"Bon la j'avoue que ce n'est peut-être pas fait exprès de ta part[...](je ne parle pas que de mots donc cela eut-être peut avoir une rapport avec la misogynie non?)"
Donc là tu nous décris un père qui est absent, mais dans le sens où il te "rejette", car même étant avec chez lui, il ne t'a pas donner l'enseignement qu'un père peut donner à son fils, et surtout, tu racontes que ton père prenais souvent la défense de ta belle-mère, donc peut être que lui-même avait "peur" de sa nouvelle femme (j'imagine qu'elle a beaucoup d'autorité), donc dans ce sens, il devient ainsi un "enfant" comme toi, sous le joug te ta belle-mère!
Mais j'ai réfléchi à un truc, et j'ai fais le parallèle entre ta mère "trop présente" (donc le "vrai" amour) et ta belle-mère qui t'en "veut" d'être là (car elle a surement envie d'avoir un seul homme pour elle toute seule) (donc la "vraie" haine)!
Or, je reviens à mon dragueur; ce jeune homme qui n'a, lui, eu ni père, ni mère; donc il fait son apprentissage de l'amour et de la vie lui même, et dans "Sociologie du dragueur", l'auteur démontre que sans apprentissage, le dragueur croit tout le monde, donc croit que les filles réelles sont comme dans les livres, elles seraient toutes des déesses, etc; mais puisqu'il n'a pas eu de père pour lui apprendre à vivre, il se demmerde, et va vers les filles. Il comprendra après plusieurs rateaux que les filles ne sont pas ce qu'il croyait; ainsi j'arrive à mon raisonnement, et prouve que les femmes ne sont pas que amour (la mère) mais aussi haine (la fille)!
Donc dans ton cas, la conscience que les femmes ne sont pas des saintes, c'est en effet de passer de ta mère, à ta belle-mère; mais le fait de passer d'un extrême à un autre, t'as sans doute donner l'impression d'avoir été trahi par ta mère, et là tu te "venge" sur elle d'avoir menti, et sur ta belle-mère de ne pas avoir joué son rôle de mère!
"J'ai rien à dire à ce sujet sauf que j'ignorais ceci donc merci de l'éclaircissement^^."
De rien! D'ailleurs c'est important de savoir que les hommes et les femmes ne pensent pas pareils, car non seulement nous n'avons pas le même corps, mais en plus on ne peut pas comprendre celui de l'autre!
"Déjà es-ce que tu pourrais préciser le sens de "vie sexuelle exaltante"[...]D'où cette misogynie?!"
Oui exaltante dans le sens "au moins deux fois par mois"!
Mais la où il y a un paradoxe chez toi (que tu as en parti exprimer, et que je reprendrais après), c'est que tu considères l'acte sexuel, donc la pénétration, comme quelque chose de..."magique?!", or tu méprises les femmes!
Ainsi, ton raisonnement est inverse au dragueur, dans le sens où n'ayant pas le rapport "tant voulu" avec l'autre, comme tu l'as dis, tu accuses les femmes de ta "naïveté", donc tu t'enfermes dans un espèce de cercle vicieux qui dit "je n'arrive pas à obtenir le rapport, c'est la faute de la femme, donc je la méprise, puisque je la méprise, je n'ai pas DEVOIR d'obtenir le rapport"; donc dans ton cas, ton mépris t'interdit d'aller au rapport (sexuel toujours)!
Si on veut faire un parallèle avec le dragueur, tu méprises les femmes car tu ne les as pas, alors que le dragueur méprise les femmes car il les a toutes!
Par contre je vais parler du gentil garçon, pour préciser que tu ne l'es pas:
ce gentil garçon est forcément timide (c'est surtout ce qu'il croit et veut faire croire à tout le monde), donc il a trouvé une excuse pour ne pas aller vers les filles; mais une autre excuse qui fait qu'il ne connait pas les filles (donc qu'il n'ose pas aller voir), c'est qu'il les idéalise (donc il est le poète), ainsi il ne peut pas comprendre comment elles fonctionnent, et surtout il ne veut pas comprendre, car il aurait peur d'être déçu par sa mère (d'avoir menti, toujours, sur les femmes)!
"Oui je pense à un passé refoulé car les rapports que j'avais avec mon père[...]Donc à partir de là je peux penser que je me venge d'elle sur d'autres en les méprisant...non??"
Cette partie, j'ai répondu dans mon premier paragraphe!
"Et je trouve que la suite concernant la violence[...]D'ou cette misogynie qui serait un déguisement??"
En fait, en début de conclusion, je crois que tu hais tellement ta belle-mère que pour toi, toutes les filles sont pareils, donc en effet, tu n'as aucunement envie "d'aimer" les filles car tu ne veux plus retrouver ta belle-mère en elle!
Mais je suis sur que tu es très attaché à ta mère, qui, elle, représente l'amour, et qui est la seule femme que tu respecte!
"P.S. : pour ce dont je t'ai dis que j'allais réfléchir[...]tu crois que c'est une hypothèse envisageable?"
C'est envisageable en effet, mais c'est "logique" d'une certaine façon, car il fallait bien quelqu'un pour t'aider à faire tes devoirs, aller te voir au match de foot, ou accueillir tes dix potes débarqués à l'improviste à la maison!
Mais pour une mère, jouer le rôle du père, c'est impossible, car elle n'a pas été "conçue" (puisque c'est une femme) pour être père ET mère; donc sont rôle de père, elle l'a surement fait "mal" mais sans forcément le vouloir (oui, comme je l'ai dis, l'homme et la femme se pensent pas pareils)!
Voilà, je pense avoir répondu à toutes tes questions, mais si tu en as d'autres, ça sera un plaisir pour moi d'y répondre!