Message perdu

j'aimerais que mon petit frere me pardonne de l'avoir abandonne , plus tard il s'en rendra comtpe et m'en voudra , j'pourrais pas le supporter

ja t'ais regardé
nos regards se sont croisé
j'ais succoùbé
j'ais révé
ja t'ais demandé si tu m'aimais
tu as dit oui...
je t'aime robinson

euh ba moi je c pa koi direuuuuu
ba jaime ce ki maime ,é mm si d foi d foi il doute de ma sincérité é il doive savoir ke je continuré de lé aimé

[Comme une flèche en plein cœur.. ]
Je ne sais plus moi-même qui je suis. Perdue. Un seul mot me décrit.
Un désir inavouable et égoïste a surgi en moi. Je le rejette. Il n’a pas lieu d’être.
Je craquelle et me fissure sous les coups de marteau, tel un clou qu’on écrase sur une planche de bois mort.

.Pardon.

Je n’ai que ce mot à la bouche. Je me fais bouffer. Les moutons me broutent les os. Je suis comme un artichaut dont on ronge le cœur.
Pardon de ne plus rien voir. Seulement je n’entends rien non plus.
On m’a coupé en deux. Je suis une poire trop mûre.
Mes yeux troués sont braqués sur lui. Ils ne te voient plus. Salopards d‘yeux. Je m’en veux. Je m’en vais. Peut-être devrais-je tout arrêter. Tu as besoin de moi.. tout comme j’ai besoin de lui. Tant pis.

.ON/OFF.

Je n’aime pas ma gueule ni ce qu’il y a à l’intérieur.
Pardon. Ce mot est tellement facile.
Pardon. Pardon. Pardon.
Il est inutile et ne veux rien dire.

J’ai mal moi aussi bordel ! Seulement je souffre en silence.
Ne vois-tu pas que Ma relation virtuelle me tue ?
Ne vois-tu pas que son absence me déchire ?
Ne vois-tu pas qu’il est mon essentiel ?
Ne vois-tu pas que je l’aime ?

Cela ne te suffit pas ?

Je crève moi aussi. Je suis usée, abîmée.
Je m’effondre en secret. Et non pas devant vous. Ca serait trop facile.
Tes paroles m’étranglent. T’es dégueulasse.

[Désolée de ne pas avoir prévu de bouée pour toi, Juliette.]

chak jr a la cafet,je tobserve du regard t vachemen bo comme diré mon moi intérieur!!Si seulemen tu daigné me jeté un cou d oeil ou même maccosté !!tu c ktu me plé!!!

La récirpocité n'existe plus. Elle ne l'a d'ailleurs jamais été.
On me croit forte, intouchable, solide, mais je suis brisée, piétinée, dégueulée.
Je n'y suis pour rien moi. Je n'ai même pas la possibilité de dire ce que je pense, au risque de m'en prendre plein la gueule. Je suis qui, merde?! Invisible, oui, rèellement, et encore plus que ce que je croyais.
Comme si tout était de ma faute, comme si j'etais injuste. Demandez-vous qui l'ai!

De toute façon je n'ai personne. De toute façon, je suis seule.
Deçue, je suis déçue. Doublement deçue.
" Mon amie est momentanément indisponible " ; elle ne le sera que quand elle aura besoin de moi? Je l'ai dis, il n'y a aucune réciprocité. Je l'ai dis, je ne peux compter sur personne.
Non, mes propos ne sont pas degueulasses, ils sont réalistes, ils viennent de moi, de ce que je ressens. Si personne ne les acceptent, et bien tant pis!

L'amitié, c'est une relation de plaisir, non de besoins. Biensur que les vrais amis seront là, quand on a besoin d'aide, mais la relation en elle même, est une relation de PLAISIR.
Mais dîtes-moi, si deux ami(e)s on besoin l'un(e) de l'autre au même moment, comment on fait?
On va pleurer autre part, on va voir nos autres amis?
Mais si il n'y en a pas d'autre, comment on fait?
On se retient, jusqu'à ce que cet ami soit enfin "disponible" ?


M'enfin, ça se pardonne, biensur que ça se pardonne. Réciproquement.
La fuite ne résoud rien non plus, je ne l'ai pas fais, pour une fois.
Mon amie, je l'aime non d'une chouette à la coque!

" - Dis c'est quoi une epRave ?
- Bin c'est comme une épave.
- Ouais mais avec un 'R'.
- Donc dans les airs?
- Ouais, un avion quoi. "

Minou c'est fou.
Non minou, t'as pas le droit.. non.

Le couteau sous la gorge. On m’a coupé les vivres.
J’étouffe sous leurs envahissements momentanés. Je ne peux rien dire. Je leurs ferais que trop de mal.
*Au milieu de la nuit vous êtes entré a milieu de ma vie..*
Vous me tordez le coup. Je suis comme un poulet qu’on égorge.
*Il faut faire gaffe y’a des mots qui tues, y’a des mots qui pues, des mots qui saccage, des mots qui arrache, des mots qui abîment à jamais le cœur..*
C’est vrai que j’en dis trop, c’est vrai que j’en fait trop, c’est vrai. C'est vrai que je rêve trop, il est vrai que je l’aime un peu trop..
On me barre la route. J’avance à reculons. J’essuie les pots cassés. Mais y’en a marre. Je m’arrache les cheveux.
Le bonheur est dans le pré, cours y vite, cours y vite.. Le bonheur est dans le pré, cours y vite il va filler.

Minou c’est fou.
Non minou, t’as pas le droit. Minou, pars pas. Je t’en pris.
Ce serait bien trop compliqué sans toi. Non minou, t’as pas le droit de partir.
Bien sûr j’ai reçu quelques griffures, effacé quelques morsures. Et alors. Minou je t’aime bien trop. T’as pas le droit. Pas maintenant, ni même plus tard. Surtout pas.
Minou j’ai besoin de toi. Je t’en pris. Ne fais pas ça. Sois fort.
Tu me tuerais, je saignerais. Non minou.. non.
Je vais trop mal. Aspires mes angoisses comme tu fais si bien. Ne me laisse pas seule avec eux. Non minou.. non.

Je t’aime.

Il ne verra jamais ce message mais Guillaume je crois que c'est plus que de l'amitié que je ressens pour toi

Hop
Dsl, 500eme, je pouvais pas le louper =)
++