Voici une nouvelle que j'ai démarré ce mois-ci. Bien sur, elle n'est pas parfaite, comme tout les livres qui sortent d'ailleurs, loin de là, c'est écris d'un trait, j'attends de la terminer et de poster au fur et à mesure son avancé, comme ça, grâce à vos critiques constructives j'espère, je la changerais en temps voulu.
Merci d'avance.
C'est grand jour. Le soleil se lève, illuminant la brume chaque matins.
Il éclaircit toutes les maisons, capture l'obscurité, jusqu'à ce que la nuit prenne le pouvoir.
Enfin levé de mon sac de couchage, je me dirige automatiquement tout en bas. Le bureau. C'est là que se situe cette machine. LA machine. Celle avec qui je suis relié au monde, celle avec qui je surf, celle avec qui je m'épanouis chaque jour.
Je démarre mon ordinateur. Une fois allumé, ma main répète le même geste quotidien. Ainsi que mes doigts. Mon navigateur s'ouvre, affichant mes mails.
De la pub, comme d'habitude.
Elle pense à moi. Du moins, les robots.
Après avoir supprimé tous ces mails indésirables, je lance mon jeu favoris.
Une envolée de pixels s'affichent. Je connais l'écran par cœur, à force.
World of Warcraft.
Ouf, aucune mise à jour, je n'aurais pas a attendre pour une fois.
Je rentre le nom de mon compte, ainsi que son mot de passe associé.
Le jeu charge, puis laisse place a un message.
Le message qui a tout changer. Depuis ce jour, il a changer ma vie.
Sans ce message, je n'aurais jamais accomplie ce que j'ai fais.
Sans lui, je serais sûrement mort. Quand j'y repense, je me demande pourquoi les gens ne croient pas au destin. Car, si ce message ne se serait pas affiché, j'aurais pris une direction bien différent de celle d'aujourd'hui.
Je n'imaginais pas qu'un message, dans un cadre bleu, tout innocent, avec de fines lettres, ne voulant aucun mal, allais changer ma vie.
Pour toujours.
Ma tête est aussi lourde que la cloche d'une église. Mes jambes sont cloués au sol, dans le sable chaud, autant que mes bras, impossible de les bouger. Je m'endors aussitôt après que mon cerveau ait fait l'état de mon corps, à priori, très endommagé.
Mes paupières se détachent enfin. Je me sens en meilleur état. Peu à peu je me lève, et re-découvre toutes les possibilités du corps humain. Je marche assez longtemps dans le désert, ou de simples vents soulèves des montagnes de sables oranges. Au loin, j'aperçois une ville, a première vue, très grande, mais je vois mal. Je cours vers elle, sa vue me redonnant de la force.
Pendant ma course, je croise une personne.
-Magnifique ! Une haut niveau ! Je n'y crois pas ! Tellement rare d'en croiser.
Ses exclamations me questionne. De quoi parle-t-elle donc ? Est-ce bien à moi qu'elle parle au moins ?
Je prend une décision et décide de lui répondre, hésitant:
-Vous allez bien ?
Le garçon, émerveillé, me fais une remarque:
-J'adore tes armures ! Et ton épée ! Comme j'aimerais être comme toi...
Si le garçon est assez collant, il a en tout cas raison sur un fait que je n'avais même pas remarqué:
mes armures. C'est vrai ça, j'ai couru avec de la maille, une grosse épée, sans y faire attention. Je m'inquiète moi-même. Bon, essayons de répondre avec délicatesse et en toute gentillesse pour faire comprendre au petit garçon que j'aimerais continuer mon chemin:
-Désolé petit, mais je suis pressé. Les Haut Niveaux comme moi, comme tu dis si bien, on beaucoup de travail en ce moment.
Le garçon s'en va, avec des yeux illuminés, et continue sa route.
Ouf j'ai réussi. Je peux enfin y aller.
Mes jambes reprennent leur cadence après s'être accordé une petite pause.
Je rentre enfin dans la ville. Je ne connais même pas son nom, le panneau était écrit dans une langue que je connais même pas. Pleins d'humains se précipite dans tout les sens.
Cela me donne le tournis. L'entrée de la ville est immense. Faites de toutes pierres blanches, posées l'une à l'autre, elle n'est pas prête de s'écroulée. Plein de panneaux se succèdent, dans une langue que je ne comprend pas. Prenant un chemin au hasard, il m'amène à un vacarme terrible. Tout pleins de corps, gisent, devant un objet. Je crois comprendre que de l'argent est en jeu, pour remporter ledit objet. Des cris sortent de partout, de tout les recoins de la salle, même du ventre pour les plus affamés. Mes oreilles n'en peuvent plus, je sort immédiatement de cet endroit.
Mes yeux fuient le décor, composé de maisons de bois, de femmes en robes de tissus ou de soie, d'animaux cherchant leur maître qui les a surement abandonné, des têtes brunes en pleure criant leur caprice ou l'injustice de leur punitions. Le bruit n'en finis pas, je m'échappe dans de fines rues austères, me faufilant parmi la population, poursuivis par un ennemi n'existant même pas en chair et en os.
Fatigué, essoufflé de courir, j'ai réussi à lui échapper. Je m'arrête dans une rue, ornée de murs assez serrer, avec des balcons, et du linge qui y sèche. Il n'y a personne, aucun bruit, aucun pleure, je peux enfin écouter le silence, seule musique qui m'est agréable. Mes fesses se déposent enfin sur le sol, pour que mon organisme se régénère enfin. Je réfléchis, a tout un tas de choses qui me viennent à l'esprit instantanément. J'aime bien réfléchir, seul, avec un silence d'église, ou mon épanouissement est total. Je peux rester pensif pendant pas mal d'heures. Il est très important de faire le point, de temps en temps, cela aide à avancer. Une phrase me vient a l'esprit, d'un certain Nietzsche « Tout ceux qui ont une longue mémoire sont capable de voir l'avenir ». Je vais profiter de mon état pour faire le point de tout ce que j'ai vécu jusqu'à présent.
- ….
- ….
Je venais de réaliser à cet instant, toute l'ampleur du problème.
-Je suis très mal. Extrèmement mal. Calmons nous, soufflons, et reprenons.
Les larmes aux yeux:
-Donc, j'étais sur mon fauteuil, devant mon ordinateur, je rentre mes identifiants pour me connecter à World of Warcraft, et si j'ai bien compris, je me retrouve dans le jeu, et je ne peux plus en sortir ?
-Ah, Ah, Ah, d'un rire crispé.
-N'importe quoi. Comment pourrais-je me « téléporter » d'un monde à un autre, comme ça, sans ma permission en plus ! Je rêve, c'est tout, ce n'est juste qu'un simple cauchemar. Un mauvais rêve j'en suis convaincu. Assez réaliste certes, qui dure aussi pas mal de temps, mais qui va bientôt se finir, j'en suis certains. Profitions du rêve alors, un maximum, ce n'est pas tous les jours que les jeux vidéos soient aussi réalistes !
Je décide donc de me balader dans cette très grande ville, afin de profiter un maximum de mon rêve.
J'espère juste qu'il va bientôt se terminer, c'est assez flippant et puis j'ai faim.
Tiens, pour etre sur que c'est juste un mauvis rêve, je vais contacter ma guilde. Et même essayer de parler aux membres, si c'est un rêve, je ne devrais pas être connecté en ce moment.
-Salut la guilde !
Les réponses ne se font pas attendre:
-Salut Ristar.
-Hey ristar !
-Salut, comment tu vas ?
-Tiens, v'la le no-life !
Bon bon... un rêve peut être très réaliste non ? Je décide de poser la question, qui me convaincra de mon gros problème.
-Euh.. les gars, j'ai un problème de connexion, vous pouvez me dire si je suis connectez en ce moment sur le jeu s'il vous plaît ?
J'enlève mon casque de mailles ainsi que tout les équipements que porte le haut de mon corps. Casque, épée, bouclier, tout y passe. Je sais que je ne suis pas connecté en ce moment même, que ce n'est juste qu'un simple cauchemar lié a mon subconscient qui veut me faire comprendre je ne sais quoi, mais je suis convaincu que tout ça n'est pas réel. Je jette tout mes équipements retirer par terre, attendant la réponse des membres de la guilde.
Je commence à transpirer énormément. Mon front devient une sorte de cascade, contenant des gouttes salées, longeant mes sourcils empêchant qu'elles coulent dans mes yeux, et continue leurs course en glissant sur mes joues. Le temps est long. Les secondes deviennent heures, alors que je suis sur que c'est moi qui stresse pour rien du tout.
Attendant désespérément une réponse, je n'ai plus confiance en moi, j'imagine toutes les hypothèses possibles. Et si j'étais vraiment coincé ? Non, c'est impossible, sinon que deviendrais mon vrai corps, pleins de chair et de muscles ? Mon Dieu, pitié que ce ne soit qu'un simple cauchemar !
Les membres de la guilde ont répondu. Je retiens mon souffle. J'inspire, et expire, avec la peur de recevoir une mauvaise nouvelle.
Je suis bel et bien connecté au jeu. L'heure est exactement la même que la grande horloge de la ville. Coincé... dans un jeu. Dans mon propre monde, toutes les contraintes de la vie réelles vont disparaître à présent, pour laisser place a une nouvelle vie... Sans famille.
-JE VEUX SORTIR D'ICI ! LAISSER MOI ! JE VEUX RENTRER !, cris-je tel un enfant faisant son caprice.
Tout le monde me regarde, avec des grand yeux, pensant que je suis fou à crier comme ça.
J'attends désespérément une réponse, un message, un signe de vie, quelqu'un, quelque chose !
Pourquoi moi ? Pourquoi ça ? Ais-je fais quelque chose de mal ? Une personne m'en veut particulièrement ?
Beaucoup de questions activent mon cerveau, toutes sans réponses, me plongeant dans l'incompréhension totale. J'ai peur de souffrir, peur d'avoir peur ! Je pense que sur ce dernier point c'est déjà fait.
Je décide de m'échapper le plus loin possible de la ville. Quitte à mourir, tuer par des monstres pixélisés, tellement réelles. Au moins, je serais débarrasser de tout mes problèmes.
Tête baisser, je marche lentement, avec ma lourde armure sur le dos. Le paysage défile, je vois des maisons de pierres avec des toits marrons et des cheminées fumantes. Les arbres plantés le long du fleuve calme et reposant ont toutes leurs feuilles, les écureuils court et jouent ensemble perpétuellement, pendant que je me lamente.
Guerriers, chasseur, magicien, prêtre, paladin, tous passe a coté de moi en courant, heureux de jouer à leur jeu préféré.
Je n'arrive même pas à pleurer. Peut-être qu'un guerrier ne pleure pas.
Je quitte enfin la ville. Je descends ces grand escaliers d'au moins dix mètres de hauteur, afin de retrouver la forêt.
Les cigales chantent à leur habitude. L'herbe est mouillé pour le plus grand plaisir des chiens qui s'y enroulent, en s'amusant avec leur maître. Le ciel est bleu, avec de petits nuages présent le tâchant. L'air frais souffle sur ma nuque non protégée, ma peau faisant pars à mon cerveau que le vent est maintenant présent. Je décide de marcher sans aucune destination. Je verrais bien ou cela me mène.
Dur de découvrir une route obscure, sans aucune lumière. Les autres sens essaie de combler le manque de vue, mais, chacun est important à la découverte d'un chemin. Ma situation résume bien ma vie. Tous les jours je me branchais sur l'ordinateur. Je ratais les cours. Rater mon Bac. J'osais à penne sortir de chez moi. A leur plus grand dépit, mes parents ont tenté pas mal de remèdes. Couper l'ordinateur, couper internet, supprimer mon abonnement pour jouer à World of Warcraft, ou même me ligoter les mains a une table. Tous ont été inefficaces. J'ai tout le temps trouver un moyen de contourner un problème, et revenir jouer. Même quand mes mains étaient ligotés.
Pour mes dix-huit ans, mes géniteurs ont réussi a m'inviter au restaurant. Ils croyais que c'était finis, que je n'étais plus drogué. Malheureusement, en rentrant, j'ai inconsciemment suivis le chemin habituelle menant à l'ordinateur. Et à ma drogue. Cela dure depuis trois ans maintenant.
Ou comment un autre événement avait bouleverser ma vie. Tout ça c'est a cause d'elle.
Si elle ne m'avait pas fait découvrir ce jeu, je n'en serais jamais accroc. Et je ne serais pas dans cette merde aujourd'hui ! J'en ai marre, je veux mourir, tout de suite, et je serais enfin débarrasser de tout problème.
Je marche longtemps, très longtemps, mais je ne vois aucune falaise. Je m'arrête sous un arbre, et bois un peu d'eau de ma gourde. Je repars aussitôt, après avoir repris des forces.
Au loin, je vois enfin une falaise. Je cours vers elle, motiver de mettre fin à ma vie ne méritant pas d'être vécue. Je ne savais pas que le fait de mourir pouvait me redonner de l'entrain.
J'y suis. Je regarde le vide, mais je n'en ai pas peur. Au contraire, il me rassure. Le grand vide me montre qu'au moins je ne pourrais pas survivre à une telle chute.
Je me tiens droit sur le bord, les pieds collés, mes bras aplatis le long de mes hanches, la tête droite, avec un regard scrutant le positionnement de mes pied.
Je reprends ma respiration, d'un souffle court, concentré et déterminé à sauter.
Je plis mes genoux, et je m'élance enfin, sautant vers l'avant, déployant mes bras, tel le saut de l'ange. L'air souffle sur mon visage, je prends de plus en plus de vitesse, le sol se rapprochant de mes yeux. Je ferme les yeux de peur de voir ma fin lamentable en face.
TO BE CONTINUED...
Le message: Partie 1: Découverte. |
1/7 |
31/08/2009 à 00:20 |
Heu oô T'as des problèmes dans ta vie ?
C'est ... Un peu l'bordel dans ton texte, on passe du coq à l'âne en passant par le blaireau sous le soleil.
Le message: Partie 1: Découverte. |
2/7 |
31/08/2009 à 00:26 |
SonyaScarlet a écrit :
Heu oô T'as des problèmes dans ta vie ?
C'est ... Un peu l'bordel dans ton texte, on passe du coq à l'âne en passant par le blaireau sous le soleil.
Geek powaa O_o
Nan mais c'est trop long surtout aussi O_o
Le message: Partie 1: Découverte. |
3/7 |
31/08/2009 à 00:36 |
quote>
Geek powaa O_o
J'suis pas geek oô
Le message: Partie 1: Découverte. |
4/7 |
31/08/2009 à 00:52 |
SonyaScarlet a écrit :
Heu oô T'as des problèmes dans ta vie ?
C'est ... Un peu l'bordel dans ton texte, on passe du coq à l'âne en passant par le blaireau sous le soleil.
Grav'. Et puis c'est bourré de fautes.
J'n'aime pas.
Le message: Partie 1: Découverte. |
5/7 |
31/08/2009 à 13:11 |
Je tiens juste a préciser que c'est une histoire fictive ;=)
Oui merci ma vie va très bien
Le message: Partie 1: Découverte. |
6/7 |
31/08/2009 à 13:13 |
SonyaScarlet a écrit :
quote>
Geek powaa O_o
J'suis pas geek oô
Je parlais pas de toi
Le message: Partie 1: Découverte. |
7/7 |
31/08/2009 à 13:14 |
J'ai renoncé à lire avant la fin, mais il y a bien pire dans cette section.