a probablement même pas encore conscience de la mort, et elle songerait déjà au paradis ? Ca me laisse, disons, perplexe.

Voilà voilà pour le premier poème, la suite dans le deuxième épisode, et je suis tout aussi ouvert à la critique que je la pratique avec plaisir !




Mais qu'est-ce qu'il est vilain !
Mes poemes 6/22 22/07/2012 à 13:26
GreenKloud a écrit :

Yogara a écrit :

Alors, pour commencer, sache que je n'ai rigoureusement rien contre toi Yuna44, mais puisque tu as le courage de poster certaines de tes créations et que tu nous demandes notre avis, tu t'exposes au feu des critiques et je ne vais pas m'en priver. Maintenant, passons dans le vif du sujet. Ah et oui, je préviens, ça va être long. On commence par le numéro 1.

Tout d'abord, ce qui me paraît primordial même si j'ai l'impression d'être de plus en plus seul dans ce cas, on va commencer par le basique et corriger les fautes d'orthograhe...

1. Petite fille entend des cris de douleur,
Elle se demande qui pleure.
Elle va voir,
A l’entrebâillement de la porte elle peut apercevoir ;
Sa maman allongée,
En bas de l’escalier.
Rouée de coups,
Elle ne tient plus debout.
Petite fille se met à pleurer,
Ne la voyant plus bouger.
Elle a peur pour elle,
Elle ne se rappelle même plus de comment elle s’appelle.
Petite fille se demande qui lui a fait ça,
Sans imaginer que c’est son papa.
Il lui dit de retourner au lit,
Et elle fait ce qu’il lui dit.
Elle repense à sa maman,
Mais elle finit par s’endormir doucement.
Ce matin sa maman n’est pas venue la réveiller,
Petite fille commence à la chercher.
Mais elle ne la voit pas,
Il y a seulement son papa.
Elle court le voir,
Elle lui demande pourquoi sa maman était comme cela hier soir.
Il lui dit qu'elle était fatiguée,
Et qu’ils ont dû l’hospitaliser.
Petite fille a du mal à le croire,
Et le lui fait savoir.
Elle le voit s’énerver,
Mais elle ne pensait pas qu’il allait la frapper.
Elle tente de se relever
Et le regarde bien attristée.
Elle a compris,
Et a peur que sa mère ne soit plus en vie.
Elle demande à son père,
De calmer sa colère.
Elle lui pose des tas de questions,
Sur le pourquoi de ses actions.
Il ne répond pas,
Elle insiste tout bas.
Il prend l’enfant,
Et la tape brutalement.
Petite fille est assommée,
Petite fille est incapable de bouger.
Entre deux coups de poing,
Il lui dit que sa mère est très loin.
Elle tente de reprendre ses esprits,
Mais elle ne réagit.
Elle se laisse faire,
Par celui qui lui a servi de père.
Car c’est la seule manière,
De retrouver sa mère…

Une fois ce "petit" travail terminé, je n'ai même plus le courage de corriger la ponctuation, qui en aurait bien besoin pourtant... Si besoin, il est toujours possible de me MP, je donnerai ma version sans souci, mais admettons que je t'offre "le luxe de la marge de manoeuvre" pour la ponctuation, étant donnée la difficulté de se mettre d'accord sur la ponctuation qui convient. Je te fais aussi grâce (du fait de mon immense mansuétude) des caractères spéciaux, c'est un forum et pas un livre ou un recueil de poèmes. Bien, tout cela étant fait, je pense qu'après la forme, nous pouvons passer au fond...

Alors très bien, tu pars du point de vue de la petite file, sans jamais la nommer ; c'est un procédé comme un autre, pas de problème. Comme je l'ai dit, ton utilisation de la ponctuation casse tous tes effets, mais peu importe. Je pense qu'il est inutile d'utiliser des mots comme "entrebâillement", "apercevoir", "rouer", etc. qui sont beaucoup trop élaborés pour une petite fille, donc pour le point de vue que tu adoptes. Utilise des mots simples, tu avais bien commencé. "Mais elle finit par s'endormir doucement" : c'est ridicule et "décrédibilisant". Comment veux-tu qu'une fillette s'endorme tranquillement après avoir vu sa mère s'effondrer devant elle ? Pas de cauchemar, pas de nuit blanche, seulement une pensée avant de se coucher ? Ensuite, elle était fatiguée, et ils ont dû l'hospitaliser ? Mon Dieu, le pire menteur du monde n'irait pas chercher une raison aussi risible. "Et le lui fait savoir" : encore une phrase trop sophistiquée pour le point de vue que tu adoptes. En plus, la fillette met en doute son père et lui dit clairement ? Tu imagines un peu la situation ? "Et le regarde bien attristée" : mais m...ince, une petite fille ne dira jamais qu'elle a un regard attristé... Un regard triste oui, qu'elle est triste oui... Mais là on a l'impression qu'elle a pitié de son père, et c'est la réaction d'un adulte, pas d'un enfant. Ensuite, le fait que son père la frappe la fait craindre pour la vie de sa mère ? Son père vient de la frapper, et la première chose à laquelle elle pense ce sont les conséquences possibles de l'attitude que vient de manifester son père devant elle, mais extrapolée à l'extrême la veille à l'encontre de sa mère ? C'est encore une fois ridicule. Aucun enfant ne craint naturellement pour la vie de ses parents, et aucun n'irait imaginer que l'un deux ait pu tuer l'autre. "Elle lui pose des tas de questions sur le pourquoi de ses actions" mais où est-ce que tu vas chercher tout ça dans la tête d'une petite fille ? "Il ne répond pas, elle insiste tout bas" : encore une réaction d'adulte ! L'enfant n'a strictement aucune raison de baisser le ton à ce moment-là, et ne le fait le plus souvent que pour plaisanter ou sur ordre de ses parents. "Elle tente de reprendre ses esprits" : ... oO. Je n'insiste pas, je l'ai déjà trop dit. "Mais elle ne réagit" : une formulation trop complexe, le "pas" manque à l'appel. Et sur la fin, elle est assommée, quasi-inconsciente, et "elle se laisse faire", et elle arrive à penser qu’elle va retrouver sa mère ? Même pas à essayer de survivre ? Elle n’a aucune idée de l’endroit où sa mère est, et elle « renie » son père que la veille encore elle adorait ? Je vis peut-être au Moyen-Âge, mais dans mon monde les gamins ne font pas ça ni aussi vite, ni aussi jeunes. Retrouver sa mère… Elle n’a probablement même pas encore conscience de la mort, et elle songerait déjà au paradis ? Ca me laisse, disons, perplexe.

Voilà voilà pour le premier poème, la suite dans le deuxième épisode, et je suis tout aussi ouvert à la critique que je la pratique avec plaisir !




Mais qu'est-ce qu'il est vilain !




J'hésitais entre "courageux" ou "machiavélique"
Mes poemes 7/22 22/07/2012 à 13:28
Et ... je veux bien lire la suite moi x)
Mes poemes 8/22 22/07/2012 à 16:09
Pourquoi est il si méchant ? PARCEEE KEUHHHHHH
Yuna44 
Mes poemes 9/22 02/08/2012 à 14:20
Yogara a écrit :
Alors, pour commencer, sache que je n'ai rigoureusement rien contre toi Yuna44, mais puisque tu as le courage de poster certaines de tes créations et que tu nous demandes notre avis, tu t'exposes au feu des critiques et je ne vais pas m'en priver. Maintenant, passons dans le vif du sujet. Ah et oui, je préviens, ça va être long. On commence par le numéro 1.Tout d'abord, ce qui me paraît primordial même si j'ai l'impression d'être de plus en plus seul dans ce cas, on va commencer par le basique et corriger les fautes d'orthograhe...1. Petite fille entend des cris de douleur,Elle se demande qui pleure.Elle va voir,A l’entrebâillement de la porte elle peut apercevoir ;Sa maman allongée,En bas de l’escalier.Rouée de coups,Elle ne tient plus debout.Petite fille se met à pleurer,Ne la voyant plus bouger.Elle a peur pour elle,Elle ne se rappelle même plus de comment elle s’appelle.Petite fille se demande qui lui a fait ça,Sans imaginer que c’est son papa.Il lui dit de retourner au lit,Et elle fait ce qu’il lui dit.Elle repense à sa maman,Mais elle finit par s’endormir doucement.Ce matin sa maman n’est pas venue la réveiller,Petite fille commence à la chercher.Mais elle ne la voit pas,Il y a seulement son papa.Elle court le voir,Elle lui demande pourquoi sa maman était comme cela hier soir.Il lui dit qu'elle était fatiguée,Et qu’ils ont dû l’hospitaliser.Petite fille a du mal à le croire,Et le lui fait savoir.Elle le voit s’énerver,Mais elle ne pensait pas qu’il allait la frapper.Elle tente de se releverEt le regarde bien attristée.Elle a compris,Et a peur que sa mère ne soit plus en vie.Elle demande à son père,De calmer sa colère.Elle lui pose des tas de questions,Sur le pourquoi de ses actions.Il ne répond pas,Elle insiste tout bas.Il prend l’enfant,Et la tape brutalement.Petite fille est assommée,Petite fille est incapable de bouger.Entre deux coups de poing,Il lui dit que sa mère est très loin.Elle tente de reprendre ses esprits,Mais elle ne réagit.Elle se laisse faire,Par celui qui lui a servi de père.Car c’est la seule manière,De retrouver sa mère…Une fois ce "petit" travail terminé, je n'ai même plus le courage de corriger la ponctuation, qui en aurait bien besoin pourtant... Si besoin, il est toujours possible de me MP, je donnerai ma version sans souci, mais admettons que je t'offre "le luxe de la marge de manoeuvre" pour la ponctuation, étant donnée la difficulté de se mettre d'accord sur la ponctuation qui convient. Je te fais aussi grâce (du fait de mon immense mansuétude) des caractères spéciaux, c'est un forum et pas un livre ou un recueil de poèmes. Bien, tout cela étant fait, je pense qu'après la forme, nous pouvons passer au fond...Alors très bien, tu pars du point de vue de la petite file, sans jamais la nommer ; c'est un procédé comme un autre, pas de problème. Comme je l'ai dit, ton utilisation de la ponctuation casse tous tes effets, mais peu importe. Je pense qu'il est inutile d'utiliser des mots comme "entrebâillement", "apercevoir", "rouer", etc. qui sont beaucoup trop élaborés pour une petite fille, donc pour le point de vue que tu adoptes. Utilise des mots simples, tu avais bien commencé. "Mais elle finit par s'endormir doucement" : c'est ridicule et "décrédibilisant". Comment veux-tu qu'une fillette s'endorme tranquillement après avoir vu sa mère s'effondrer devant elle ? Pas de cauchemar, pas de nuit blanche, seulement une pensée avant de se coucher ? Ensuite, elle était fatiguée, et ils ont dû l'hospitaliser ? Mon Dieu, le pire menteur du monde n'irait pas chercher une raison aussi risible. "Et le lui fait savoir" : encore une phrase trop sophistiquée pour le point de vue que tu adoptes. En plus, la fillette met en doute son père et lui dit clairement ? Tu imagines un peu la situation ? "Et le regarde bien attristée" : mais m...ince, une petite fille ne dira jamais qu'elle a un regard attristé... Un regard triste oui, qu'elle est triste oui... Mais là on a l'impression qu'elle a pitié de son père, et c'est la réaction d'un adulte, pas d'un enfant. Ensuite, le fait que son père la frappe la fait craindre pour la vie de sa mère ? Son père vient de la frapper, et la première chose à laquelle elle pense ce sont les conséquences possibles de l'attitude que vient de manifester son père devant elle, mais extrapolée à l'extrême la veille à l'encontre de sa mère ? C'est encore une fois ridicule. Aucun enfant ne craint naturellement pour la vie de ses parents, et aucun n'irait imaginer que l'un deux ait pu tuer l'autre. "Elle lui pose des tas de questions sur le pourquoi de ses actions" mais où est-ce que tu vas chercher tout ça dans la tête d'une petite fille ? "Il ne répond pas, elle insiste tout bas" : encore une réaction d'adulte ! L'enfant n'a strictement aucune raison de baisser le ton à ce moment-là, et ne le fait le plus souvent que pour plaisanter ou sur ordre de ses parents. "Elle tente de reprendre ses esprits" : ... oO. Je n'insiste pas, je l'ai déjà trop dit. "Mais elle ne réagit" : une formulation trop complexe, le "pas" manque à l'appel. Et sur la fin, elle est assommée, quasi-inconsciente, et "elle se laisse faire", et elle arrive à penser qu’elle va retrouver sa mère ? Même pas à essayer de survivre ? Elle n’a aucune idée de l’endroit où sa mère est, et elle « renie » son père que la veille encore elle adorait ? Je vis peut-être au Moyen-Âge, mais dans mon monde les gamins ne font pas ça ni aussi vite, ni aussi jeunes. Retrouver sa mère… Elle n’a probablement même pas encore conscience de la mort, et elle songerait déjà au paradis ? Ca me laisse, disons, perplexe.Voilà voilà pour le premier poème, la suite dans le deuxième épisode, et je suis tout aussi ouvert à la critique que je la pratique avec plaisir !



Déja merci de ton commentaire et excuse moi du temps (:
Alors oui pour les fautes d'orthographes j'en fais toujours __' Pourtant je me relis. Mais j'en oublie.


Alors je cite et je commente
Je pense qu'il est inutile d'utiliser des mots comme "entrebâillement" , "apercevoir" , "rouer" , etc. qui sont beaucoup trop élaborés pour une petite fille
Alors, en faite j'ai écris ce poemes a la 3eme personne du singulier donc ce n'est pas la petite fille qui parle, c'est un narrateur donc c'est mot non pas besoin d'être aproprier a lage de la petite fille vus que ce n'est pas elle qui les dis (: Donc voila sa répond a apeux pres tout ce que tu a marquer, et que tu disais être des réaction d'adulte (:

Ensuite hm pour le paradis la tu as raison c'est vraiment trop mature pour une petite fille __' ^^'

Voila désoler de navoir presque rien écris comparer a toi, mais je pense avoir répondu a tout... Fais moi signe si j'ai oublier des choses !

Bisoux
Yuna44 
Mes poemes 10/22 02/08/2012 à 14:47
Schmetterling a écrit :
Et ... je veux bien lire la suite moi x)



J'en ai plein d'autre (:

Voila :

Ce regard vide,
De cette fille impavide.
Ses yeux souillez
Par les larmes qui ont trop longtemps coulez.
Ses cernes qui s’approfondissent,
Par les nuits blanches qu’on causer ses préjudices.
Son sourire asservi,
Me rappelle que son bonheur a été banni.
Les morceaux de son cœur,
Son ici comme ailleurs.
Elle vous a tout donné,
Et vous en avez profité.
Avec vous elle a été généreuse,
A cause de vous elle est malheureuse

Un autre :

Sous mes yeux s’étend le vide
Au bort de ce gouffre
Cette eau limpide
Tout en bas plus personne ne souffre.

Les cheveux au vent
Mes pensées dites a voix haute
Le corps penché en avant
Je repense a toutes mes fautes.

Je voie tout en bas
Le corps de tout ces gens
Ayant perdu leurs combat
Je les imaginent larmoyants
Perdus dans leurs pensées
Ne sachant plus quoi faire de leur vie
Près à sauter
Pour détruire tout ce qu'ils ont batti.

J'ai du mal à imaginer
Qu'il me suffis d'un pas
Pour que je puisse survoler
Ce monde ingrat.

J'ai du mal a réaliser
Que je vais quitter cette détresse
Laisser cette tristesse
Et enfin pouvoir rêver.

La jambe en avant
les yeux fermer
Et toujours ce vent
Qui me fais tomber.

Mon corps dégringole
Pour moi tout es fini
Mon esprit s'envole
A présent de ce monde je suis banni.

Maintenant je n'es plus a pleurer
Mais juste a me laisser guider
Par le trésor
Qu'est la mort

Un autre :

Je pense toujours à lui,
Et a tout ce qu'on c'est dit
De ses belles paroles
Qui maintenant dégringolent
De ses mots perdu
Qui rendent mon cœur déchus.

Ce rappel-t-il
De ces merveilleux moments ?
Ce rappel-t-il
Qui qu'il y a peu de temps
Je l’appelais confident ?

Pourquoi vouloir gâcher
Une amitié faite pour durée ?
Pourquoi seulement retenir
Les mauvais souvenir ?

Lui,
Celui qui me fuit
Celui qui me fais souffrir
En m'enfermant dans nos beau souvenirs

Lui,
Cet ancien ami
Celui qui ma réveiller
De mes rêves inachevé.

Lui,
C'étais le plus important
Lui,
C'étais mon confident.



Mes poemes 11/22 02/08/2012 à 15:33
c'est super beau j'adore Smile
Mes poemes 12/22 02/08/2012 à 16:06
Niais
Mes poemes 13/22 02/08/2012 à 16:11
Moi je trouve que la plupart de tes poèmes ne veulent juste rien dire...
C'est très très mal formulé la plupart du temps...
Y a encore du travail si tu veux réaliser un truc un tant soit peu correct, donc un conseil, inspire toi de poètes et de poèmes connus, et bosse, bosse, et bosse encore.
Mes poemes 14/22 02/08/2012 à 16:59
Yuna44 a écrit :

Schmetterling a écrit :
Et ... je veux bien lire la suite moi x)



J'en ai plein d'autre (:

Voila :

Ce regard vide,
De cette fille impavide.
Ses yeux souillez
Par les larmes qui ont trop longtemps coulez.
Ses cernes qui s’approfondissent,
Par les nuits blanches qu’on causer ses préjudices.
Son sourire asservi,
Me rappelle que son bonheur a été banni.
Les morceaux de son cœur,
Son ici comme ailleurs.
Elle vous a tout donné,
Et vous en avez profité.
Avec vous elle a été généreuse,
A cause de vous elle est malheureuse

Un autre :

Sous mes yeux s’étend le vide
Au bort de ce gouffre
Cette eau limpide
Tout en bas plus personne ne souffre.

Les cheveux au vent
Mes pensées dites a voix haute
Le corps penché en avant
Je repense a toutes mes fautes.

Je voie tout en bas
Le corps de tout ces gens
Ayant perdu leurs combat
Je les imaginent larmoyants
Perdus dans leurs pensées
Ne sachant plus quoi faire de leur vie
Près à sauter
Pour détruire tout ce qu'ils ont batti.

J'ai du mal à imaginer
Qu'il me suffis d'un pas
Pour que je puisse survoler
Ce monde ingrat.

J'ai du mal a réaliser
Que je vais quitter cette détresse
Laisser cette tristesse
Et enfin pouvoir rêver.

La jambe en avant
les yeux fermer
Et toujours ce vent
Qui me fais tomber.

Mon corps dégringole
Pour moi tout es fini
Mon esprit s'envole
A présent de ce monde je suis banni.

Maintenant je n'es plus a pleurer
Mais juste a me laisser guider
Par le trésor
Qu'est la mort

Un autre :

Je pense toujours à lui,
Et a tout ce qu'on c'est dit
De ses belles paroles
Qui maintenant dégringolent
De ses mots perdu
Qui rendent mon cœur déchus.

Ce rappel-t-il
De ces merveilleux moments ?
Ce rappel-t-il
Qui qu'il y a peu de temps
Je l’appelais confident ?

Pourquoi vouloir gâcher
Une amitié faite pour durée ?
Pourquoi seulement retenir
Les mauvais souvenir ?

Lui,
Celui qui me fuit
Celui qui me fais souffrir
En m'enfermant dans nos beau souvenirs

Lui,
Cet ancien ami
Celui qui ma réveiller
De mes rêves inachevé.

Lui,
C'étais le plus important
Lui,
C'étais mon confident.








NON ! Je parlais à Yogara !
Perso... j'ai pas lu tes poèmes...
Mes poemes 15/22 02/08/2012 à 18:03
Schmetterling a écrit :

Yuna44 a écrit :

Schmetterling a écrit :
Et ... je veux bien lire la suite moi x)



J'en ai plein d'autre (:

Voila :

Ce regard vide,
De cette fille impavide.
Ses yeux souillez
Par les larmes qui ont trop longtemps coulez.
Ses cernes qui s’approfondissent,
Par les nuits blanches qu’on causer ses préjudices.
Son sourire asservi,
Me rappelle que son bonheur a été banni.
Les morceaux de son cœur,
Son ici comme ailleurs.
Elle vous a tout donné,
Et vous en avez profité.
Avec vous elle a été généreuse,
A cause de vous elle est malheureuse

Un autre :

Sous mes yeux s’étend le vide
Au bort de ce gouffre
Cette eau limpide
Tout en bas plus personne ne souffre.

Les cheveux au vent
Mes pensées dites a voix haute
Le corps penché en avant
Je repense a toutes mes fautes.

Je voie tout en bas
Le corps de tout ces gens
Ayant perdu leurs combat
Je les imaginent larmoyants
Perdus dans leurs pensées
Ne sachant plus quoi faire de leur vie
Près à sauter
Pour détruire tout ce qu'ils ont batti.

J'ai du mal à imaginer
Qu'il me suffis d'un pas
Pour que je puisse survoler
Ce monde ingrat.

J'ai du mal a réaliser
Que je vais quitter cette détresse
Laisser cette tristesse
Et enfin pouvoir rêver.

La jambe en avant
les yeux fermer
Et toujours ce vent
Qui me fais tomber.

Mon corps dégringole
Pour moi tout es fini
Mon esprit s'envole
A présent de ce monde je suis banni.

Maintenant je n'es plus a pleurer
Mais juste a me laisser guider
Par le trésor
Qu'est la mort

Un autre :

Je pense toujours à lui,
Et a tout ce qu'on c'est dit
De ses belles paroles
Qui maintenant dégringolent
De ses mots perdu
Qui rendent mon cœur déchus.

Ce rappel-t-il
De ces merveilleux moments ?
Ce rappel-t-il
Qui qu'il y a peu de temps
Je l’appelais confident ?

Pourquoi vouloir gâcher
Une amitié faite pour durée ?
Pourquoi seulement retenir
Les mauvais souvenir ?

Lui,
Celui qui me fuit
Celui qui me fais souffrir
En m'enfermant dans nos beau souvenirs

Lui,
Cet ancien ami
Celui qui ma réveiller
De mes rêves inachevé.

Lui,
C'étais le plus important
Lui,
C'étais mon confident.








NON ! Je parlais à Yogara !
Perso... j'ai pas lu tes poèmes...




C'est ça ! Votre but en somme (Et même partout ailleurs en Picardie) c'est de la faire pleurer ! C'est bien ! Bien !
Yuna44 
Mes poemes 16/22 02/08/2012 à 23:42
Dakota_ a écrit :
Moi je trouve que la plupart de tes poèmes ne veulent juste rien dire...C'est très très mal formulé la plupart du temps...Y a encore du travail si tu veux réaliser un truc un tant soit peu correct, donc un conseil, inspire toi de poètes et de poèmes connus, et bosse, bosse, et bosse encore.



Tu voie jaccepte les critique, mais dire que mes poemes ne veulent rien dire je trouve sa... Un peux déplacer, si tu les comprend pas je pense que tu devrais les relir parce que même si tu ne les aime pas il ont du sens !

omnivium:
Niais



C'est tres délicat ça __' Au lieux de critiquer comme sa dis pourquoi tu les trouve niais parce que la c'est toi qui parais le plus niais dans lhostoire a critiquer sans rien expliquer.





Je remercie ma besta pour ce compliment (:
Yuna44 
Mes poemes 17/22 02/08/2012 à 23:43
GreenKloud a écrit :
Schmetterling a écrit :Yuna44 a écrit :Schmetterling a écrit :Et ... je veux bien lire la suite moi x) J'en ai plein d'autre (: Voila : Ce regard vide,De cette fille impavide.Ses yeux souillezPar les larmes qui ont trop longtemps coulez.Ses cernes qui s’approfondissent,Par les nuits blanches qu’on causer ses préjudices.Son sourire asservi, Me rappelle que son bonheur a été banni.Les morceaux de son cœur,Son ici comme ailleurs.Elle vous a tout donné,Et vous en avez profité. Avec vous elle a été généreuse, A cause de vous elle est malheureuseUn autre :Sous mes yeux s’étend le videAu bort de ce gouffreCette eau limpideTout en bas plus personne ne souffre.Les cheveux au ventMes pensées dites a voix hauteLe corps penché en avantJe repense a toutes mes fautes.Je voie tout en basLe corps de tout ces gensAyant perdu leurs combatJe les imaginent larmoyantsPerdus dans leurs penséesNe sachant plus quoi faire de leur viePrès à sauterPour détruire tout ce qu'ils ont batti.J'ai du mal à imaginerQu'il me suffis d'un pasPour que je puisse survolerCe monde ingrat.J'ai du mal a réaliserQue je vais quitter cette détresseLaisser cette tristesseEt enfin pouvoir rêver.La jambe en avantles yeux fermerEt toujours ce ventQui me fais tomber.Mon corps dégringolePour moi tout es finiMon esprit s'envoleA présent de ce monde je suis banni.Maintenant je n'es plus a pleurerMais juste a me laisser guiderPar le trésorQu'est la mortUn autre :Je pense toujours à lui,Et a tout ce qu'on c'est ditDe ses belles parolesQui maintenant dégringolentDe ses mots perduQui rendent mon cœur déchus.Ce rappel-t-ilDe ces merveilleux moments ?Ce rappel-t-ilQui qu'il y a peu de tempsJe l’appelais confident ?Pourquoi vouloir gâcherUne amitié faite pour durée ?Pourquoi seulement retenirLes mauvais souvenir ?Lui,Celui qui me fuitCelui qui me fais souffrirEn m'enfermant dans nos beau souvenirsLui,Cet ancien amiCelui qui ma réveillerDe mes rêves inachevé.Lui,C'étais le plus importantLui,C'étais mon confident.NON ! Je parlais à Yogara ! Perso... j'ai pas lu tes poèmes... C'est ça ! Votre but en somme (Et même partout ailleurs en Picardie) c'est de la faire pleurer ! C'est bien ! Bien !

Sympa toi ...

Merci beaucoup GreenKloud
Yuna44 
Mes poemes 18/22 03/08/2012 à 13:52
Yuna44 a écrit :

GreenKloud a écrit :
Schmetterling a écrit :Yuna44 a écrit :Schmetterling a écrit :Et ... je veux bien lire la suite moi x) J'en ai plein d'autre (: Voila : Ce regard vide,De cette fille impavide.Ses yeux souillezPar les larmes qui ont trop longtemps coulez.Ses cernes qui s’approfondissent,Par les nuits blanches qu’on causer ses préjudices.Son sourire asservi, Me rappelle que son bonheur a été banni.Les morceaux de son cœur,Son ici comme ailleurs.Elle vous a tout donné,Et vous en avez profité. Avec vous elle a été généreuse, A cause de vous elle est malheureuseUn autre :Sous mes yeux s’étend le videAu bort de ce gouffreCette eau limpideTout en bas plus personne ne souffre.Les cheveux au ventMes pensées dites a voix hauteLe corps penché en avantJe repense a toutes mes fautes.Je voie tout en basLe corps de tout ces gensAyant perdu leurs combatJe les imaginent larmoyantsPerdus dans leurs penséesNe sachant plus quoi faire de leur viePrès à sauterPour détruire tout ce qu'ils ont batti.J'ai du mal à imaginerQu'il me suffis d'un pasPour que je puisse survolerCe monde ingrat.J'ai du mal a réaliserQue je vais quitter cette détresseLaisser cette tristesseEt enfin pouvoir rêver.La jambe en avantles yeux fermerEt toujours ce ventQui me fais tomber.Mon corps dégringolePour moi tout es finiMon esprit s'envoleA présent de ce monde je suis banni.Maintenant je n'es plus a pleurerMais juste a me laisser guiderPar le trésorQu'est la mortUn autre :Je pense toujours à lui,Et a tout ce qu'on c'est ditDe ses belles parolesQui maintenant dégringolentDe ses mots perduQui rendent mon cœur déchus.Ce rappel-t-ilDe ces merveilleux moments ?Ce rappel-t-ilQui qu'il y a peu de tempsJe l’appelais confident ?Pourquoi vouloir gâcherUne amitié faite pour durée ?Pourquoi seulement retenirLes mauvais souvenir ?Lui,Celui qui me fuitCelui qui me fais souffrirEn m'enfermant dans nos beau souvenirsLui,Cet ancien amiCelui qui ma réveillerDe mes rêves inachevé.Lui,C'étais le plus importantLui,C'étais mon confident.NON ! Je parlais à Yogara ! Perso... j'ai pas lu tes poèmes... C'est ça ! Votre but en somme (Et même partout ailleurs en Picardie) c'est de la faire pleurer ! C'est bien ! Bien !

Sympa toi ... Schmetterling

Merci beaucoup GreenKloud



Mes poemes 19/22 03/08/2012 à 13:56
ça ne veut rien dire parce que c'est mal formulé. Après je me doute bien que ça a du sens, et je comprends ce que tu veux dire, mais c'est très mal dit.

Quand tu dis "Allons vivre notre destin. Allons oublier notre lendemain." ça ne veut rien dire. On peut pas oublier notre lendemain, le lendemain c'est du futur, donc on l'a pas encore vécu...
En fait y a plein de trucs comme ça, on voit que ce sont des rimes forcées, c'est rimer pour rimer mais dans le fond ça veut pas dire grand chose.
Mes poemes 20/22 03/08/2012 à 14:39
Nul, mais à 13 ans le contraire eût été étonnant et savoureux. Entraîne-toi, tu ne peux que progresser.

Et relis-toi...
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